La Statue de la Liberté visible à Paris

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En 1883, avant d’être envoyée vers les États-Unis, la Statue de la Liberté était visible pour les passants du XVIIe arrondissement de Paris. En effet, la fonderie réalisant l’œuvre était située au 25 rue de Chazelles et l’œuvre était largement visible depuis la rue, dépassant les immeubles alentour.

Les journaux de l’époque conseillaient d’ailleurs d’aller voir la statue émergeant au-dessus de la plaine Monceau.


Tous les commentaires (79)

a écrit : Sinon connue des parisiens, mais pas du tout des autres, il y a l'expression dédaignante "provincial"... On peut choisir de voir le verre à moitié plein ou à moitié vide... Étant moi même provincial, je suis très à l'aise avec ce mot et n'y vois pas aucune connotation négative.
Mais si vous préférez aller au-delà du sens premier (habitant de la province) et opter pour une connotation négative, libre à vous de vous auto dénigrer...

a écrit : Y'a "parigot, tête de veau, parisien tête de chien" aussi ^^ (ca marche dans les deux sens)

Sinon je suis d'accord, ils font ce qu'ils veulent, avoir des armes a feu dans le slip, si ca les amuse, qui sommes nous pour les juger. Cela dit, c'est pas la bas que j'irai passe
r mes vacances.
Se prendre une balle perdue, ca arrive, c'est narmol, mais fumer un pétard, c'est la prison a vie... Un pétard... je suis de la vieille école, je sais, m'enfin, un p'tit bob, c'est quand même vachement moins dangereux qu'un calibre 38...^^
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Plusieurs états américains ont légalisé le cannabis.
Il faut garder en tête que c'est un immense état fédéral, pas un petit pays uniformisé comme la France.
La législation des armes à feu ou sur le cannabis varie énormément d'un état à l'autre.

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android

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a écrit : La liberté des femmes à disposer de leur corps comme elles le veulent ne me semblent devoir être encore débattu aujourd’hui dans une société civilisée, qu’elle soit française ou non. Autant j'aime souvent beaucoup ta capacité à intellectualiser les débats, autant je suis étonné de ton réductionnisme pour le coup.
A partir de quand un fœtus peut être considéré comme un être vivant à part entière ? La notion de liberté de son corps est une évidence, mais s'arrête forcément à une certaine limite.
Dans certains états américains les ITG se pratiquent jusque très très tard lors de la grossesse, bcp plus que chez nous. Interdire l'IVG est aussi idiot que de ne pas l'encadrer.
Et gardons en tête que nous nous excitons sur une décision de la cour suprême d'un état fédéral : quelle est la réglementation au niveau européen ? Penses tu vraiment qu'on peut trouver une loi sur l'IVG commune entre la France et la Pologne ? Ben c'est logiquement pareil entre le Texas et la Californie.

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android

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a écrit : Autant j'aime souvent beaucoup ta capacité à intellectualiser les débats, autant je suis étonné de ton réductionnisme pour le coup.
A partir de quand un fœtus peut être considéré comme un être vivant à part entière ? La notion de liberté de son corps est une évidence, mais s'arrête forcément à une certa
ine limite.
Dans certains états américains les ITG se pratiquent jusque très très tard lors de la grossesse, bcp plus que chez nous. Interdire l'IVG est aussi idiot que de ne pas l'encadrer.
Et gardons en tête que nous nous excitons sur une décision de la cour suprême d'un état fédéral : quelle est la réglementation au niveau européen ? Penses tu vraiment qu'on peut trouver une loi sur l'IVG commune entre la France et la Pologne ? Ben c'est logiquement pareil entre le Texas et la Californie.
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Sauf qu’ici on ne parle pas du délai mais de la possibilité de le faire ou non.
Tout comme on ne parle pas d’une loi qui existe mais d’un retour en arrière avec un droit qui est supprimé.

