Pythagore a tenté de resquiller aux Jeux olympiques

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Le philosophe et mathématicien grec Pythagore est crédité de l'un des plus vieux cas de triche de l'histoire du sport, lorsqu'il tenta de falsifier son âge lors de son inscription au concours olympique de pugilat (ancêtre de la boxe). Il tenta de s'inscrire dans la catégorie junior mais sa supercherie fut démasquée et, au lieu de le réprimer, les juges l'inscrivirent dans la catégorie sénior qu'il remporta.

D'après Eratosthène, l'histoire se déroula à l'occasion de la 57e (552 av J.C) ou de la 48e Olympiade antique (588 av J.C) lorsque Pythagore était âgé de 17 ans.


Tous les commentaires (28)

a écrit : Je pense que la science du corps humain et l'entrainement y est pour beaucoup.

C'est éventuellement l'alimentation des enfants qui s'est largement améliorée depuis 1 siècle mais qui est en train de décliner aujourd'hui (en tout cas en nutriments purs, pas en sucre et graisse évide
mment).
Le dopage au sens propre peut y être pour quelque chose de temps en temps mais il existe de sacré contrôle. Le dopage au sens figuré regroupe tout donc je trouve étrange de le considérer.

On a longtemps cru que les Africains étaient nuls en natation et les américains super forts. On a même évoqué scientifiquement des histoires de globules blancs différents selon les populations et la couleur de peau. Puis on s'est rendu compte que le nombre de piscines au USA était bien supérieures au nombre de piscines en Afrique. Que la natation était culturellement inexistante en Afrique et bien ancré aux USA. etc. etc.
Le même genre de méta-analyse peut être faite avec les kenyans et les jamaïcains pour le 100 m et le marathon. L'entrainement et l'intégration culturelle d'une discipline sont tout aussi important que d'éventuel métabolismes différents selon les régions du monde. De gros biais statistiques en somme.

Bref, tout ça pour dire que ma raison me dit que les records sont en premier lieu lié à la qualité de ton entrainement (en partant d'une bonne base évidemment). Et statistiquement on peut le voir quand on compare les nations qui les détiennent (soit super équipés et riches comme les USA, soit des entrainements très durs comme la Chine et la Russie).
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Nous sommes plus nombreux sur Terre, nous mangeons mieux, nous entraînons mieux, travaillons moins, avons plus de hobby sportif etc. Mathématiquement il y a plus de chance de tomber sur des individus doués qui vont être mieux suivi qu'il y a 100 ans. Je vous conseille la lecture du Livre "Le gène du sport" à propos des individus doués pour certaines disciplines.

L'environnement a changé mais le matériel aussi. Par exemple, les pistes d'athlétisme permettent de courir plus vite, les starting-blocks permettent d'accélérer plus fort au départ et les chaussures ont fortement amélioré les performances. Donc tout mettre sur le dos du dopage est foncièrement limité.

a écrit : Nous sommes plus nombreux sur Terre, nous mangeons mieux, nous entraînons mieux, travaillons moins, avons plus de hobby sportif etc. Mathématiquement il y a plus de chance de tomber sur des individus doués qui vont être mieux suivi qu'il y a 100 ans. Je vous conseille la lecture du Livre "Le gène du sport" à propos des individus doués pour certaines disciplines.

L'environnement a changé mais le matériel aussi. Par exemple, les pistes d'athlétisme permettent de courir plus vite, les starting-blocks permettent d'accélérer plus fort au départ et les chaussures ont fortement amélioré les performances. Donc tout mettre sur le dos du dopage est foncièrement limité.
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On ne travaille pas moins qu'avant, bien au contraire.

Et attribuer une part de l'amélioration des performances à l'évolution de la science de l'optimisation physique n'est pas "tout mettre sur le dos du dopage".

a écrit : Soit c'est lié au dopage, soit on a vachement évolué physiquement en 50 ans.

La raison te dis quoi? ;)
Je parlais de ce post-ci. Qui est quand même équivoque.

a écrit : Je pense que la science du corps humain et l'entrainement y est pour beaucoup.

C'est éventuellement l'alimentation des enfants qui s'est largement améliorée depuis 1 siècle mais qui est en train de décliner aujourd'hui (en tout cas en nutriments purs, pas en sucre et graisse évide
mment).
Le dopage au sens propre peut y être pour quelque chose de temps en temps mais il existe de sacré contrôle. Le dopage au sens figuré regroupe tout donc je trouve étrange de le considérer.

On a longtemps cru que les Africains étaient nuls en natation et les américains super forts. On a même évoqué scientifiquement des histoires de globules blancs différents selon les populations et la couleur de peau. Puis on s'est rendu compte que le nombre de piscines au USA était bien supérieures au nombre de piscines en Afrique. Que la natation était culturellement inexistante en Afrique et bien ancré aux USA. etc. etc.
Le même genre de méta-analyse peut être faite avec les kenyans et les jamaïcains pour le 100 m et le marathon. L'entrainement et l'intégration culturelle d'une discipline sont tout aussi important que d'éventuel métabolismes différents selon les régions du monde. De gros biais statistiques en somme.

Bref, tout ça pour dire que ma raison me dit que les records sont en premier lieu lié à la qualité de ton entrainement (en partant d'une bonne base évidemment). Et statistiquement on peut le voir quand on compare les nations qui les détiennent (soit super équipés et riches comme les USA, soit des entrainements très durs comme la Chine et la Russie).
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Tout ne serait donc qu'une histoire de moyens financiers si on veut battre des records...

