Airbnb, une histoire de matelas gonflable

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A l'origine d'Airbnb, il y avait deux fondateurs qui accueillaient des personnes chez eux sur un matelas gonflable afin d’arrondir leurs fins de mois. Ils créèrent alors le site airbedandbreakfast.com, dont la traduction est « matelas gonflable et petit déjeuner ». Le terme actuel est donc une contraction de l’adresse originale et si vous tapez cette dernière vous serez redirigé sur le site actuel.


Tous les commentaires (24)

a écrit : Comme...?
C'est bien de démystifier le bazar, mais c'est quoi les trucs + intéressant? (Histoire de pas laisser les wannabe entrepreneurs dans le désespoir le plus profond)
Les trucs les plus intéressants sont les moins glamours aussi.

Se reposer sur ses compétences et pas sur ses idées dans un premier temps.
Rentabiliser sur ce qu’on sait faire, qui est déjà demandé, qui a déjà un marché mature. (Oui, c’est moins glamour)
Penser en tout premier à la stabilité, pas à la rentabilité. (La rentabilité attire déjà assez par elle même pour qu’on ai besoin de s’y concentrer. Sérieusement !)
Faire très attention à se lier avec des partenaires à notre taille. Ou innover sur les associations et le réseau inhabituel (des partenariats avec des entreprises à notre taille et travaillant pas ensemble d’habitude) plutôt que sur une marchandises inhabituelle.

D’une façon générale, limiter ses ambitions aux valeurs déjà possédés (en argent et en savoir faire)
Donc ne pas chercher à emprunter, ou très peu, ou seulement sur quelque chose qui a une valeur durable (genre un local qui pourra être revendu)
Si vous ne pouvez pas vous le payer, c’est souvent que vous avez une ambition mal placée. Essayez de faire du stable avec ce que vous avez.

Se former d’abord, ne serait-ce que 3-4 ans à gérer une entreprise normale avant de vouloir en créer une sur une idée novatrice.

Apprendre ce que c’est qu’une relation client, savoir ce que c’est que négocier des prix, que de commercer avec des prestataires, de se débrouiller avec une compta, avec les institutions publiques, avoir au moins déjà eu l’expérience d’un conflit juridique.
C’est déjà une aventure en sois.

Lorsque ça, ça marchera, embaucher quelqu’un pour prendre sa place, et se servir du surplus pour s’engager sur des choses expérimentales.

Si on déniche un réels besoin, fonder une association des différents concernés autours de ce besoin dans un premier temps (Oui un truc non lucratif et démocratique pour voir la variété des avis sur ce truc nouveaux, fonder une communauté autours de ce besoin qui sera porteuse d’emplois et de contributions, pour vous aussi. )

Plutôt qu’être leader et prédateur, ou pire vouloir être « premier », rassemblez les clients et concurrents dans une structure plus grosses où vous serez tous associés (ou sociétaires)

Mutualisez les forces, stabilisez le marché, et consolidez vos positions faces aux grands industriels prestataires, plutôt que de vous tirer dans les pattes les uns les autres et d’être mis en concurrence. Fondez des solidarités entres « concurrents », ou entre conçurent et clients.

Servez vous des acteurs locaux. (À votre échelle) allez draguer les maires de petites villes et associations locales.
(Des gens altruistes, pas des requins)

Y en a à la pelle des bons trucs. Mais ça va très souvent à rebours des idées ultra-libérales et compétitrices. La loi de la nature, en pénurie de ressources, c’est l’association, l’alliance et la solidarité.
La lutte, c’est dans l’abondance qu’elle sélectionne les forts.
Seuls les très riches peuvent se permettre de se battre seuls contre tous.

a écrit : Les trucs les plus intéressants sont les moins glamours aussi.

Se reposer sur ses compétences et pas sur ses idées dans un premier temps.
Rentabiliser sur ce qu’on sait faire, qui est déjà demandé, qui a déjà un marché mature. (Oui, c’est moins glamour)
Penser en tout premier à la stabilité, pa
s à la rentabilité. (La rentabilité attire déjà assez par elle même pour qu’on ai besoin de s’y concentrer. Sérieusement !)
Faire très attention à se lier avec des partenaires à notre taille. Ou innover sur les associations et le réseau inhabituel (des partenariats avec des entreprises à notre taille et travaillant pas ensemble d’habitude) plutôt que sur une marchandises inhabituelle.

D’une façon générale, limiter ses ambitions aux valeurs déjà possédés (en argent et en savoir faire)
Donc ne pas chercher à emprunter, ou très peu, ou seulement sur quelque chose qui a une valeur durable (genre un local qui pourra être revendu)
Si vous ne pouvez pas vous le payer, c’est souvent que vous avez une ambition mal placée. Essayez de faire du stable avec ce que vous avez.

Se former d’abord, ne serait-ce que 3-4 ans à gérer une entreprise normale avant de vouloir en créer une sur une idée novatrice.

Apprendre ce que c’est qu’une relation client, savoir ce que c’est que négocier des prix, que de commercer avec des prestataires, de se débrouiller avec une compta, avec les institutions publiques, avoir au moins déjà eu l’expérience d’un conflit juridique.
C’est déjà une aventure en sois.

Lorsque ça, ça marchera, embaucher quelqu’un pour prendre sa place, et se servir du surplus pour s’engager sur des choses expérimentales.

Si on déniche un réels besoin, fonder une association des différents concernés autours de ce besoin dans un premier temps (Oui un truc non lucratif et démocratique pour voir la variété des avis sur ce truc nouveaux, fonder une communauté autours de ce besoin qui sera porteuse d’emplois et de contributions, pour vous aussi. )

Plutôt qu’être leader et prédateur, ou pire vouloir être « premier », rassemblez les clients et concurrents dans une structure plus grosses où vous serez tous associés (ou sociétaires)

Mutualisez les forces, stabilisez le marché, et consolidez vos positions faces aux grands industriels prestataires, plutôt que de vous tirer dans les pattes les uns les autres et d’être mis en concurrence. Fondez des solidarités entres « concurrents », ou entre conçurent et clients.

Servez vous des acteurs locaux. (À votre échelle) allez draguer les maires de petites villes et associations locales.
(Des gens altruistes, pas des requins)

Y en a à la pelle des bons trucs. Mais ça va très souvent à rebours des idées ultra-libérales et compétitrices. La loi de la nature, en pénurie de ressources, c’est l’association, l’alliance et la solidarité.
La lutte, c’est dans l’abondance qu’elle sélectionne les forts.
Seuls les très riches peuvent se permettre de se battre seuls contre tous.
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Je suis plus que rassasié : merci.

Alors c'est en partie et faux! En effet l'origine est qu'ils louaient une chambre en bed & breakfirst pour arrondir leur fin de mois car ils etaient etusiants colloc. Et le nom de cette chambre etait ''Air''. Donc ils louaient la chambre Air et non pas un matelas gonflable! Faut verifier ses sources!
Source : interview d'un des co fondateur du site.