Et peu importe ce que fait la France ou la Pologne, je pense sincèrement que le droit à l’avortement est fondamental dans une société.

a écrit : Autant j'aime souvent beaucoup ta capacité à intellectualiser les débats, autant je suis étonné de ton réductionnisme pour le coup.
A partir de quand un fœtus peut être considéré comme un être vivant à part entière ? La notion de liberté de son corps est une évidence, mais s'arrête forcément à une certa
ine limite.
Dans certains états américains les ITG se pratiquent jusque très très tard lors de la grossesse, bcp plus que chez nous. Interdire l'IVG est aussi idiot que de ne pas l'encadrer.
Et gardons en tête que nous nous excitons sur une décision de la cour suprême d'un état fédéral : quelle est la réglementation au niveau européen ? Penses tu vraiment qu'on peut trouver une loi sur l'IVG commune entre la France et la Pologne ? Ben c'est logiquement pareil entre le Texas et la Californie.
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On peux lister autant d'arguments que l'on désire, tout aussi bien en faveur comme contre l'avortement...
Que ceci ne change rien au fond du débat: le Droit -au delà du Juridique - à la Femme de disposer de son corps à tous les effets, comme ELLE l'entend.

Désautoriser (notion distincte d'interdire) l'avortement est une atteinte directe ET à sa personne ET à son statut au sein d'une société développée.

Si une telle mesure est appliquée, rien, en définitive n'interdit que l'État Fédéral pourrait bientôt revoir toute la Législation relative à l'Homosexualité, voire même remettre en doute la Ségrégation Raciale, qu'elle soit inscrite dans la Constitution ou non.

NB: si c'étaient les hommes (les machos) qui devaient enfanter, crois-moi que le Droit à l'avortement ne serait pas remis en cause.

a écrit : Sauf qu’ici on ne parle pas du délai mais de la possibilité de le faire ou non.
Tout comme on ne parle pas d’une loi qui existe mais d’un retour en arrière avec un droit qui est supprimé.

Et peu importe ce que fait la France ou la Pologne, je pense sincèrement que le droit à l’avortement est fondame
ntal dans une société. Afficher tout
Ils parlent non seulement du délais (jusqu'à 6 mois, durée estimée pour que le fœtus puisse survivre de lui même) mais surtout du fait que l'administration fédérale ne doit pas se substituer aux lois des Etats membres surtout lorsque la constitutionnalité de l'arrêt est questionnable.

Concrètement je suis d'accord avec toi, une femme devrait être autorisée a disposer de son corps comme elle l'entend, comme en France. Donc il faudrait qu'ils parviennent à acter ça au travers de leur 14eme amendement relatif aux liberté et vie privée. Mais vu de la façon dont sont écrits leurs texte le débat est valable.

Si on fait un parallèle avec l'Europe, c'est comme si un texte européen venait écraser nos lois françaises, dans un sens ou dans l'autre. Si l'Europe décretait que l'avortement est illégal on aurait le même genre de débats.

a écrit : On peux lister autant d'arguments que l'on désire, tout aussi bien en faveur comme contre l'avortement...
Que ceci ne change rien au fond du débat: le Droit -au delà du Juridique - à la Femme de disposer de son corps à tous les effets, comme ELLE l'entend.

Désautoriser (notion
distincte d'interdire) l'avortement est une atteinte directe ET à sa personne ET à son statut au sein d'une société développée.

Si une telle mesure est appliquée, rien, en définitive n'interdit que l'État Fédéral pourrait bientôt revoir toute la Législation relative à l'Homosexualité, voire même remettre en doute la Ségrégation Raciale, qu'elle soit inscrite dans la Constitution ou non.

NB: si c'étaient les hommes (les machos) qui devaient enfanter, crois-moi que le Droit à l'avortement ne serait pas remis en cause.
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Le liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres. En France une femme ne peut pas avorter passer la 14eme semaines (12 il n'y a pas si longtemps). Si on réglemente la durée c'est bien parce qu'au bout d'un moment il n'est plus seulement question de la femme.

L'état fédéral ne remet pas en cause la constitution mais s'évertue a légiférer en accord avec l'esprit de cette dernière. Les polémiques naissent lorsque les textes sont évasif. Vu que l'avortement n'était pas vraiment un sujet à l'époque les conservateurs jouent sur les mots pour faire retirer les arrêts qui ne vont pas dans leur sens.

