Étienne Léopold Trouvelot n'a pas la cote aux Etats-Unis

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Les Américains ont une dent contre Étienne Léopold Trouvelot. Cet artiste et scientifique français s'installa aux États-Unis en 1855, et se mit en tête de créer une espèce hybride de ver à soie. Pour cela, il rapporta de France des chenilles du Bombyx disparate, qui s'échappèrent : le Bombyx disparate devint en quelques décennies l'une des pires espèces invasives aux Etats-Unis et au Canada, causant des milliards de dollars de dégâts.


Commentaires préférés (3)

Ils sont juste jaloux, d'habitude ils sont autonomes pour détruire la nature à grande échelle, la c'est un frenchy qui leur a volé la vedette.

a écrit : Le Robinier faux-acacia*, c’est différent. Au moins pour un bûcheron-élagueur comme moi. Je pensais que c'etait vraiment une saleté ce truc avec ses épines super dures. Mais en fait ça fait aussi du bon miel, c'est un bois imputrescible et on peut manger les fleurs (attention le reste est toxique). Ça fixe également l'azote dans le sol pour les autres plantes.

"1300 milliards". Tel est le coût annuel mondial, des pertes engendrées par les espèces exotiques envahissantes. Ce sont en très grande majorité, les activités liées à l'Agro-alimentaire, qui en subissent les conséquences. Par exemple, les sangliers/cochons sauvages (non-natifs du continent Américain) , sont actuellement responsables de la destruction de 14% des récoltes de maïs aux États-Unis et au Canada.

Quelle que soit la Nation, aucune n'est épargnée par l'opportunité existante de la Flore ou de la Faune, de profiter de notre mondialisation de l'Économie, afin de devenir un fléau, dans un nouvel Environnement.
En très grande majorité, c'est l'Humain -de forme fortuite ou volontaire- qui porte la responsabilité de ce transfert d'espèces d'un continent à l'autre. Mise à part leurs impacts sur l'Agriculture locale, ces espèces invasives sont également responsables de la disparition de 60% des espèces endémiques. L'Histoire de l'Australie en est malheureusement un cas d'école de ces conséquences... mais également de quelles sont les mesures de prévention à prendre, pour limiter au possible, une future introduction d'espèces.

Quant aux dépenses financières engendrés pour tenter de venir à bout de ces espèces invasives envahissantes, elles se chiffrent tout autant en milliards...du moins pour les Nations en ayant les moyens financiers pour l'effectuer.
La constante est la suivante: plus les sujets de l'espèce invasive envahissante sont grands, plus il est facile de les éradiquer. Il est, de fait, plus "aisé" pour Canberra (Australie) de venir à bout de quelques centaines de milliers de dromadaires, que des quelques centaines de millions de lapins restants...

Quant aux États-Unis et Canada, en "guerre" contre les millions de porcs sauvages/sangliers en passe de devenir un problème national à tous les effets, l'inscription de cette espèce par chacun des États, sur la liste des espèces exotiques envahissantes... permet maintenant de les chasser 24/7.
A mode de démonstration, les images suivantes: (je vous averti: c'est du lourd)
youtu.be/eOt1HLXNRFE?si=CqwLAe0ZfQl9dAQQ
Pour que les États-Unis puissent uniquement maintenir la population de sangliers/cochons sauvages, au niveau de sa population actuelle, il faudrait en réalité abattre entre les 2/3 et les 3/4 des effectifs, ...chaque année.


Tous les commentaires (16)

Ils sont juste jaloux, d'habitude ils sont autonomes pour détruire la nature à grande échelle, la c'est un frenchy qui leur a volé la vedette.

a écrit : Ils sont juste jaloux, d'habitude ils sont autonomes pour détruire la nature à grande échelle, la c'est un frenchy qui leur a volé la vedette. Exactement.

a écrit : Ils sont juste jaloux, d'habitude ils sont autonomes pour détruire la nature à grande échelle, la c'est un frenchy qui leur a volé la vedette. Et chez nous l'écrevisse de Louisiane, le crapaud taureau, l'acacia, et bien d'autres

a écrit : Et chez nous l'écrevisse de Louisiane, le crapaud taureau, l'acacia, et bien d'autres Le Robinier faux-acacia*, c’est différent. Au moins pour un bûcheron-élagueur comme moi.

a écrit : Le Robinier faux-acacia*, c’est différent. Au moins pour un bûcheron-élagueur comme moi. Je pensais que c'etait vraiment une saleté ce truc avec ses épines super dures. Mais en fait ça fait aussi du bon miel, c'est un bois imputrescible et on peut manger les fleurs (attention le reste est toxique). Ça fixe également l'azote dans le sol pour les autres plantes.

