Un physicien du projet Manhattan était un espion

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Theodore Hall fut un physicien précoce et un espion soviétique. Diplômé d'Harvard à 18 ans seulement, il intégra l'équipe du Projet Manhattan, chargée de mettre au point la première bombe nucléaire. Par conviction politique, il transmit des informations au consulat soviétique de New York, notamment des informations détaillées sur la bombe au plutonium "Fat Man" et les procédés de purification du plutonium.


Commentaires préférés (3)

Plus tard, en 1950, un an après le premier test nucléaire soviétique, il fait partie de l'appel de Stockholm, lancé par Frédéric Joliot-Curie (gendre de Marie et Pierre Curie, lui aussi prix Nobel tout comme Irène Joliot-Curie, et militant communiste) pour interdire la bombe atomique.
On peut trouver paradoxal le fait de vouloir donner une bombe a un pays, avant de militer pour lui enlever, mais le but n’était pas de donner l'arme nucléaire a l'union soviétique pour qu'il l'utilise, mais plutôt pour éviter que les états unis n'en ai le monopole, devenant un état impérialiste inarrêtable.

a écrit : Plus tard, en 1950, un an après le premier test nucléaire soviétique, il fait partie de l'appel de Stockholm, lancé par Frédéric Joliot-Curie (gendre de Marie et Pierre Curie, lui aussi prix Nobel tout comme Irène Joliot-Curie, et militant communiste) pour interdire la bombe atomique.
On peut trouver parado
xal le fait de vouloir donner une bombe a un pays, avant de militer pour lui enlever, mais le but n’était pas de donner l'arme nucléaire a l'union soviétique pour qu'il l'utilise, mais plutôt pour éviter que les états unis n'en ai le monopole, devenant un état impérialiste inarrêtable. Afficher tout
Et c'était une bonne chose, l'histoire l'a montré, c'est trop tentant d'avoir le monopole d'une arme supérieure et de ne pas s'en servir...

@Meryl Non, toutes les nations industrielles faisaient des recherches sur le nucléaire, déjà bien avant la guerre les scientifiques savaient qu'il était possible d'en faire une bombe, par contre, les USA ont mis des moyens colossaux pour arriver à la faire, le "transfert" de technologie a juste fait gagner du temps et de l'argent à l'URSS mais ils l'auraient eue tôt où tard, vu que les USA ont prouvé que c'était possible.

a écrit : Est-ce que quelqu’un sait si cet acte a été l’élément déclencheur de l’acquisition de la bombe par les soviétiques? Il n’était pas le seul scientifique a partager des informations sur le projet Manhattan, on peut citer Klaus Fuchs et David Greenglass. La première bombe, RDS-1, ressemble assez aux Mark 3 (le modèle de Fat Man), ces informations ont donc clairement été utiles.


Tous les commentaires (24)

Est-ce que quelqu’un sait si cet acte a été l’élément déclencheur de l’acquisition de la bombe par les soviétiques?

Plus tard, en 1950, un an après le premier test nucléaire soviétique, il fait partie de l'appel de Stockholm, lancé par Frédéric Joliot-Curie (gendre de Marie et Pierre Curie, lui aussi prix Nobel tout comme Irène Joliot-Curie, et militant communiste) pour interdire la bombe atomique.
On peut trouver paradoxal le fait de vouloir donner une bombe a un pays, avant de militer pour lui enlever, mais le but n’était pas de donner l'arme nucléaire a l'union soviétique pour qu'il l'utilise, mais plutôt pour éviter que les états unis n'en ai le monopole, devenant un état impérialiste inarrêtable.

a écrit : Plus tard, en 1950, un an après le premier test nucléaire soviétique, il fait partie de l'appel de Stockholm, lancé par Frédéric Joliot-Curie (gendre de Marie et Pierre Curie, lui aussi prix Nobel tout comme Irène Joliot-Curie, et militant communiste) pour interdire la bombe atomique.
On peut trouver parado
xal le fait de vouloir donner une bombe a un pays, avant de militer pour lui enlever, mais le but n’était pas de donner l'arme nucléaire a l'union soviétique pour qu'il l'utilise, mais plutôt pour éviter que les états unis n'en ai le monopole, devenant un état impérialiste inarrêtable. Afficher tout
Et c'était une bonne chose, l'histoire l'a montré, c'est trop tentant d'avoir le monopole d'une arme supérieure et de ne pas s'en servir...

