Traquer des tueurs en série grâce au comportement des abeilles

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Des scientifiques ont observé une similitude entre les tueurs en série et les abeilles. Dans les 2 cas, ils agissent près de chez eux (les abeilles récupèrent le pollen, le tueur tue) mais avec une zone de sécurité très proche de chez eux où ils n'agissent pas pour ne pas éveiller l'attention (des prédateurs pour les abeilles, de la police pour les tueurs). En modélisant le comportement des abeilles, ces scientifiques pensent pouvoir localiser plus facilement les zones de recherche de tueurs en série.


Tous les commentaires (50)

a écrit : Merci je suis entrain de boire mon café avec du miel et je lis ton commentaire :) Café-miel ? C'est pas atroce comme association de saveurs ??

a écrit : Comparer un animal miraculeux, qui nous fournie du miel par ses excréments, miel qui guérit de nombreuses pathologies, à un tueur en série qui suivrait leur logique, je trouve cela aberrant C'est quoi le soucis ? Pourquoi cela est il aberrant ? L'anecdote ne dit pas que les abeilles sont des tueurs en séries... on parle de comportement...

Miel Pops, céréales killer !

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Je ne me suis jamais comparé a une abeille en tant que tueur en serie je trouve ça blessant

A quand un épisode d’esprit criminel sur maya l’abeille ?

En réponse aux personnes qui indiquent ne pas comprendre le oien entre les tueurs en série et les abeilles, il s'agit simplement de comparer leurs comportements qui sont régis par des règles similaires (un compromis entre la proximité du lieu d'action par rapport le "QG" et un éloignement minimal de sécurité dans ce cas). Modéliser toutes les motivations dans le choix de la zone d'action d'un tueur en série serait un problème beaucoup trop complexe pour nos petits esprits humains (Nous peinons déjà à interpréter physiquement un système à plus de 3 dimensions. Qu'en serait-il avec un problème à grande dimension voire infinie !) et irrésolvable avec les moyens actuels de toute façon. L'idée est donc de se baser sur les solutions que la Nature a trouvées par un apprentissage qui a duré des millions (j'abuse peut-être) d'années, en réponse à un problème similaire. Même sans comprendre la totalité du problème, il est possible de calquer les solutions techniques sur les solutions naturelles en mettant en place des équivalences.
Mais en réalité, c'est très souvent appliqué dans l'ingénierie ! Les réseaux de neurones, la résolution par essaims d'abeilles, l'étude des mouvements de fluide via l'aérodynamisme..

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une façon de justifier leurs salaires ;-)

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a écrit : En réponse aux personnes qui indiquent ne pas comprendre le oien entre les tueurs en série et les abeilles, il s'agit simplement de comparer leurs comportements qui sont régis par des règles similaires (un compromis entre la proximité du lieu d'action par rapport le "QG" et un éloignement minimal de sécurité dans ce cas). Modéliser toutes les motivations dans le choix de la zone d'action d'un tueur en série serait un problème beaucoup trop complexe pour nos petits esprits humains (Nous peinons déjà à interpréter physiquement un système à plus de 3 dimensions. Qu'en serait-il avec un problème à grande dimension voire infinie !) et irrésolvable avec les moyens actuels de toute façon. L'idée est donc de se baser sur les solutions que la Nature a trouvées par un apprentissage qui a duré des millions (j'abuse peut-être) d'années, en réponse à un problème similaire. Même sans comprendre la totalité du problème, il est possible de calquer les solutions techniques sur les solutions naturelles en mettant en place des équivalences.
Mais en réalité, c'est très souvent appliqué dans l'ingénierie ! Les réseaux de neurones, la résolution par essaims d'abeilles, l'étude des mouvements de fluide via l'aérodynamisme..
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Ce qui fait douter c'est essentiellement la pertinence de l'analogie.
Peut-on vraiment partir du principe que la méthode d'action d'un tueur en série se base uniquement sur un équilibre entre ni trop près ni trop loin de chez moi ?
Ça semble drôlement simpliste !

a écrit : Ce qui fait douter c'est essentiellement la pertinence de l'analogie.
Peut-on vraiment partir du principe que la méthode d'action d'un tueur en série se base uniquement sur un équilibre entre ni trop près ni trop loin de chez moi ?
Ça semble drôlement simpliste !
En effet, j'ai simplifié à l'extrême les causes du choix de la zone d'action dutueur en série, par souci de clarté de l'explication. C'est justement la complexité du problème qui pousse les chercheurs à se baser sur les solutions élaborées par la Nature. Les choix d'une personne face à une situation donnée sont rarement prévisibles. La méthode de résolution par réseaux de neurones par exemple tente de modéliser le comportement humain.