Un basketteur aurait pu devenir milliardaire avec Nike

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Spencer Haywood fut un joueur de basketball professionnel qui fit le mauvais choix dans les années 70 : en négociation avec Nike, il préféra empocher la somme de $100 000 dollars plutôt que prendre 10% de parts dans la jeune société. Aujourd'hui, ces parts vaudraient pas loin de 10 milliards de dollars.


Tous les commentaires (36)

a écrit : Ça n'a rien à voir.
1. SCMB n'est pas une société en actions cotées en bourse.
2. SCMB ne vend rien et depuis sa création, n'est disponible qu'en une langue.
3. SCMB ne pourra jamais rapporter autant qu'une grande multinationale.

Par contre, je te propose autre ch
ose : Préfères-tu 100 000 $ ou 10% des actions de Nanobiotix ? Afficher tout
C’était un exemple facile sans volonté d’exacte réalité.
Mais en 71, est ce que Nike était déjà une multinationale cotée en Bourse ..?

a écrit : Je ne sais pas dans quel monde vous vivez mais j’aimerais bien vous rejoindre.
Dans le mien, un graphiste ne reçoit pas des parts d’une société quand il dessine un logo. Il reçoit un cachet, selon l’importance de la marque.
Un peu plus de 200$ dans les années 70 de la part d’une marque peu connue, pour un
e étudiante par encore diplômée ? Le deal est très bon. Afficher tout
On vit dans le même monde que toi ;) Effectivement, le graphiste reçoit un cachet et ne devient pas le propriétaire du logo... Le propriétaire c'est celui qui utilise le logo.
Mais là, on lui a proposé des parts de la société au lieu d'un cachet ; et il a refusé... Donc, dommage pour lui, mais il fallait avoir une boule de cristal ;)

a écrit : C’était un exemple facile sans volonté d’exacte réalité.
Mais en 71, est ce que Nike était déjà une multinationale cotée en Bourse ..?
D'accord.

Non tu as raison, elle n'était pas cotée en bourse mais était déjà une société par actions (logique puisqu'il lui ont propose des actions).

Un autre choix que le plus rentable n'est pas mauvais d'office. Gagner 100 000$ cash, à l'époque, au lieu de devenir actionnaire et de miser sur une explosion en bourse de l'entreprise est pragmatique.
Un candidat qui partirait d'un jeu télévisé avec 100000$ au lieu de miser sur un gain de 1 000 000 000 avec un risque palpable et reel de ne rien avoir fait-il un mauvais choix?

Aux génies et aux têtes brûlées les coups d'éclat et les pertes spectaculaires! Mieux vaut qu'on parle de toi parce que tu as eu 100000$ que parce que tu les as ratés pour 10% de rien.

Au contraire, il a fait un très bon choix car ces 10% de parts de Nike lui auraient gâché la vie alors qu'il a eu une vie plus heureuse grâce aux $ 100 000 qu'il a empochés à ce moment-là (c'est simplement pour dire qu'on ne peut pas savoir si c'était un bon ou un mauvais choix, on sait juste qu'il a eu la possibilité d'être propriétaire de 10% de Nike à un moment donné et qu'il n'a pas choisi cette possibilité).

Tout comme les frères mcdonald et le 3ème associé à la création d'Apple,des gens qui avec un peu de bon sens serait devenu immensément riche.

Et que fait on de l'effet papillon ? Si quelqu'un qui sait s'exprimer developpe mon point de vue c'est cool.

a écrit : Tout comme les frères mcdonald et le 3ème associé à la création d'Apple,des gens qui avec un peu de bon sens serait devenu immensément riche. Ha tiens, puisque personne ne l’a faite celle la, je m’y colle.
Le gars, il s’est quand même bien fait Niker.

Earvin Johnson, Jr., dit Magic Johnson, a fait le même choix qu'il regrette aujourd'hui. Src une interview dans le show de Ellen DeGeneres.

a écrit : On en parle de Sean Connery qui s’est assis sur le rôle de Gandalf et les 10% des revenus du Seigneur des Anneaux parce qu’il « ne comprenait rien au scénario » ? Oui on en a déjà parlé, tu en parles et on en reparlera

En dehors des diversions, il faut se rappeler que la personne concernée, à savoir un joueur, était plus axé sur le jeu du basket en lui même que sur la finance et l'économie.. De plus, étant dans la misère, on ne lui reprochera absolument pas non plus d'avoir favoriser un apport d'argent assez conséquent (quand tu pars de 0, 100,000 ça lance ta nouvelle carrière bien comme il faut, surtout en 70')

a écrit : Si Nike avais coulé sont choix aurait été super Et le tien d écrire "son" plutôt que "sont" c'est "le sien" pas le verbe être... Merci de prendre quelques secondes pour faire le Bon choix !!ça fait du bien à la langue française..

a écrit : Et le tien d écrire "son" plutôt que "sont" c'est "le sien" pas le verbe être... Merci de prendre quelques secondes pour faire le Bon choix !!ça fait du bien à la langue française.. Une faute d'inattention je crois que cela peut arriver

Quand tu vois certains écrire "BB" ou encore pire "C 1 Ka celui ci" au lieu de "c'est un cas celui ci"

Car à l'heure actuelle nous n'avons plus autant de limite de caractère pour écrire contrairement à l'époque du début des SMS ou nous avions pour les gens les mieux aisé d'une classe moyenne des forfaits allant jusqu'à 300 SMS par mois et cela pour 40 à 50€ de forfaits et dans ce forfaits nous n'avions même pas les appels en illimité c'était un temps d'appel OU tant de SMS maintenant pour la moitié de ce pris la tu as des forfaits tout en illimité en France métropolitaine

Je ne dis pas que ma faute est excusable juste que je crois qu'il y a bien pire

a écrit : Il ne faut pas oublier que les entreprises de ce type ont recourt à des augmentations de capital avec des nouveaux actionnaires.
Si les 100,000$ représentaient 10% du capital à l’époque, son poids ne serait pas resté constant. Ainsi le doublement du capital aurait diluer son poids à 5% et ainsi de suite.
Au
final ce monsieur aurait quand même fait une belle affaire vue la croissance de Nike mais il ne serait pas devenu multimilliardaire. Afficher tout
Il me semblait que l'augmentation du nombre d'actions d'une entreprise pouvait uniquement passer par la subdivision des actions existante. Dans ce cas, les 10% restent 10% même si le nombre d'action triple.

Mais je ne suis vraiment pas sûr, alors si quelqu'un a une explication...