Je schématise mais c'est un peu ce que tu explique. quand j'étais jeune, j'avais un Tshirt: "Le sport pour le sport', j'ai refusé de participer à un match de foot parce que mes petits camarades étaient des gros censuré censuré censuré de censuré de censuré, le prof m'a dit: OK; je te donne un point par tour de stade de foot.
J'ai eu le seul 20/20 en sport de ma vie, et je l'ai eu alors que le match était pas encore fini! ^^ (j'en ai profité pour mesurer le temps que le son mettait pour aller du choc du cou de pied sur le ballon a mes oreilles, c'était intéressant, ce petit décalage entre la vue et l'audition)
En fait, c'est la compétition, le problème majeur, et pas qu'en sport, moi j'dis.

Désolé pour le H.S

La compétition c'est un peu essentiel dans le sport. Avec les autres ou soi même.

a écrit : La compétition c'est un peu essentiel dans le sport. Avec les autres ou soi même. J'ai beaucoup réfléchi à ta remarque, et je répondrai :

non.

Le sport, c'est un jeu, quand ca devient un travail, c'est pas marrant parce que c'est un travail.

Je vais te sortir un exemple: les jeux vidéo, j'étais classé 76 eme mondial sur Supreme commander 1 excellent jeu, la bombe atomique, c'est pas de la rigolade, c'est une VRAIE bombe atomique:), et quand je suis arrivé 76 eme classement MONDIAL, je me suis rendu compte que ce jeu vidéo était devenu un travail...

J'ai aussi fait de la course à pied, du tennis, du basket... PLUS FORT PLUS FORT, TU VA LES BATTRE!!!

bof... je vais aller faire du ski, mais en solo, ca tente quelqu'un de tasser les pistes avec moi?

J'ai un VTT aussi... dans concours, il y a...
Pourquoipas ^^

a écrit : J'ai beaucoup réfléchi à ta remarque, et je répondrai :

non.

Le sport, c'est un jeu, quand ca devient un travail, c'est pas marrant parce que c'est un travail.

Je vais te sortir un exemple: les jeux vidéo, j'étais classé 76 eme mondial sur Supreme commande
r 1 excellent jeu, la bombe atomique, c'est pas de la rigolade, c'est une VRAIE bombe atomique:), et quand je suis arrivé 76 eme classement MONDIAL, je me suis rendu compte que ce jeu vidéo était devenu un travail...

J'ai aussi fait de la course à pied, du tennis, du basket... PLUS FORT PLUS FORT, TU VA LES BATTRE!!!

bof... je vais aller faire du ski, mais en solo, ca tente quelqu'un de tasser les pistes avec moi?

J'ai un VTT aussi... dans concours, il y a...
Pourquoipas ^^
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Mais certain(e)s adorent leur travail. Il peut être passionnant, voir envoûtant au quotidien.

Je pense que ce que voulait dire @Sharn est le dépassement de soi, plus important à mes yeux que vouloir absolument dépasser les autres. Mais la frontière est mince avec l'obsession.

a écrit : J'ai beaucoup réfléchi à ta remarque, et je répondrai :

non.

Le sport, c'est un jeu, quand ca devient un travail, c'est pas marrant parce que c'est un travail.

Je vais te sortir un exemple: les jeux vidéo, j'étais classé 76 eme mondial sur Supreme commande
r 1 excellent jeu, la bombe atomique, c'est pas de la rigolade, c'est une VRAIE bombe atomique:), et quand je suis arrivé 76 eme classement MONDIAL, je me suis rendu compte que ce jeu vidéo était devenu un travail...

J'ai aussi fait de la course à pied, du tennis, du basket... PLUS FORT PLUS FORT, TU VA LES BATTRE!!!

bof... je vais aller faire du ski, mais en solo, ca tente quelqu'un de tasser les pistes avec moi?

J'ai un VTT aussi... dans concours, il y a...
Pourquoipas ^^
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Pour performer, la compétition est essentielle car elle permet le dépassement de soi (littéralement aller au-dessus de ses propres limites car les autres le font également). Et évidemment que pour un sportif de haut niveau, ce n'est pas toujours facile et c'est effectivement un métier.

Mais même dans le sport loisir, on peut se dépasser et aller à la performance. Ce n'est pas incompatible. Quand on cours, on peut très bien se dire : aller je cours plus loin ou plus vite que la dernière fois et tout cela avec le plaisir de sa propre fierté. De la même façon qu'on peut prendre du plaisir à jouer au tennis ou à un jeu vidéo mais également du plaisir à gagner car on s'est surpassé.
Je n'ai jamais compris pourquoi on apprenait parfois aux enfants que gagner "c'est mal". Non gagner fait partie du jeu et on joue pour gagner sinon pas d'enjeu et pas de jeu (CQFD). Et si pour gagner on doit se surpasser alors allons y à fond.
Personnellement, j'apprend à mes enfants que jouer c'est chouette mais jouer et gagner l'est encore plus (dans le respect des règles, l'honneur, apprendre à perdre, etc....).

Je peux comprendre que quelqu'un n'aime pas la compétition mais à ce moment c'est toute une partie du "jeu" qui est mise de côté.