@Meryl Non, toutes les nations industrielles faisaient des recherches sur le nucléaire, déjà bien avant la guerre les scientifiques savaient qu'il était possible d'en faire une bombe, par contre, les USA ont mis des moyens colossaux pour arriver à la faire, le "transfert" de technologie a juste fait gagner du temps et de l'argent à l'URSS mais ils l'auraient eue tôt où tard, vu que les USA ont prouvé que c'était possible.

a écrit : Est-ce que quelqu’un sait si cet acte a été l’élément déclencheur de l’acquisition de la bombe par les soviétiques? Il n’était pas le seul scientifique a partager des informations sur le projet Manhattan, on peut citer Klaus Fuchs et David Greenglass. La première bombe, RDS-1, ressemble assez aux Mark 3 (le modèle de Fat Man), ces informations ont donc clairement été utiles.

a écrit : Dans la mesure ou c est un choix delibere d équité, lire une biographie de Staline a priori eut pu etre judicieux.... Sinon pour un complément de sources fr.m.wikipedia.org/wiki/Projet_de_bombe_atomique_sovi%C3%A9tique Dans ce cas on peut aussi rajouter le fait que les USA ont surdéveloppé leur programme nucléaire parce qu'ils étaient persuadés que l'Allemagne développait Sa Bombe (sinon ils se seraient pas emmerdés à anéantir sa production d'eau lourde), et on peut aussi remonter plus loin, les calculs d'Einstein, puis les travaux des Curie...

Comment expliquer que l'URSS ait réussi son premier test 4 ans après la guerre? Parce que ce n'était pas prioritaire pendant la guerre, point, mais les équations étaient là depuis longtemps.

C'est un peu comme avec la fusion dans une centrale aujourd'hui, d'après les papiers, c'est possible, mais... il va falloir beaucoup de zéros derrière le 1 sur le chèque de banque pour y arriver, et on sait pas quand on y arrivera.

a écrit : Dans ce cas on peut aussi rajouter le fait que les USA ont surdéveloppé leur programme nucléaire parce qu'ils étaient persuadés que l'Allemagne développait Sa Bombe (sinon ils se seraient pas emmerdés à anéantir sa production d'eau lourde), et on peut aussi remonter plus loin, les calculs d'Einstein, puis les travaux des Curie...

Comment expliquer que l'URSS ait réussi son premier test 4 ans après la guerre? Parce que ce n'était pas prioritaire pendant la guerre, point, mais les équations étaient là depuis longtemps.

C'est un peu comme avec la fusion dans une centrale aujourd'hui, d'après les papiers, c'est possible, mais... il va falloir beaucoup de zéros derrière le 1 sur le chèque de banque pour y arriver, et on sait pas quand on y arrivera.
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120 millions de degrés pendant 1 minute et 41 secondes en mai 2021.
70 millions de degrés pendant 17 minutes et 36 secondes en janvier 2022.

On est en train d'accélérer pas mal sur le sujet. C'est peut-être d'ailleurs un de nos derniers espoirs de maintenir la vie sur Terre quelques millénaires de plus.

#dontlookup

a écrit : 120 millions de degrés pendant 1 minute et 41 secondes en mai 2021.
70 millions de degrés pendant 17 minutes et 36 secondes en janvier 2022.

On est en train d'accélérer pas mal sur le sujet. C'est peut-être d'ailleurs un de nos derniers espoirs de maintenir la vie sur Terre quelqu
es millénaires de plus.

#dontlookup
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J'ai bien précisé qu'il manquait des zéros sur le chèque, pas en degrés... ^^

Pour rester sur ton com, la fusion devrait aussi nous permettre les voyages interplanétaires sans risquer de mourir d'ennui... mais ceci est une autre histoire. ;) (désolé, je me gare)

a écrit : 120 millions de degrés pendant 1 minute et 41 secondes en mai 2021.
70 millions de degrés pendant 17 minutes et 36 secondes en janvier 2022.