Sur le fond je suis bien sûr d'accord avec vous mais la situation n'est pas si évidente à gérer dans le contexte des USA. Et surtout, si tout le monde était d'accord avec ce que tu dis il n'y aurait pas de débats, les Etats membres voteraient tous des lois autorisant l'avortement sans avoir besoin de l'administration fédérale. Mais manifestement c'est pas le cas et plus de la moitiée des Etats souhaitent l'interdire. Et qui sommes nous pour forcer des gens a suivre notre "bon sens" ?

a écrit : Ils parlent non seulement du délais (jusqu'à 6 mois, durée estimée pour que le fœtus puisse survivre de lui même) mais surtout du fait que l'administration fédérale ne doit pas se substituer aux lois des Etats membres surtout lorsque la constitutionnalité de l'arrêt est questionnable.

Concrè
tement je suis d'accord avec toi, une femme devrait être autorisée a disposer de son corps comme elle l'entend, comme en France. Donc il faudrait qu'ils parviennent à acter ça au travers de leur 14eme amendement relatif aux liberté et vie privée. Mais vu de la façon dont sont écrits leurs texte le débat est valable.

Si on fait un parallèle avec l'Europe, c'est comme si un texte européen venait écraser nos lois françaises, dans un sens ou dans l'autre. Si l'Europe décretait que l'avortement est illégal on aurait le même genre de débats.
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C'est intéressant, parce que c'est justement de ça dont il est question en France actuellement vu ce qui vient de se passer aux USA, d'inclure dans la constitution le droit à l'avortement (on pourra toujours discuter du délai mais c'est un autre débat) pour qu'il devienne impossible de renverser la vapeur.

Je trouve que c'est une bonne chose.

a écrit : Le liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres. En France une femme ne peut pas avorter passer la 14eme semaines (12 il n'y a pas si longtemps). Si on réglemente la durée c'est bien parce qu'au bout d'un moment il n'est plus seulement question de la femme.

L'
état fédéral ne remet pas en cause la constitution mais s'évertue a légiférer en accord avec l'esprit de cette dernière. Les polémiques naissent lorsque les textes sont évasif. Vu que l'avortement n'était pas vraiment un sujet à l'époque les conservateurs jouent sur les mots pour faire retirer les arrêts qui ne vont pas dans leur sens.

Sur le fond je suis bien sûr d'accord avec vous mais la situation n'est pas si évidente à gérer dans le contexte des USA. Et surtout, si tout le monde était d'accord avec ce que tu dis il n'y aurait pas de débats, les Etats membres voteraient tous des lois autorisant l'avortement sans avoir besoin de l'administration fédérale. Mais manifestement c'est pas le cas et plus de la moitiée des Etats souhaitent l'interdire. Et qui sommes nous pour forcer des gens a suivre notre "bon sens" ?
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C'est bien ça le problème, la liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres, et tant qu'il y aura des gens déconnectés des réalités qui pensent à la place des autres "pour leur bien", ça mènera à des drames, à l'avortement illégal dans des conditions désastreuses.

Mais ça, les gens de la haute n'en ont cure, étant tellement certains d'avoir raison. On voit ce que ça a donné, leur "guerre contre la drogue", à un désastre, mais ils persistent...

Après, effectivement, ils font bien ce qu'ils veulent, je ne les juge pas, mais je m'octroie le droit de trouver ça liberticide, et ce dont je suis certain, c'est que ça n'apportera que plus de malheur.

a écrit : Le liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres. En France une femme ne peut pas avorter passer la 14eme semaines (12 il n'y a pas si longtemps). Si on réglemente la durée c'est bien parce qu'au bout d'un moment il n'est plus seulement question de la femme.

L'
état fédéral ne remet pas en cause la constitution mais s'évertue a légiférer en accord avec l'esprit de cette dernière. Les polémiques naissent lorsque les textes sont évasif. Vu que l'avortement n'était pas vraiment un sujet à l'époque les conservateurs jouent sur les mots pour faire retirer les arrêts qui ne vont pas dans leur sens.

