Ce n'est pas la taille du cerveau qui compte

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Heureusement, sinon nous vivrions sous la dictature des baleines qui seraient en guerre contre les hippopotames et qui auraient conquis la planète Mars

Il faut vraiment arrêter avec la sacro-sainte "égalité entre les sexes". Il existe des différences génétiques et phylogénétiques responsables de différences physiques (taille mesurable du cerveau) et cognitives (capacités intellectuelles mesurables). C'est valable entre les sexes, et entre les différentes régions du monde. Par exemple, les femmes présentent des avantages en fluence verbale, en vitesse de perception, en précision et en motricité fine, tandis que les hommes surpassent les femmes en capacités spatiales, de mémoire de travail et mathématiques. S'il s'agit de tendances générales. A vouloir toujours fermer les yeux sur tout, on passe à côté de potentiels exceptionnels. Par exemple, il a été prouvé que pour maximiser l'apprentissage d'une population donnée, l'idéal est de faire des groupes de niveau. Aujourd'hui, on fait tout l'inverse avec les mélanges de niveau, l'inclusion des élèves "difficiles" (même assistés d'une AVS), ....

a écrit : Il faut vraiment arrêter avec la sacro-sainte "égalité entre les sexes". Il existe des différences génétiques et phylogénétiques responsables de différences physiques (taille mesurable du cerveau) et cognitives (capacités intellectuelles mesurables). C'est valable entre les sexes, et entre les différentes régions du monde. Par exemple, les femmes présentent des avantages en fluence verbale, en vitesse de perception, en précision et en motricité fine, tandis que les hommes surpassent les femmes en capacités spatiales, de mémoire de travail et mathématiques. S'il s'agit de tendances générales. A vouloir toujours fermer les yeux sur tout, on passe à côté de potentiels exceptionnels. Par exemple, il a été prouvé que pour maximiser l'apprentissage d'une population donnée, l'idéal est de faire des groupes de niveau. Aujourd'hui, on fait tout l'inverse avec les mélanges de niveau, l'inclusion des élèves "difficiles" (même assistés d'une AVS), .... Afficher tout Attention, affirmer des faits vérifiés c'est très bien, mais en comprendre les causes c'est encore mieux.

Les différences dont tu parles sont réelles, mais il est largement admis et démontré que ces différences sexuées ne sont pas innées mais sont dues à la plasticité du cerveau, autrement dit ces différences sont le fruit d'un apprentissage ET d'un conditionnement.
On demande par exemple aux filles d'être plus soignées que les hommes donc elles le sont.
On demande davantage aux filles de soigner leur langage (le fameux: "ouh là, ce n'est pas beau dans la bouche d'une fille ça !"), donc elles ont un meilleur contrôle de leurs fonctions langagières.
On confie aux hommes le soin de conduire les groupes (à pied, en voiture, avec ou sans carte...), donc leur mémoire spatiale et leur sens de l'orientation sont plus aiguisés.
On apprend également aussi aux filles à faire plusieurs choses en même temps dès le plus jeune âge, car c'est le propre d'une bonne maîtresse de maison de penser à tout et de tout planifier: la fameuse charge mentale. Mais les hommes en seraient également tout à fait capables si on les conditionnaient à la faire durant l'enfance.
Dès la naissance on conditionne nos enfants, des études ont par exemple démontré que les parents berçaient les bébés garçons, jouaient avec eux, de façon plus dynamiques, avec des mouvements plus brusques et plus rapides qu'avec les bébés filles.

C'est comme si tu nous disais que les chauffeurs de taxis ont une mémoire spatiale supérieure à la moyenne, c'est tout à fait vrai, mais parce qu'ils se trouvés dans l'obligation de développer ces compétences.

Tes remarques peuvent aussi faire écho aux théories racialistes qui affirment que les Afro-Américains ont un QI inférieur aux Blancs d'Amérique. Là encore c'est vrai. Mais les études ont démontré que si l'on s'intéressait à d'autres variables que l'ethnie (comme par exemple le nombre de livres à la maison, l'usage de châtiments corporels durant l'enfance, ou encore le niveau de sécurité de la zone résidentielle), la variable "ethnie" n'a plus d'influence mesurable sur le QI et les résultats scolaires. D'ailleurs les études sur les enfants noirs adoptés vont aussi dans ce sens.


