Le cannabis fut autorisé en France

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En France, l'usage médical du cannabis fut autorisé jusqu’en 1953. Il était utilisé entre autres comme analgésique et sédatif. Au XIXe siècle, on en trouvait même dans des sirops pour enfants !

Parmi tous ces médicaments disponibles sur le marché à la fin du 19ème siècle, la majorité était administrée par voie orale sous forme de dilutions (extraits de cannabis dans un solvant d’alcool éthylique).


Tous les commentaires (26)

a écrit : Je pense que la légalisation se fera dans quelques années. Et de mon avis perso, il était temps. Ca fait 20 ans que j'entends ça, les mecs la haut veulent interdire la CBD...

On a une élite politique complètement déconnectée dans notre beau pays, je me souviens, quand dans les années 90, des petits malins ont trouvé comment faire fonctionner les moteurs diesel avec de l'huile végétale, ils ont pondu une loi pour intégrer l'huile de tournesol dans la Taxe Intérieure sur les Produits Pétroliers (faut qu'on m'explique le rapport entre le tournesol qui pousse chez nous et le pétrole importé du Venezuela) et maintenant, ce n'est pas le THC qu'ils veulent interdire, c'est la plante toute entière.


Franchement je n'y crois plus. J'espère que je me trompe.

a écrit : Ca fait 20 ans que j'entends ça, les mecs la haut veulent interdire la CBD...

On a une élite politique complètement déconnectée dans notre beau pays, je me souviens, quand dans les années 90, des petits malins ont trouvé comment faire fonctionner les moteurs diesel avec de l'huile végétale, ils
ont pondu une loi pour intégrer l'huile de tournesol dans la Taxe Intérieure sur les Produits Pétroliers (faut qu'on m'explique le rapport entre le tournesol qui pousse chez nous et le pétrole importé du Venezuela) et maintenant, ce n'est pas le THC qu'ils veulent interdire, c'est la plante toute entière.


Franchement je n'y crois plus. J'espère que je me trompe.
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Pas bête. Je m’accroche au dicton « l’espoir fait vivre » parfois..

a écrit : Pas bête. Je m’accroche au dicton « l’espoir fait vivre » parfois.. Eh moi aussi, depuis que mon médecin de famille m'a demandé a moi de lui trouver de l'herbe pour le soulager de son cancer...

Ca faisait 15 ans que je fumais plus mais j'étais son dernier espoir, la morphine ne faisant plus effet.

Je lui en ai trouvé (ca a pas été facile^^)... arrêtez moi! Passez moi les menottes, Je mérite la peine de mort, comme mon ex toubib.

A chaque fois que ce sujet est abordé, je m'imagine les sales cons qui nous dirigent, en phase terminale de cancer généralisé qui supplient leur médecin de leur donner un truc plus efficace que la morphine médicale et que le toubib leur sort que c'est pas possible parce que vous avez voté une loi qui interdit de consommer cette plante, j'espère que l'un d'entre eux lira ce commentaire et payera quelqu'un pour aller dans une cité lui acheter une barrette de shit... car quand on a plus rien, on est prêt a tout, même à renier son idéal.

Et BIM!

J'espère que le monde évoluera vers la liberté de choisir...

a écrit : Pour avoir fumé pendant 10 ans tous les jours (j'en ai 30 aujourd'hui) 1 à 3 pétards le soir je peux je pense donner mon vécu qui pourra servir à d'autres.

Fumer n'est pas aussi anodin qu'on le pense lorsqu'on est fumeur. Moi même il y a encore 1 an je pensais que je fumerai
toute ma vie, peut être moins mais sans jamais réellement arrêter parce que j aimais ça. Puis la crise sanitaire est passé par là...le stress de cette période, mixé au boulot et à l'éloignement de mes proches ou amis (notamment du fait que je sois célibataire - la fumette n'aide pas - et donc seul dans mon logement) m'ont fait ressortir les mauvais côté du cannabis. J'étais dépendant pour trouver le sommeil, hors dans cette période délicate, fumer ne me procurait plus de plaisir mais accentué mon anxiété et mes troubles du sommeil voir la paranoïa. Je n'arrivais plus à dormir, j avais une pointe permanente dans la poitrine, avec la psychose qui va avec. Ça a duré plusieurs moi avant que j accepte d admettre qu il était temps pour moi d'arrêter.