Sur le fond je suis bien sûr d'accord avec vous mais la situation n'est pas si évidente à gérer dans le contexte des USA. Et surtout, si tout le monde était d'accord avec ce que tu dis il n'y aurait pas de débats, les Etats membres voteraient tous des lois autorisant l'avortement sans avoir besoin de l'administration fédérale. Mais manifestement c'est pas le cas et plus de la moitiée des Etats souhaitent l'interdire. Et qui sommes nous pour forcer des gens a suivre notre "bon sens" ?
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Dans une échelle de priorités, avorter au delà du délai imparti par la Loi, passe après celui du droit d'avorter ou non.
Dit d'une autre manière, si le Droit d'avorter n'existe pas/plus, il en convient -avec une logique implacable - que déterminer ce nombre de semaines est... inutile.

Le Droit à l'avortement quitte t'il des Droits à d'autres personnes ? Non, incontestablement non.
Aussi, même si dans l'éventualité, - je ne,suis pas allé vérifier les pourcentages de pour et de contre- que la majorité des citoyens/citoyennes Americains/ Américaines sont contre l'avortement, j'aimerai bien savoir en QUOI la décision d'une femme doit dépendre d'opinion(s) d'autrui.
Quant à "croyance" (religieuse s'entend...) n'en parlons même pas....

Avec cette même "règle" dangereuse, on peut également arriver assez facilement à des,dérives consistant à retirer d'autres Droits fondamentaux à bien d'autres minorités: Homosexuel/les, Blacks, Latinos, Amérindiens, Juifs, Musulmans, etc...

Dans le fin fond de cette polémique Étasunienne, je vais te dire mon ressenti: une recherche de domination machiste blanche imprégnée de religion Chrétienne, qui refuse de voir l'évolution multi-pleindechoses de sa Nation.

a écrit : C'est intéressant, parce que c'est justement de ça dont il est question en France actuellement vu ce qui vient de se passer aux USA, d'inclure dans la constitution le droit à l'avortement (on pourra toujours discuter du délai mais c'est un autre débat) pour qu'il devienne impossible de renverser la vapeur.

Je trouve que c'est une bonne chose.
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Oui moi aussi, mais s'il est possible de l'inclure il est aussi possible de l'exclure ultérieurement.

a écrit : C'est bien ça le problème, la liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres, et tant qu'il y aura des gens déconnectés des réalités qui pensent à la place des autres "pour leur bien", ça mènera à des drames, à l'avortement illégal dans des conditions désastreuses.

Mais ça, les gens de la haute n'en ont cure, étant tellement certains d'avoir raison. On voit ce que ça a donné, leur "guerre contre la drogue", à un désastre, mais ils persistent...

Après, effectivement, ils font bien ce qu'ils veulent, je ne les juge pas, mais je m'octroie le droit de trouver ça liberticide, et ce dont je suis certain, c'est que ça n'apportera que plus de malheur.
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C'est choquant parce qu'on pense qu'un "peuple civilisé" doit être "pro-choice" mais c'est pas si simple. Sur le papier si le système démocratique fonctionne et qu'une majorité est pour le droit à l'avortement les lois iront en ce sens. Après si on a laissé une frange de la population prendre le pouvoir et voter contre l'opinion majoritaire faut les chasser. Et si notre opinion est minoritaire dans l'état il faudrait peut-être songer à déménager.

a écrit : Dans une échelle de priorités, avorter au delà du délai imparti par la Loi, passe après celui du droit d'avorter ou non.
Dit d'une autre manière, si le Droit d'avorter n'existe pas/plus, il en convient -avec une logique implacable - que déterminer ce nombre de semaines est... inutile.
<
br /> Le Droit à l'avortement quitte t'il des Droits à d'autres personnes ? Non, incontestablement non.
Aussi, même si dans l'éventualité, - je ne,suis pas allé vérifier les pourcentages de pour et de contre- que la majorité des citoyens/citoyennes Americains/ Américaines sont contre l'avortement, j'aimerai bien savoir en QUOI la décision d'une femme doit dépendre d'opinion(s) d'autrui.
Quant à "croyance" (religieuse s'entend...) n'en parlons même pas....