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Heureusement, sinon nous vivrions sous la dictature des baleines qui seraient en guerre contre les hippopotames et qui auraient conquis la planète Mars

Il faut vraiment arrêter avec la sacro-sainte "égalité entre les sexes". Il existe des différences génétiques et phylogénétiques responsables de différences physiques (taille mesurable du cerveau) et cognitives (capacités intellectuelles mesurables). C'est valable entre les sexes, et entre les différentes régions du monde. Par exemple, les femmes présentent des avantages en fluence verbale, en vitesse de perception, en précision et en motricité fine, tandis que les hommes surpassent les femmes en capacités spatiales, de mémoire de travail et mathématiques. S'il s'agit de tendances générales. A vouloir toujours fermer les yeux sur tout, on passe à côté de potentiels exceptionnels. Par exemple, il a été prouvé que pour maximiser l'apprentissage d'une population donnée, l'idéal est de faire des groupes de niveau. Aujourd'hui, on fait tout l'inverse avec les mélanges de niveau, l'inclusion des élèves "difficiles" (même assistés d'une AVS), ....

a écrit : Il faut vraiment arrêter avec la sacro-sainte "égalité entre les sexes". Il existe des différences génétiques et phylogénétiques responsables de différences physiques (taille mesurable du cerveau) et cognitives (capacités intellectuelles mesurables). C'est valable entre les sexes, et entre les différentes régions du monde. Par exemple, les femmes présentent des avantages en fluence verbale, en vitesse de perception, en précision et en motricité fine, tandis que les hommes surpassent les femmes en capacités spatiales, de mémoire de travail et mathématiques. S'il s'agit de tendances générales. A vouloir toujours fermer les yeux sur tout, on passe à côté de potentiels exceptionnels. Par exemple, il a été prouvé que pour maximiser l'apprentissage d'une population donnée, l'idéal est de faire des groupes de niveau. Aujourd'hui, on fait tout l'inverse avec les mélanges de niveau, l'inclusion des élèves "difficiles" (même assistés d'une AVS), .... Afficher tout Les hommes ne surpassent pas les femmes en mathématiques par leurs capacités innées. Il a été prouvé que les capacités en maths sont les mêmes quel que soit le sexe. Par contre les collégiennes et lycéennes se projettent moins dans les carrières
scientifiques, ce qui est probablement dû à un gros biais social.
Le plus grand nombre de grands mathématiciens hommes est donc un effet de l'éducation genrée et de l'effet Mathilda (parce que la plupart des grandes mathématiciennes ont été totalement effacées de l'histoire).
Je suis d'accord sur le fait qu'il existe des différences hommes-femmes (nettement moins marquées cela dit dans les sociétés avec une meilleure mixité). Cela dit, lorsqu'on réclame la "sacro-sainte égalité entre les sexes", on se réfère en fait à l'égalité de chances, qui elle est loin d'être acquise.
Je suis par contre totalement d'accord avec le fait que le nivellement "tout le monde dans le même moule" est une catastrophe.

a écrit : Il faut vraiment arrêter avec la sacro-sainte "égalité entre les sexes". Il existe des différences génétiques et phylogénétiques responsables de différences physiques (taille mesurable du cerveau) et cognitives (capacités intellectuelles mesurables). C'est valable entre les sexes, et entre les différentes régions du monde. Par exemple, les femmes présentent des avantages en fluence verbale, en vitesse de perception, en précision et en motricité fine, tandis que les hommes surpassent les femmes en capacités spatiales, de mémoire de travail et mathématiques. S'il s'agit de tendances générales. A vouloir toujours fermer les yeux sur tout, on passe à côté de potentiels exceptionnels. Par exemple, il a été prouvé que pour maximiser l'apprentissage d'une population donnée, l'idéal est de faire des groupes de niveau. Aujourd'hui, on fait tout l'inverse avec les mélanges de niveau, l'inclusion des élèves "difficiles" (même assistés d'une AVS), .... Afficher tout Balance tes ref pubmed mec !

