L'album culte The Wall de Pink Floyd a la particularité de pouvoir se jouer en boucle. En effet, le premier morceau débute avec le prélude "...we came in ?" tandis que le dernier morceau se termine par "Isn't this where...". Le tout formant la phrase "Isn't this where we came in ?", qui peut d'ailleurs se traduire par "Ne serait-ce pas par ici que nous sommes arrivés ?". Ces deux morceaux de phrase sont sur un même fond musical pour compléter le raccord.
Commentaires préférés (3)
L'idee de l'album émergea dans l'esprit torturé du bassiste Roger Waters après le concert du 6 juillet 1977 au stade olympique de Montréal. Le public était tendu et bien éméché et durant le morceau "Pigs" un spectateur balance une bière sur scène ce qui rend Waters fou furieux. Il le fait alors monter sur scène pour le brimer et même lui cracher au visage. C'est à la fin du spectacle qu'il commença à rêver d'un mur entre la scène et le public qui permettrait au groupe de jouer sa musique sans être incommode: ce qui donna The Wall. A noter que lors de la tournée "In The Flesh", un véritable mir était construit durant toute la représentation du concept album. Un modèle réduit d'avion accroché à un câble venait même s'écraser sur scène après avoir survolé la foule. Les concerts de Floyd étaient vraiment dingues.
Pour ceux que ça intéresse, j'ai décortiqué pas mal d'albums de Floyd sur mon site : www.rockisalive.fr/
Merci !
C'est ce genre d'anecdote qui souligne l'importance et le charme des CD, les chansons sont dans un certain ordre qui jouent sur les rythmes, sons... ce qu'on ne retrouve pas sur YouTube ou autres plateforme :/
Tous les commentaires (46)
Comme tous les albums du monde, ils peuvent eux aussi se jouer en boucle.
Du génie.
La vraie question est de savoir s'ils ont aussi fait exprès que le reste du contenu de l'album soit en accord avec cette boucle.
L'idee de l'album émergea dans l'esprit torturé du bassiste Roger Waters après le concert du 6 juillet 1977 au stade olympique de Montréal. Le public était tendu et bien éméché et durant le morceau "Pigs" un spectateur balance une bière sur scène ce qui rend Waters fou furieux. Il le fait alors monter sur scène pour le brimer et même lui cracher au visage. C'est à la fin du spectacle qu'il commença à rêver d'un mur entre la scène et le public qui permettrait au groupe de jouer sa musique sans être incommode: ce qui donna The Wall. A noter que lors de la tournée "In The Flesh", un véritable mir était construit durant toute la représentation du concept album. Un modèle réduit d'avion accroché à un câble venait même s'écraser sur scène après avoir survolé la foule. Les concerts de Floyd étaient vraiment dingues.
Pour ceux que ça intéresse, j'ai décortiqué pas mal d'albums de Floyd sur mon site : www.rockisalive.fr/
Merci !
Moi je les ai vus sur scène... qui dit mieux?
The Wall est magnifique, mais The Dark Side of the Moon est fabuleux, quant à More, c'est trop fort
J'ai déja l'impression d'avoir lu ça
C'est ce genre d'anecdote qui souligne l'importance et le charme des CD, les chansons sont dans un certain ordre qui jouent sur les rythmes, sons... ce qu'on ne retrouve pas sur YouTube ou autres plateforme :/
Tu dis mieux ?
J'aime pas ces arguments du type "c'était mieux avant", en les écoutant on remonte au moyen âge.
Et bienvenue, dans l'univers de la musique Progressive.
Où le "concept album" règne
(Scenes Out From a Memory, pour citer Dream Theater, qui raconte une histoire)
Complexité de mélodie et changement de signature rythmique => porte ouverte à toutes les singularités qui rende chaque groupe et chaque projet uniques.
L’album The Dark Side of the Moon de Pink Floyd sorti en 1973 (6 ans avant the Wall) est aussi une boucle : on entend des bruits de coeurs au début et à la fin de l’album.