On est en train d'accélérer pas mal sur le sujet. C'est peut-être d'ailleurs un de nos derniers espoirs de maintenir la vie sur Terre quelqu
es millénaires de plus.

#dontlookup
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Les roadmap sont pourtant avec des mises en fonctionnement industriel vers 2070 quand j'avais regardé... C'est malheureusement après la 'fete'

a écrit : 120 millions de degrés pendant 1 minute et 41 secondes en mai 2021.
70 millions de degrés pendant 17 minutes et 36 secondes en janvier 2022.

On est en train d'accélérer pas mal sur le sujet. C'est peut-être d'ailleurs un de nos derniers espoirs de maintenir la vie sur Terre quelqu
es millénaires de plus.

#dontlookup
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T'es pessimiste, la vie se maintiendra sur terre. La question est plus de savoir si ça sera dans de bonnes ou mauvaises conditions. La fusion sera une évolution intéressantes comme la fission l'a été en son temps. Mais à mon sens le changement fondamental sera de comprendre et parvenir à manipuler la gravité, se dédouaner des masse et inertie, distordre l'espace temps. A supposé qu'on ait le temps et qu'on en soit capable.

a écrit : Est-ce que quelqu’un sait si cet acte a été l’élément déclencheur de l’acquisition de la bombe par les soviétiques? Oui madame la présidente

a écrit : T'es pessimiste, la vie se maintiendra sur terre. La question est plus de savoir si ça sera dans de bonnes ou mauvaises conditions. La fusion sera une évolution intéressantes comme la fission l'a été en son temps. Mais à mon sens le changement fondamental sera de comprendre et parvenir à manipuler la gravité, se dédouaner des masse et inertie, distordre l'espace temps. A supposé qu'on ait le temps et qu'on en soit capable. Afficher tout Ce que tu évoques est de la SF et rien actuellement ne permet de penser que ce soit possible.
En réalité il me semble plus probable que l'on découvre une nouvelle interaction fondamentale que d'arriver à ce que tu décris...

Sur l'énergie, le seul scénario avec les contraintes actuelles et qui pourrait tenir sur le long terme est une réduction de notre consommation. Donc il est probable des niveaux de consommation marchandise doivent directement être réduit. Cela dit ca ne me semble pas incompatible avec une amélioration du 'bien être' général.

a écrit : T'es pessimiste, la vie se maintiendra sur terre. La question est plus de savoir si ça sera dans de bonnes ou mauvaises conditions. La fusion sera une évolution intéressantes comme la fission l'a été en son temps. Mais à mon sens le changement fondamental sera de comprendre et parvenir à manipuler la gravité, se dédouaner des masse et inertie, distordre l'espace temps. A supposé qu'on ait le temps et qu'on en soit capable. Afficher tout Oui très pessimiste. Et je m’étonne toujours de constater que peu de monde ne l’est autant de moi alors que tout le monde a accès aux données scientifique sur le sujet.
Donc soit tout le monde s’en fout, soit tout le monde fait semblant de ne pas voir, soit tout le monde se ment à lui même.

On passe les palliers écologiques de non retour les uns après les autres (la moitié de ceux identifiés sont déjà dépassés). Donc oui la vie (telle qu’on la connaît) sera de plus en plus difficile et en plus nous n’aurons plus de possibilité de revenir à des niveaux « confortables » pour le vivant. De facto, on réduit l’espérance de vie terrestre toutes vies confondues.

La seule question qui reste c’est de savoir si cela se produira en 1000 ans, 300 ans ou 50 ans.

a écrit : Oui très pessimiste. Et je m’étonne toujours de constater que peu de monde ne l’est autant de moi alors que tout le monde a accès aux données scientifique sur le sujet.
Donc soit tout le monde s’en fout, soit tout le monde fait semblant de ne pas voir, soit tout le monde se ment à lui même.

