Bien que le Costa Rica a une image de pionnier dans la protection de l'environnement avec environ 25% de son territoire protégé, il est le pays dans le monde qui utilise le plus de pesticides par hectare de terre cultivée avec 51,2 kg de pesticides par hectare (contre 4,4 kg/ha pour la France).

Commentaires préférés (3)
Un peut comme la Nouvelle-Zélande, c'est un pays qui est très vert mais pour y avoir vécu pendant un bon moment, ils n'ont pas du tout un comportement écolo, gros 4X4, beaucoup de sachet plastique, déchet à profusion...
Et là aussi, beaucoup de pesticides utilisés
Ce qui est effectivement fait dans l'anecdote vu qu'on parle du ratio à l'hectare...
Un peu comme la Norvège qui a une politique (et donc une image pour beaucoup) écologique très importante, tout ceci en étant parallèlement le plus gros producteur de pétrole d'Europe (12eme mondial).
Le paradoxe étant que sans cette manne financière le pays ne pourrait pas tenir cette politique écologique.
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la formulation correct ne serait pas "bien que le Costa Rica ait" et non pas "a"?
Un peut comme la Nouvelle-Zélande, c'est un pays qui est très vert mais pour y avoir vécu pendant un bon moment, ils n'ont pas du tout un comportement écolo, gros 4X4, beaucoup de sachet plastique, déchet à profusion...
Et là aussi, beaucoup de pesticides utilisés
@ Dakeyras: Il en laisse des déchets ces Hobbits !
En même temps, avec 7 repas par jour ce n'est pas étonnant !
Faut relativiser en fonction de la superficie du pays comparé à la France par exemple non ?
Ce qui est effectivement fait dans l'anecdote vu qu'on parle du ratio à l'hectare...
Un peu comme la Norvège qui a une politique (et donc une image pour beaucoup) écologique très importante, tout ceci en étant parallèlement le plus gros producteur de pétrole d'Europe (12eme mondial).
Le paradoxe étant que sans cette manne financière le pays ne pourrait pas tenir cette politique écologique.
Après "bien que", l'utilisation de l'indicatif n'est pas interdit (mais reste marginal) si c'est pour insister sur la véracité de ce dont on parle. Cependant, le subjonctif reste plus utilisé et plus usuel.
L'ananas du Costa Rica, une vraie bombe de pesticides, le premier prix est le roi des anti-Bio
L'indicatif affirme, le subjonctif suppose : là l'auteur affirme que le Costa Rica a une image de pionnier dans la protection de l'environnement. On doit utiliser le subjonctif quand l’événement est probable, par exemple "J'ai peur qu'il pleuve". La météo est incertaine. Il faut dire "J'ai peur qu'il est bleu" si tu parles d'un mur que ton père a peint hier, mais dire "J'ai peur qu'il soit bleu" si tu parles d'un mur que ton père a peut-être peint, sans certitude. Drôle de conjugaison, un mode rien que pour signifier l'incertitude...
Pour en revenir à l'anecdote, la culture de l'ananas et de la banane requiert problablement beaucoup de pesticide pour tenir les rendements voulus. Ce qui est sans doute moins le cas en France pour d'autres types de culture, où des recherches agronomiques ont permis de trouver des souches plus résistantes et plus productives, ont permis d'imaginer des techniques de culture plus respectueuses de l'environnement en maintenant les rendements. Mais je suis confiant, j'espère que des recherches sur la banane et l'ananas se font (notez l'indicatif, qui insiste sur ma confiance), et que l'usage de pesticides diminuera et s'arrêtera à terme.
J'ai dit, et je maintiens, du mal du Costa Rica, mais en France, entre le moment où la fleur apparait et le moment où elle est cueillie, une pomme est traitée 36 (trente six) fois... record à battre? je ne crois pas
La pomme en effet est l'exemple type de la culture ultra traitée. Comment font les bio ? Traiter 36 fois doit coûter cher mais rendement (plus ou moins) garanti, ne pas traiter economise mais rendement (pas) garanti?? L'équation financière est à l'équilibre bio ou pas bio?
Les pommes bio sont traitées, ce "scandale" est connu, mais la réplique est "on ne peut pas faire autrement"
alerte-environnement.fr/2015/04/03/biocoop-oublie-que-ses-pommes-bio-sont-traitees-avec-des-pesticides/
Merci pour ce lien. Je connaissais l'usage du cuivre, mais ignorait l'usage d'autres produits naturels mais pas forcément moins toxiques (la toxine botullique ou le venin de vipère sont parfaitement naturels, et pourtant... ). En théorie ces produits ne sont dérivés de l'agrochimie que je qualifierai de lourde (pétrochimie), l'impact environnementale est censé être plus faible
En même temps le label bio n'interdit pas les traitements... l'emploi de produits phytosanitaires est juste règlementé...
En fait, le bio n’impose que l’interdiction d’engrais et pesticides « non naturels ». Si tant est que l’on puisse qualifier le sulfate de cuivre de « naturel »...
Les pesticides « bio » ne sont pas moins toxiques mais ils sont moins efficaces car moins purs, donc on en met généralement plus. Ajouté au fait qu’il faille plus, du fait notamment de cette moindre efficacité, de surface agricole pour un rendement identique à l’agriculture conventionnelle...
Pareil en Australie!
Faux sur la question du rendement. Renseigne toi sur le biointensif et la permaculture: réduction des surfaces pour rendement optimal sans traitement par association d'espèces. Alors non pour une logique d'agriculture industrielle ça marche pas, mais pour redévelopper le monde agricole à échelle raisonnée et locale, ça fonctionne. Peut être la nouvelle future révolution agricole qui mettra fin à cette aberration de révolution ´verté des années 50...
Il a surtout une image de pionnier en terme d’énergie renouvelable: 100% de l’électricité dont le pays a besoin est produit de cette manière (hydro-électricité, énergie éolienne, géothermique, solaire)
Déjà, on a pas eu droit au « malgré que » ! Ensuite, le reste est correct bien que peu utilisé. J’ai bien peur que tu te fourvoie.