Le rorqual peut aider à analyser la croute océanique

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Pour cartographier le plancher océanique, on peut utiliser le chant des baleines. Les vocalisations du rorqual commun sont si puissantes qu'elles pénètrent la croute océanique. En étudiant la façon dont les ondes sont déviées et réfléchies, on peut ainsi reconstituer sa structure et sa composition.


Commentaires préférés (2)

Ce n'est pas tellement une question de puissance. C'est surtout que cela permet d'étudier la croute océanique sans avoir recours à des sources sonores anthropiques (typiquement des canons à air comprimé) qui peuvent perturber la faune locale. On mesure "ce qui existe" sans venir perturber les animaux.


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L'important étant de ne pas trop se pencher et de laisser un peu mesurer les autres

Ce n'est pas tellement une question de puissance. C'est surtout que cela permet d'étudier la croute océanique sans avoir recours à des sources sonores anthropiques (typiquement des canons à air comprimé) qui peuvent perturber la faune locale. On mesure "ce qui existe" sans venir perturber les animaux.

a écrit : L'important étant de ne pas trop se pencher et de laisser un peu mesurer les autres Bien parlé César !

a écrit : Ce n'est pas tellement une question de puissance. C'est surtout que cela permet d'étudier la croute océanique sans avoir recours à des sources sonores anthropiques (typiquement des canons à air comprimé) qui peuvent perturber la faune locale. On mesure "ce qui existe" sans venir perturber les animaux. N'est-il pas nécessaire de localiser précisément la source sonore ?