On p
asse les palliers écologiques de non retour les uns après les autres (la moitié de ceux identifiés sont déjà dépassés). Donc oui la vie (telle qu’on la connaît) sera de plus en plus difficile et en plus nous n’aurons plus de possibilité de revenir à des niveaux « confortables » pour le vivant. De facto, on réduit l’espérance de vie terrestre toutes vies confondues.

La seule question qui reste c’est de savoir si cela se produira en 1000 ans, 300 ans ou 50 ans.
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selon mon interprétation, la raison de la non prise de conscience est pour moi :
- je rejette la faute sur les autres, mes collègues me disent qu'ils veulent bien faire 'mieux' mais que tant que patatipatata ca ne sert a rien, leur contribution est mineure donc ne n'est pas la peine que je fasse mieux.
- il y a une névrose collective : plus je travaille, plus je suis frustré, plus j'ai besoin de compenser avec de la consommation (matériel ou du sport, ou de l'alcool etc...). De ce fait, le niveau de consommation est perçu comme contribuant à notre équilibre.
- et surtout pour une très large majorité des gens, comme c'est un problème complexe à appréhender dans son ensemble, ils ne s'y intéressent pas : c'est du délire de bobos CSP+ pour gouacher...
- Si on rajoute les discours de type : il y a un doute raisonnable. Ca m'étonne assez peu qu'on ne fasse rien...

a écrit : selon mon interprétation, la raison de la non prise de conscience est pour moi :
- je rejette la faute sur les autres, mes collègues me disent qu'ils veulent bien faire 'mieux' mais que tant que patatipatata ca ne sert a rien, leur contribution est mineure donc ne n'est pas la peine que je fas
se mieux.
- il y a une névrose collective : plus je travaille, plus je suis frustré, plus j'ai besoin de compenser avec de la consommation (matériel ou du sport, ou de l'alcool etc...). De ce fait, le niveau de consommation est perçu comme contribuant à notre équilibre.
- et surtout pour une très large majorité des gens, comme c'est un problème complexe à appréhender dans son ensemble, ils ne s'y intéressent pas : c'est du délire de bobos CSP+ pour gouacher...
- Si on rajoute les discours de type : il y a un doute raisonnable. Ca m'étonne assez peu qu'on ne fasse rien...
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Ou alors suivre les préceptes de Hari Seldon qui prédisait mathématiquement la chute de l'empire.

Plus une population est grande et plus l'inertie pour modifier les comportements est grande. Il faudrait au moins une prise de conscience et une modification des comportements de la moitié de l'Humanité pour espérer amorcer les changements nécessaires à notre survie future.

J'accuserais tout de même, avant d'accuser l'individu, notre système économique dans sa globalité qui n'est pas du tout en phase avec la finitude du monde.

a écrit : Ou alors suivre les préceptes de Hari Seldon qui prédisait mathématiquement la chute de l'empire.

Plus une population est grande et plus l'inertie pour modifier les comportements est grande. Il faudrait au moins une prise de conscience et une modification des comportements de la moitié de l�
39;Humanité pour espérer amorcer les changements nécessaires à notre survie future.

J'accuserais tout de même, avant d'accuser l'individu, notre système économique dans sa globalité qui n'est pas du tout en phase avec la finitude du monde.
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Oui je ne peux que être d'accord, à ceci près que le système économique est purement artificiel : créé par l'homme pour l'homme. Il est parfaitement possible de le changer si on se fixe des objectifs autres que le PIB/croissance.

a écrit : T'es pessimiste, la vie se maintiendra sur terre. La question est plus de savoir si ça sera dans de bonnes ou mauvaises conditions. La fusion sera une évolution intéressantes comme la fission l'a été en son temps. Mais à mon sens le changement fondamental sera de comprendre et parvenir à manipuler la gravité, se dédouaner des masse et inertie, distordre l'espace temps. A supposé qu'on ait le temps et qu'on en soit capable. Afficher tout Pour te répondre plus précisément sur ta première phrase.

Effectivement, la Terre a connu des cycles et des variations de climat depuis sa naissance et c'était le cas aussi depuis l'apparition de la vie. Ces cycles étaient suffisamment lent pour que la vie s'adapte à chaque fois aux nouvelles conditions. C'est même un principe fondamental du vivant : réussir à s'adapter.