a écrit : Il faut vraiment arrêter avec la sacro-sainte "égalité entre les sexes". Il existe des différences génétiques et phylogénétiques responsables de différences physiques (taille mesurable du cerveau) et cognitives (capacités intellectuelles mesurables). C'est valable entre les sexes, et entre les différentes régions du monde. Par exemple, les femmes présentent des avantages en fluence verbale, en vitesse de perception, en précision et en motricité fine, tandis que les hommes surpassent les femmes en capacités spatiales, de mémoire de travail et mathématiques. S'il s'agit de tendances générales. A vouloir toujours fermer les yeux sur tout, on passe à côté de potentiels exceptionnels. Par exemple, il a été prouvé que pour maximiser l'apprentissage d'une population donnée, l'idéal est de faire des groupes de niveau. Aujourd'hui, on fait tout l'inverse avec les mélanges de niveau, l'inclusion des élèves "difficiles" (même assistés d'une AVS), .... Afficher tout Attention, affirmer des faits vérifiés c'est très bien, mais en comprendre les causes c'est encore mieux.

Les différences dont tu parles sont réelles, mais il est largement admis et démontré que ces différences sexuées ne sont pas innées mais sont dues à la plasticité du cerveau, autrement dit ces différences sont le fruit d'un apprentissage ET d'un conditionnement.
On demande par exemple aux filles d'être plus soignées que les hommes donc elles le sont.
On demande davantage aux filles de soigner leur langage (le fameux: "ouh là, ce n'est pas beau dans la bouche d'une fille ça !"), donc elles ont un meilleur contrôle de leurs fonctions langagières.
On confie aux hommes le soin de conduire les groupes (à pied, en voiture, avec ou sans carte...), donc leur mémoire spatiale et leur sens de l'orientation sont plus aiguisés.
On apprend également aussi aux filles à faire plusieurs choses en même temps dès le plus jeune âge, car c'est le propre d'une bonne maîtresse de maison de penser à tout et de tout planifier: la fameuse charge mentale. Mais les hommes en seraient également tout à fait capables si on les conditionnaient à la faire durant l'enfance.
Dès la naissance on conditionne nos enfants, des études ont par exemple démontré que les parents berçaient les bébés garçons, jouaient avec eux, de façon plus dynamiques, avec des mouvements plus brusques et plus rapides qu'avec les bébés filles.

C'est comme si tu nous disais que les chauffeurs de taxis ont une mémoire spatiale supérieure à la moyenne, c'est tout à fait vrai, mais parce qu'ils se trouvés dans l'obligation de développer ces compétences.

Tes remarques peuvent aussi faire écho aux théories racialistes qui affirment que les Afro-Américains ont un QI inférieur aux Blancs d'Amérique. Là encore c'est vrai. Mais les études ont démontré que si l'on s'intéressait à d'autres variables que l'ethnie (comme par exemple le nombre de livres à la maison, l'usage de châtiments corporels durant l'enfance, ou encore le niveau de sécurité de la zone résidentielle), la variable "ethnie" n'a plus d'influence mesurable sur le QI et les résultats scolaires. D'ailleurs les études sur les enfants noirs adoptés vont aussi dans ce sens.

a écrit : Balance tes ref pubmed mec ! si je te les "balance", tu les lis ?
Bosco A, Longoni AM, Vecchi T (July 2004). "Gender effects in spatial orientation: cognitive profiles and mental strategies". Applied Cognitive Psychology. 18 (5): 519–532. doi:10.1002/acp.1000. PMC 2909401. PMID 20676381.
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a écrit : Attention, affirmer des faits vérifiés c'est très bien, mais en comprendre les causes c'est encore mieux.

Les différences dont tu parles sont réelles, mais il est largement admis et démontré que ces différences sexuées ne sont pas innées mais sont dues à la plasticité du cerveau, autrement dit ce
s différences sont le fruit d'un apprentissage ET d'un conditionnement.
On demande par exemple aux filles d'être plus soignées que les hommes donc elles le sont.
On demande davantage aux filles de soigner leur langage (le fameux: "ouh là, ce n'est pas beau dans la bouche d'une fille ça !"), donc elles ont un meilleur contrôle de leurs fonctions langagières.
On confie aux hommes le soin de conduire les groupes (à pied, en voiture, avec ou sans carte...), donc leur mémoire spatiale et leur sens de l'orientation sont plus aiguisés.
On apprend également aussi aux filles à faire plusieurs choses en même temps dès le plus jeune âge, car c'est le propre d'une bonne maîtresse de maison de penser à tout et de tout planifier: la fameuse charge mentale. Mais les hommes en seraient également tout à fait capables si on les conditionnaient à la faire durant l'enfance.
Dès la naissance on conditionne nos enfants, des études ont par exemple démontré que les parents berçaient les bébés garçons, jouaient avec eux, de façon plus dynamiques, avec des mouvements plus brusques et plus rapides qu'avec les bébés filles.