C'est à ce moment que j ai découvert à quel point mon addiction était forte. J'ai arrêté casiment du jour au lendemain, s'en est suivi de grosse insomnie, une dépression m'amenant a consulter un addictologue. J'ai essayé plusieurs méthodes douces avant de me résoudre à prendre des antidépresseurs et des somnifères pendant les premières semaines de sevrage. La nuit je me réveillais trempé, je faisais des cauchemars.

Mais au bout d'1 mois, l'addiction est parti et j ai pu redormir presque normalement. Et la dépression également.

Aujourd'hui ça va faire 6 mois que je n'ai plus fumé, et mon souhait d'arrêter a motivé mes amis pour en faire de même.

Je me sens beaucoup mieux et je n'ai plus du tout l'envie de fumer, tout simplement parce que je n'aime plus les effets du THC.


J'ai également arrêté il y a peu la cigarette de façon régulière (1 paquet tous les 1/2 jours cet été). J ai choisi de prendre une cigarette électronique a 3mg et comme j'aime tjs le goût de la weed, j'achète du CBD légalement dans les magasins.

À tous qui vous reconnaissez dans mon commentaire, sachez que oui ça peut être difficile d'arrêter, encore que nous ne sommes pas tous égaux face à la dépendance, pour des amis qui fumaient autant se fut plus facile, mais lorsque vous aurez réussi vous serez fier de vous ! Et vous verrez rapidement les effets positifs qui sont finalement supérieur au "plaisir" de fumer. Et après plusieurs mois de sevrage vous pourrez vous permettre de refumer quelques taf en soirée si l'envie vous chante dans retomber dans l'addiction.

À tous les fumeurs jeunes ou vieux qui souhaitent arrêter je vous dis bon courage, vous pouvez le faire.

May the force be with you !
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Je suis à peu près dans le même cas que toi, gros consommateur pendant 16 ans, j'ai arrêté du jour au lendemain car j'ai senti que ça empiétait trop sur ma vie etc...
Je veux juste alerter sur le fait de reprendre une taf par ci par là de temps en temps. Je dis attention car j'ai replongé 2 fois comme ça. L'unique solution, c'est d'arrêter TOTALEMENT.

a écrit : Heu...

Je viens encore, la semaine dernière, d'écarter de mon cercle de connaissances, un accroc à la fumette de joints. Son comportement relationnel n'est pas des meilleurs, sous ces effets.
Ce n'est pas le premier... Et probablement pas le dernier que j'éviterai, tant la dé
mocratisation de sa consommation récréative est maintenant répandue dans la population.
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Aux États-Unis, c'est la "Marihuana Tax Act" qui cherchera à mettre fin à son usage récréatif, dès 1937.
Néanmoins, cette Loi Fédérale... englobait aussi l'usage du chanvre dans son usage industriel et médical, ne le rendant plus économiquement compétitif.
Néanmoins, quand les États-Unis entrent dans le conflit de la Seconde Guerre Mondiale, le Ministère de l'Agriculture, se doit de relancer une production nationale. En effet la fibre sert à fabriquer le cordage des milliers de Liberty et Victory ships, de partie des semelles des bottes militaires, des parachutes, etc...
Tant cette matière première se fit tellement indispensable, que les familles d'agriculteurs cultivant le chanvre, étaient exonérés de leurs devoirs militaires.
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Écarter les gens autour de soi pour raisons morales ou esthétiques... Tu es prêts pour la scientologie!

a écrit : Écarter les gens autour de soi pour raisons morales ou esthétiques... Tu es prêts pour la scientologie! Tu fais grandement erreur.
Cette personne, avec qui je travaillais (et partageais le logement de fonction), n'avait plus le contrôle de soi-même, une fois un joint fumé. Rajoutes-y de l'alcool et le "cocktail" est servi.

Il devenait insultant, perdait la notion de l'heure (musique à fort volume à hautes heures de la nuit dans l'appart) et d'autres...
Son manque de sommeil ne le rendait pas professionnelement compétent au lendemain... Et celui provoqué chez moi , commençait aussi à se ressentir.

"L'écarter de ma vie", a consisté de ma part, à prendre la décision de démissionner de mon emploi, et donc, de perdre mon logement de fonction...

En parler avec le couple propriétaire de l'entreprise, pour solutionner le problème ? Oui, par force, et même deux fois !
Leur intervention n'a pas mené à une amélioration de sa part.
Voici donc pourquoi j'ai donné mon préavis.
Les patrons m'ont dit que "ça les faisait chier que je m'en aille", mais ils ne voulaient pas devoir rompre le contrat (un CDD) de travail avec ce type, car l'indemnité était salée.

Donc, aucune "raison morale ou esthétique" de ma part, mais pratique.