Aujourd'hui le cycle amorcé est très rapide au regard des possibilités d'évolution du vivant. On ne pourra jamais empêcher le changement climatique, on ne peut qu'y contribuer ou ne pas y contribuer. Malheureusement notre contribution et la vitesse des changements qui en découlent empêche tout évolution possible et mènera certainement à une extinction complète de la vie sur Terre.

D'ailleurs on lève souvent la tête en se disant qu'on dérègle notre atmosphère mais ce n'est pas en vérité notre problématique principale. Il faut plutôt baisser la tête et regarder l'état de nos océans... www.futura-sciences.com/planete/actualites/ocean-oceans-rechauffent-6-fois-plus-vite-quil-y-40-ans-enregistrent-nouveaux-records-temperature-83382/

a écrit : Pour te répondre plus précisément sur ta première phrase.

Effectivement, la Terre a connu des cycles et des variations de climat depuis sa naissance et c'était le cas aussi depuis l'apparition de la vie. Ces cycles étaient suffisamment lent pour que la vie s'adapte à chaque fois aux nouve
lles conditions. C'est même un principe fondamental du vivant : réussir à s'adapter.

Aujourd'hui le cycle amorcé est très rapide au regard des possibilités d'évolution du vivant. On ne pourra jamais empêcher le changement climatique, on ne peut qu'y contribuer ou ne pas y contribuer. Malheureusement notre contribution et la vitesse des changements qui en découlent empêche tout évolution possible et mènera certainement à une extinction complète de la vie sur Terre.

D'ailleurs on lève souvent la tête en se disant qu'on dérègle notre atmosphère mais ce n'est pas en vérité notre problématique principale. Il faut plutôt baisser la tête et regarder l'état de nos océans... www.futura-sciences.com/planete/actualites/ocean-oceans-rechauffent-6-fois-plus-vite-quil-y-40-ans-enregistrent-nouveaux-records-temperature-83382/
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Oui mais ça c'est quand tu raisonnes sur une échelle de temps courte. Sur une échelle de temps plus longue ce qui se passe actuellement est loin d'être sans précédent.

Donc oui l'humanité impact le climat de la planète ce qui n'est pas super étonnant vu qu'on est maintenant 8 milliards sur terre. Il est clair qu'un changement rapide de climat aura des conséquences néfastes sur la qualité de vie de notre espèce et probablement d'autres si on ne les a pas toutes tuées d'ici là. Mais pour autant la vie perdurera. Elle a résisté à tous les cycles précédent elle résistera a celui là.

a écrit : Oui mais ça c'est quand tu raisonnes sur une échelle de temps courte. Sur une échelle de temps plus longue ce qui se passe actuellement est loin d'être sans précédent.

Donc oui l'humanité impact le climat de la planète ce qui n'est pas super étonnant vu qu'on est maintenant 8 mill
iards sur terre. Il est clair qu'un changement rapide de climat aura des conséquences néfastes sur la qualité de vie de notre espèce et probablement d'autres si on ne les a pas toutes tuées d'ici là. Mais pour autant la vie perdurera. Elle a résisté à tous les cycles précédent elle résistera a celui là. Afficher tout
Uniquement dans le cas où le cycle s’inverse à un moment. S’il ne s’inverse pas alors la Terre deviendra comme Venus, une belle étuve jaune.

a écrit : Uniquement dans le cas où le cycle s’inverse à un moment. S’il ne s’inverse pas alors la Terre deviendra comme Venus, une belle étuve jaune. La terre a connu des périodes extrêmement plus défavorables à la vie. On s'inquiète parce qu'on s'est habitué à la stabilité du climat des 5000 dernières années mais si tu regardes à plus grande échelle cette période de calme semble être bien plus l'exception que la règle. S'il est indéniable que l'action de l'homme impact le climat à court terme rien ne laisse présager qu'il puisse influer sur des cycles naturels bien plus grand que lui. Il y a fort à parier qu'un cataclysme majeur prendra le pas sur nos tentatives de gestion du climat idéal.