C'est comme si tu nous disais que les chauffeurs de taxis ont une mémoire spatiale supérieure à la moyenne, c'est tout à fait vrai, mais parce qu'ils se trouvés dans l'obligation de développer ces compétences.

Tes remarques peuvent aussi faire écho aux théories racialistes qui affirment que les Afro-Américains ont un QI inférieur aux Blancs d'Amérique. Là encore c'est vrai. Mais les études ont démontré que si l'on s'intéressait à d'autres variables que l'ethnie (comme par exemple le nombre de livres à la maison, l'usage de châtiments corporels durant l'enfance, ou encore le niveau de sécurité de la zone résidentielle), la variable "ethnie" n'a plus d'influence mesurable sur le QI et les résultats scolaires. D'ailleurs les études sur les enfants noirs adoptés vont aussi dans ce sens.
Afficher tout
En effet, l'apprentissage et le conditionnement sont deux facteurs parmi plein d'autres : la génétique, l'épigénétique, l'environnement hormonal, ... (qui sont ceux-ci innés).
Les différences existe dès la naissance, et sont modelées en fonction d'autres facteurs, dont certains dont du cites.

Concernant l'histoire des races et du QI. Je suis d'accord avec toi, qu'on teste des items bien spécifiques lors des épreuves d'évaluations de QI. Mais pour me faire l'avocat du diable, je peux te citer cette étude montrant que les Afro-américains adoptés par les WASP ont un QI inférieur aux WASP élevés par des WASP. Bien sûr qu'il y a d'énormes biais dans cette étude (traumatisme de l'adoption, condition de grossesse avec possiblement des abus de substance, racisme lors de l'éducation, ...).
Mais je veux simplement dire qu'il y a plein d'arguments qui doivent faire penser que "les capacités cognitives restent égales entre les sexes" est une affirmation non prouvée aujourd'hui (comme son contraire d'ailleurs), et l'affirmer relève de la pure l'idéologie.

a écrit : Attention, affirmer des faits vérifiés c'est très bien, mais en comprendre les causes c'est encore mieux.

Les différences dont tu parles sont réelles, mais il est largement admis et démontré que ces différences sexuées ne sont pas innées mais sont dues à la plasticité du cerveau, autrement dit ce
s différences sont le fruit d'un apprentissage ET d'un conditionnement.
On demande par exemple aux filles d'être plus soignées que les hommes donc elles le sont.
On demande davantage aux filles de soigner leur langage (le fameux: "ouh là, ce n'est pas beau dans la bouche d'une fille ça !"), donc elles ont un meilleur contrôle de leurs fonctions langagières.
On confie aux hommes le soin de conduire les groupes (à pied, en voiture, avec ou sans carte...), donc leur mémoire spatiale et leur sens de l'orientation sont plus aiguisés.
On apprend également aussi aux filles à faire plusieurs choses en même temps dès le plus jeune âge, car c'est le propre d'une bonne maîtresse de maison de penser à tout et de tout planifier: la fameuse charge mentale. Mais les hommes en seraient également tout à fait capables si on les conditionnaient à la faire durant l'enfance.
Dès la naissance on conditionne nos enfants, des études ont par exemple démontré que les parents berçaient les bébés garçons, jouaient avec eux, de façon plus dynamiques, avec des mouvements plus brusques et plus rapides qu'avec les bébés filles.

C'est comme si tu nous disais que les chauffeurs de taxis ont une mémoire spatiale supérieure à la moyenne, c'est tout à fait vrai, mais parce qu'ils se trouvés dans l'obligation de développer ces compétences.