Avec cette même "règle" dangereuse, on peut également arriver assez facilement à des,dérives consistant à retirer d'autres Droits fondamentaux à bien d'autres minorités: Homosexuel/les, Blacks, Latinos, Amérindiens, Juifs, Musulmans, etc...

Dans le fin fond de cette polémique Étasunienne, je vais te dire mon ressenti: une recherche de domination machiste blanche imprégnée de religion Chrétienne, qui refuse de voir l'évolution multi-pleindechoses de sa Nation.
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Ce que je dis c'est qu'une femme enceinte est 1 personne pendant quelques temps puis devient 2. Une des questions est de savoir à quel moment les droits de l'enfant prennent le pas sur ceux de la femme. Les pro-life défendent les droits de l'enfant. D'où mon paragraphe sur la durée maximum légale.

Pour le reste.. les USA sont restés très religieux. Ils sont tiraillés entre progressistes et conservateurs. Si les conservateurs sont au pouvoir ils passent des lois conservatrices. Si les citoyens ne sont pas contents ils peuvent voter, se rebeller. S'ils laissent faire c'est qu'ils sont OK. Tu peux crier ton opinion ça ne changera rien. On a tous une opinion. Ils pensent être dans le vrai tout comme toi.

a écrit : C'est choquant parce qu'on pense qu'un "peuple civilisé" doit être "pro-choice" mais c'est pas si simple. Sur le papier si le système démocratique fonctionne et qu'une majorité est pour le droit à l'avortement les lois iront en ce sens. Après si on a laissé une frange de la population prendre le pouvoir et voter contre l'opinion majoritaire faut les chasser. Et si notre opinion est minoritaire dans l'état il faudrait peut-être songer à déménager. Afficher tout Il faut faire le distingo en matière de Législation, de ce qui est du domaine public et du domaine privé.

Or, interdire la décision personnelle d'une Femme à avorter -quelles qu'en soient les raisons et les circonstances -, en faisant passer cette décision dans un cadre appartenant au domaine public, est une dérive dangereuse.

Non. Le législateur n'a absolument pas l'obligation de devoir modifier une Loi, en fonction des changements de tendance politique du Gouvernement du moment.
Ceci n'est pas Gouverner pour l'ensemble des citoyens/citoyennes, mais pour son électorat et uniquement pour lui, point barre.
Ceci est clairement une démonstration de favoritisme, qui ne m'étonne d'ailleurs pas du POTUS antérieur.
Çe comportement à d'ailleurs été... son heure de vérité: déphasé sur les réalités actuelles.

Un cas chargé d'enseignement, existe dans la Législation Française et d'autres pays Occidentaux. Celui du mariage pour tous.
Sa légalisation n'a quitté aucun Droit administratif à quelque citoyen que ce soit.
Il n'a fait que supprimer un cadre Juridique empêchant/discriminant toute personne décidant de formaliser administrativement son union, avec le/la conjiint(e) qu'il/elle aime.
Ici, il ne s'agissait que de mettre l'ensemble des citoyens sur un pied d'égalité, telle la devise de la France le dit elle-même.
Cet exemple nous montre clairement que, indépendamment de l'opinion publique, le Législateur DOIT aussi savoir prendre des décisions parfois à contre-courant.

Il ne faut également pas oublier que la naissance obligée d'un bébé, n'est pas forcément une joie pour la mère....
Et que l'interdiction de l'avortement conduira inévitablement à l'apparition de "faiseuses d'anges" avec les risques de Santé qu'ils comportent.

a écrit : Il faut faire le distingo en matière de Législation, de ce qui est du domaine public et du domaine privé.

Or, interdire la décision personnelle d'une Femme à avorter -quelles qu'en soient les raisons et les circonstances -, en faisant passer cette décision dans un cadre appartenant au domaine p
ublic, est une dérive dangereuse.

