Un pilote belge mitrailla le siège de la Gestapo à Bruxelles sans autorisation

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Le 20 janvier 1943, le lieutenant belge Jean de Selys Longchamps, pilote dans la RAF, attaqua au retour d'une mission l'immeuble de la Gestapo à Bruxelles. Au cours d'une manoeuvre aérienne périlleuse en pleine ville, il réussit à mitrailler tous les étages de l'immeuble et à abattre sur le toit une batterie anti-aérienne. Après être revenu sain et sauf en Angleterre, il fut à la fois sanctionné et décoré pour cette action non autorisée.

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a écrit : Tu as une drôle de notion de la majorité. Environ 60 % des belges sont flamands. Où est la majorité francophone ? Pour ta gouverne :

Selon les lois en vigueur en Belgique, les recensements linguistiques sont abolis — comprendre «interdits» — depuis la loi du 24 juin 1961.

De plus, je parlais dans le contexte de la seconde guerre mondiale (ici, 1943) donc à moins d'avoir des chiffres officiels, nos estimations sont subsidiaires...

a écrit : C'est pourquoi l'armée réprouve les initiatives. Si l'attaque avait été planifiée, la hiérarchie pouvait s'assurer que l'espion n'était pas sur place au moment de l'attaque. Ça ne marche pas à tous les coups compte tenu des secrets et du cloisonnement nécessaires pour protéger les espions mais le rôle de la hiérarchie est quand même de coordonner les différentes actions pour éviter ce genre de couac. Afficher tout En même temps, t'es espion, tu te ballades pas à l'intérieur d'un édifice officiel de l'ennemi avec une liste d'autres espions dans la poche. Faut être un peu niais non?

Si il avait eu d'autres pilotes comme lui qui aurai été bombarde les voie de chemin de fer qui allait vers les camps concentration pour freiner l'extermination des personnes car les allié était au courant de tous et avait même des photos aériennes d'Auschwitz pas exemple

a écrit : Si il avait eu d'autres pilotes comme lui qui aurai été bombarde les voie de chemin de fer qui allait vers les camps concentration pour freiner l'extermination des personnes car les allié était au courant de tous et avait même des photos aériennes d'Auschwitz pas exemple Sauf que bombarder les lignes aurait été inefficace.
Les allemands étaient capables de réparer les voies en un temps record, moins d'une journée.
Ce qui fait un bénéfice bien maigre par rapport aux risques encourus.

Quant à Auschwitz: le calcul est le même. Les alliés savaient ce qui s'y passaient, ils ont reçu des lettres de plusieurs informateurs ayant réussi à s'en évader.
Mais ils savaient aussi que c'étaient les prisonniers qui faisaient les travaux de construction, d'agrandissement et d'aménagement.
Un bombardement sur un des sites du camp se serait donc répercuté sur les prisonniers.
Et si tu comptes la précision assez aléatoire des bombardements de l'époque, un risque supplémentaire était celui d'accélérer le travail des nazis, pas vraiment top...

a écrit : Il aurait fallu dire "sanctionné doublement" les puristes et les militaires me comprendront... Non "doublement sanctionné"

Unodieuxconnard en a fait une vidéo intéressante.

a écrit : En gros le mecs on lui dit "c'est pas bien ce que ta fait " et juste après c'est "bravo!, bien joué! " a la place de ce lieutenant, moi je recommencerai ... C'est quand même vachement contradictoire ... En fait ils l'ont applaudit mais avec sa tête au milieu des mains

a écrit : Je sens venir les commentaires sur l'arbre généalogique d'un certain Chuck Norris... A commencé par toi ;)

Des compagnons à lui avaient été fait prisonniers semble t il, il a agit de retour de mission et détruisit la DCA sur le toit. Son buste trône devant le bâtiment en question. Source "odieux conna.." un youtubeur