Tes remarques peuvent aussi faire écho aux théories racialistes qui affirment que les Afro-Américains ont un QI inférieur aux Blancs d'Amérique. Là encore c'est vrai. Mais les études ont démontré que si l'on s'intéressait à d'autres variables que l'ethnie (comme par exemple le nombre de livres à la maison, l'usage de châtiments corporels durant l'enfance, ou encore le niveau de sécurité de la zone résidentielle), la variable "ethnie" n'a plus d'influence mesurable sur le QI et les résultats scolaires. D'ailleurs les études sur les enfants noirs adoptés vont aussi dans ce sens.
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Un livre assez recommandable (écrit par un homme ET une femme) sur le sujet, et dont nous étions d'accord sur beaucoup de sujets évoqués à l'intérieur, feue mon épouse et moi-même :
"Pourquoi les hommes n'écoutent jamais rien et les femmes ne savent pas lire les cartes routières" de Barbara et Allan Pease.
Après, à chacun de se faire son avis...

a écrit : Les hommes ne surpassent pas les femmes en mathématiques par leurs capacités innées. Il a été prouvé que les capacités en maths sont les mêmes quel que soit le sexe. Par contre les collégiennes et lycéennes se projettent moins dans les carrières
scientifiques, ce qui est probablement dû à un gros biais social.

Le plus grand nombre de grands mathématiciens hommes est donc un effet de l'éducation genrée et de l'effet Mathilda (parce que la plupart des grandes mathématiciennes ont été totalement effacées de l'histoire).
Je suis d'accord sur le fait qu'il existe des différences hommes-femmes (nettement moins marquées cela dit dans les sociétés avec une meilleure mixité). Cela dit, lorsqu'on réclame la "sacro-sainte égalité entre les sexes", on se réfère en fait à l'égalité de chances, qui elle est loin d'être acquise.
Je suis par contre totalement d'accord avec le fait que le nivellement "tout le monde dans le même moule" est une catastrophe.
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Toutes ces pauvres femmes qu'on ne laisse pas devenir eboueur, egouttier, macon, couvreur, plongeur. Heureusement qu'on équilibre en faisant des efforts pour les CSP+.

Je commence à en avoir marre de cette égalité des sexes à tout va...

a écrit : En effet, l'apprentissage et le conditionnement sont deux facteurs parmi plein d'autres : la génétique, l'épigénétique, l'environnement hormonal, ... (qui sont ceux-ci innés).
Les différences existe dès la naissance, et sont modelées en fonction d'autres facteurs, dont certains dont du c
ites.

Concernant l'histoire des races et du QI. Je suis d'accord avec toi, qu'on teste des items bien spécifiques lors des épreuves d'évaluations de QI. Mais pour me faire l'avocat du diable, je peux te citer cette étude montrant que les Afro-américains adoptés par les WASP ont un QI inférieur aux WASP élevés par des WASP. Bien sûr qu'il y a d'énormes biais dans cette étude (traumatisme de l'adoption, condition de grossesse avec possiblement des abus de substance, racisme lors de l'éducation, ...).
Mais je veux simplement dire qu'il y a plein d'arguments qui doivent faire penser que "les capacités cognitives restent égales entre les sexes" est une affirmation non prouvée aujourd'hui (comme son contraire d'ailleurs), et l'affirmer relève de la pure l'idéologie.
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Il est facile d'isoler une variable pour savoir si celle-ci à un impact ou non.

Le but n'est pas de connaître toutes les variables qui ont une influence sur nos capacités cognitives, c'est bien entendu très complexe, mais simplement de savoir si le sexe a une influence sur celles-ci.

À ce sujet, tu nous dis clairement que les hommes et les femmes ne sont pas cognitivement égaux.
Pourtant dans un autre post tu nous dis qu'affirmer qu'ils sont égaux ou inégaux du point de vue cognitif correspond à une idéologie.

Je me demande donc logiquement: Quelle est donc l'idéologie que tu défends ?

Effectivement, ce n'est pas la taille qui compte puisqu'ici on parle de poids (masse).

a écrit : Je commence à en avoir marre de cette égalité des sexes à tout va... On n'est pas obligé d'être tous égaux, mais je pense que 22x4 constituerait une moyenne acceptable

a écrit : Il est facile d'isoler une variable pour savoir si celle-ci à un impact ou non.

Le but n'est pas de connaître toutes les variables qui ont une influence sur nos capacités cognitives, c'est bien entendu très complexe, mais simplement de savoir si le sexe a une influence sur celles-ci.

À ce sujet, tu nous dis clairement que les hommes et les femmes ne sont pas cognitivement égaux.
Pourtant dans un autre post tu nous dis qu'affirmer qu'ils sont égaux ou inégaux du point de vue cognitif correspond à une idéologie.

