En 1964, un artiste nommé Pierre Brassau reçut des critiques élogieuses sur ses œuvres, se faisant qualifier "d'artiste composant avec la grâce d'un ballet". Ce peintre était en fait un singe, peignant pour une expérience voulant prouver que les critiques sur l'art abstrait sont absurdes. Seule une critique alla droit au but en disant : "Seul un singe a pu faire ça".
Nos applications mobilesFacebookTwitterFeeds15524 anecdotes - 539 lecteurs connectés
Le site pour briller en soirée
Tous les commentaires (48)
www.lepoint.fr/arts/italie-des-femmes-de-menage-jettent-une-oeuvre-d-art-sans-le-savoir-27-10-2015-1977177_36.php
mobile.francetvinfo.fr/monde/europe/italie-une-femme-de-menage-d-un-musee-jette-une-oeuvre-d-art-aux-ordures_536415.html
Le pire, c'est ce que c'est déjà arrivé plusieurs fois... toujours en Italie presque X).
C'était peut-être même le but recherché, car les artistes poursuivant inlassablement leurs efforts, pour faire de plus en plus alambiqué, on est prié, maintenant, de remarquer le concept et non plus l'objet lui-même. Lorsqu'un farceur a récemment mangé une banane qui était scotchée sur un mur (et cette oeuvre était évaluée à 100 000 euros je crois). L'agent de l'artiste a doctement expliqué que c'était pas grave car la banane devait être remplacée de temps en temps et que l'oeuvre c'était le concept de banane scotchée au mur et non la banane elle-même. Alors pourquoi un artiste ne se vanterait-il pas qu'il a créé un concept de tas d'ordures tellement ressemblant qu'une femme de ménage l'a jeté à la poubelle et que c'était le but recherché et que c'est le fait d'être jeté à la poubelle qui valide son concept et lui donne toute sa valeur ?
ROFL
Ca me rappelle aussi l'histoire du gars qui a laissé ses lunettes au sol, et petit à petit des visiteurs ont commencé à contempler "l'oeuvre" comme si c'était Le Radeau de la méduse!