Non. Le législateur n'a absolument pas l'obligation de devoir modifier une Loi, en fonction des changements de tendance politique du Gouvernement du moment.
Ceci n'est pas Gouverner pour l'ensemble des citoyens/citoyennes, mais pour son électorat et uniquement pour lui, point barre.
Ceci est clairement une démonstration de favoritisme, qui ne m'étonne d'ailleurs pas du POTUS antérieur.
Çe comportement à d'ailleurs été... son heure de vérité: déphasé sur les réalités actuelles.

Un cas chargé d'enseignement, existe dans la Législation Française et d'autres pays Occidentaux. Celui du mariage pour tous.
Sa légalisation n'a quitté aucun Droit administratif à quelque citoyen que ce soit.
Il n'a fait que supprimer un cadre Juridique empêchant/discriminant toute personne décidant de formaliser administrativement son union, avec le/la conjiint(e) qu'il/elle aime.
Ici, il ne s'agissait que de mettre l'ensemble des citoyens sur un pied d'égalité, telle la devise de la France le dit elle-même.
Cet exemple nous montre clairement que, indépendamment de l'opinion publique, le Législateur DOIT aussi savoir prendre des décisions parfois à contre-courant.

Il ne faut également pas oublier que la naissance obligée d'un bébé, n'est pas forcément une joie pour la mère....
Et que l'interdiction de l'avortement conduira inévitablement à l'apparition de "faiseuses d'anges" avec les risques de Santé qu'ils comportent.
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Encore un fois... tout ça c'est TON opinion. Les autres en ont d'autres et la tolérance c'est aussi d'accepter ça. Ta vérité n'est pas universelle aussi convaincu sois-tu d'être dans le vrai.

a écrit : Encore un fois... tout ça c'est TON opinion. Les autres en ont d'autres et la tolérance c'est aussi d'accepter ça. Ta vérité n'est pas universelle aussi convaincu sois-tu d'être dans le vrai. Bon OK. Je sors.
J'ai compris, t'inquiète.

a écrit : Laisse tomber Epoxy, c'est moi qui, dans mon premier commentaire, ait écrit provinciaux. Nickname s'est juste trompé de destinataire.

Après, je jugeai le débat suffisamment inintéressant et stérile pour ne pas y répondre... Je préfère de loin me consacrer à lire les échanges sur la situation américaine...
En fait, et pour avoir un débat plus constructif et apaisé, je pense que dans t'en rendre compte le terme province est vécu comme insultant par beaucoup de non parisiens. C'est personnellement mon cas, seuls les parisiens utilisent ce terme, et il fait vraiment être parisien pour voir le reste de la France comme un tout qui pourrait être traité simplement comme le reste de la France. D'ailleurs je n'ai pas connaissance d'autres pays qui clivent autant la population et donne surtout cette impression de dédain.

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a écrit : Il ne s'agit pas d'une réplique ou d'un moule, mais l'originale, qui fut entièrement montée à Paris afin de vérifier que tout l'assemblage était cohérent.
La partie comportant la main et le flambeau avait été envoyée à l'Exposition Universelle de Philadelphie de 1876, afin de récol
ter des fonds.
Postérieurement, elle dût être retournée à Paris, afin de participer à cet assemblage temporaire.

Non seulement les journeaux invitaient à aller la visiter de plus près, mais le public en était enthousiaste, devant le fruit du travail effectué, grâce à toutes les donations, principalement privées.
Il est vrai que la Tour Eiffel n'était pas encore construite, et que donc la statue "dominait" le paysage de cette époque.

Il y eut même une demande informelle, à ce que la Statue de la Liberté reste définitivement en France.
Ceci allait tout à fait à l'encontre de son but: être un cadeau du Peuple Français au Peuple Américain.

À toute fin, rappeler que l'idée de ce cadeau au Peuple Américain, trouve son origine dans l'émoi issu de l'assassinat de Abraham Lincoln, cinq jours auparavant.
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Merci pour ce commentaire très instructif !

a écrit : Merci pour ce commentaire très instructif ! Avec plaisir.

Bonne journée.