Je me demande donc logiquement: Quelle est donc l'idéologie que tu défends ?
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Selon mon point de vue, les hommes et les femmes ne sont pas égaux sur le plan cognitif (=présentent des différences biologiques). Et il est impossible de le démontrer, car justement je ne suis pas d'accord avec toi quand tu dis qu'il est facile d'isoler une variable. Il y aura toujours des facteurs confondant dans n'importe quelle étude qui serait menée (en respectant les critères éthiques).
Donc sans preuve, la réponse n'existe pas, et cela révèle de l'idéologie.

Je partage que homme et femmes sont bien différents et c'est cela qui est bien...et je ne parle pas de personnes soumises l'une à l'autre mais sur une égalité de droit...Cette différence, combinée a notre reproduction sexué est un défit de tout les jours...alors amusons nous! Par contre je suis pour une discrimination positive envers les femmes ( qui l'acceptent) car de manière générale les femmes sont loin de voir leurs droits respectés.

a écrit : Selon mon point de vue, les hommes et les femmes ne sont pas égaux sur le plan cognitif (=présentent des différences biologiques). Et il est impossible de le démontrer, car justement je ne suis pas d'accord avec toi quand tu dis qu'il est facile d'isoler une variable. Il y aura toujours des facteurs confondant dans n'importe quelle étude qui serait menée (en respectant les critères éthiques).
Donc sans preuve, la réponse n'existe pas, et cela révèle de l'idéologie.
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Aucune connaissance n'est certaine et je ne crois pas, comme tu le penses, que se positionner, comme tu le fais d'ailleurs, sans être absolument certain de son jugement relève de l'idéologie.
Toute théorie, tant qu'elle fonctionne, est valide mais est amenée à être remplacée par une théorie qui fonctionnera encore mieux.
Et au contraire, je crois que dire je ne sais pas, personne ne peut savoir, et aucune théorie n'est supérieure à une autre est une idéologie. Et même une idéologie dangereuse qu'on appelle le relativisme: puisque personne ne sait et que le doute est permanent, chacun a le droit légitime de se construire sa vérité, à la manière des complotistes.

a écrit : Il faut vraiment arrêter avec la sacro-sainte "égalité entre les sexes". Il existe des différences génétiques et phylogénétiques responsables de différences physiques (taille mesurable du cerveau) et cognitives (capacités intellectuelles mesurables). C'est valable entre les sexes, et entre les différentes régions du monde. Par exemple, les femmes présentent des avantages en fluence verbale, en vitesse de perception, en précision et en motricité fine, tandis que les hommes surpassent les femmes en capacités spatiales, de mémoire de travail et mathématiques. S'il s'agit de tendances générales. A vouloir toujours fermer les yeux sur tout, on passe à côté de potentiels exceptionnels. Par exemple, il a été prouvé que pour maximiser l'apprentissage d'une population donnée, l'idéal est de faire des groupes de niveau. Aujourd'hui, on fait tout l'inverse avec les mélanges de niveau, l'inclusion des élèves "difficiles" (même assistés d'une AVS), .... Afficher tout Il faudrait donc faire des classes séparées de filles, de garçons et éventuellement pour les parents qui veulent des classes de monsieur/madame?

a écrit : si je te les "balance", tu les lis ?
Bosco A, Longoni AM, Vecchi T (July 2004). "Gender effects in spatial orientation: cognitive profiles and mental strategies". Applied Cognitive Psychology. 18 (5): 519–532. doi:10.1002/acp.1000. PMC 2909401. PMID 20676381.
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Ça c’est top ! J’adore avoir des sources !
Mais dis voir, tu as jeté un coup d’œil au contenu avant de tout balancer ? Parce qu’il y en a parmi ça qui disent qu’il n’y a fonctionnellement aucune différence homme-femme (même si les mécanismes sous-jacents peuvent être différents) donc ça contredit un peu ce qui tu essaie de prouver, non ?

C'est beau la moyenne... Mais je pense que ce poids a l'importance lorsque l'on voit les femmes derrière un volant de voiture...

a écrit : C'est beau la moyenne... Mais je pense que ce poids a l'importance lorsque l'on voit les femmes derrière un volant de voiture... C'est vrai.

Vu que les femmes ont moins d'accidents que les hommes il semblerait qu'un cerveau plus lourd mène a plus d'accidents si on suit ta logique ;)