"1300 milliards". Tel est le coût annuel mondial, des pertes engendrées par les espèces exotiques envahissantes. Ce sont en très grande majorité, les activités liées à l'Agro-alimentaire, qui en subissent les conséquences. Par exemple, les sangliers/cochons sauvages (non-natifs du continent Américain) , sont actuellement responsables de la destruction de 14% des récoltes de maïs aux États-Unis et au Canada.

Quelle que soit la Nation, aucune n'est épargnée par l'opportunité existante de la Flore ou de la Faune, de profiter de notre mondialisation de l'Économie, afin de devenir un fléau, dans un nouvel Environnement.
En très grande majorité, c'est l'Humain -de forme fortuite ou volontaire- qui porte la responsabilité de ce transfert d'espèces d'un continent à l'autre. Mise à part leurs impacts sur l'Agriculture locale, ces espèces invasives sont également responsables de la disparition de 60% des espèces endémiques. L'Histoire de l'Australie en est malheureusement un cas d'école de ces conséquences... mais également de quelles sont les mesures de prévention à prendre, pour limiter au possible, une future introduction d'espèces.

Quant aux dépenses financières engendrés pour tenter de venir à bout de ces espèces invasives envahissantes, elles se chiffrent tout autant en milliards...du moins pour les Nations en ayant les moyens financiers pour l'effectuer.
La constante est la suivante: plus les sujets de l'espèce invasive envahissante sont grands, plus il est facile de les éradiquer. Il est, de fait, plus "aisé" pour Canberra (Australie) de venir à bout de quelques centaines de milliers de dromadaires, que des quelques centaines de millions de lapins restants...

Quant aux États-Unis et Canada, en "guerre" contre les millions de porcs sauvages/sangliers en passe de devenir un problème national à tous les effets, l'inscription de cette espèce par chacun des États, sur la liste des espèces exotiques envahissantes... permet maintenant de les chasser 24/7.
A mode de démonstration, les images suivantes: (je vous averti: c'est du lourd)
youtu.be/eOt1HLXNRFE?si=CqwLAe0ZfQl9dAQQ
Pour que les États-Unis puissent uniquement maintenir la population de sangliers/cochons sauvages, au niveau de sa population actuelle, il faudrait en réalité abattre entre les 2/3 et les 3/4 des effectifs, ...chaque année.

a écrit : Ils sont juste jaloux, d'habitude ils sont autonomes pour détruire la nature à grande échelle, la c'est un frenchy qui leur a volé la vedette. Ça va de soie !! En regardant les sources on remarque que le personnage nous a fait une chrysalide d'entité de la quarantaine ^^

a écrit : "1300 milliards". Tel est le coût annuel mondial, des pertes engendrées par les espèces exotiques envahissantes. Ce sont en très grande majorité, les activités liées à l'Agro-alimentaire, qui en subissent les conséquences. Par exemple, les sangliers/cochons sauvages (non-natifs du continent Américain) , sont actuellement responsables de la destruction de 14% des récoltes de maïs aux États-Unis et au Canada.

Quelle que soit la Nation, aucune n'est épargnée par l'opportunité existante de la Flore ou de la Faune, de profiter de notre mondialisation de l'Économie, afin de devenir un fléau, dans un nouvel Environnement.
En très grande majorité, c'est l'Humain -de forme fortuite ou volontaire- qui porte la responsabilité de ce transfert d'espèces d'un continent à l'autre. Mise à part leurs impacts sur l'Agriculture locale, ces espèces invasives sont également responsables de la disparition de 60% des espèces endémiques. L'Histoire de l'Australie en est malheureusement un cas d'école de ces conséquences... mais également de quelles sont les mesures de prévention à prendre, pour limiter au possible, une future introduction d'espèces.

Quant aux dépenses financières engendrés pour tenter de venir à bout de ces espèces invasives envahissantes, elles se chiffrent tout autant en milliards...du moins pour les Nations en ayant les moyens financiers pour l'effectuer.
La constante est la suivante: plus les sujets de l'espèce invasive envahissante sont grands, plus il est facile de les éradiquer. Il est, de fait, plus "aisé" pour Canberra (Australie) de venir à bout de quelques centaines de milliers de dromadaires, que des quelques centaines de millions de lapins restants...

Quant aux États-Unis et Canada, en "guerre" contre les millions de porcs sauvages/sangliers en passe de devenir un problème national à tous les effets, l'inscription de cette espèce par chacun des États, sur la liste des espèces exotiques envahissantes... permet maintenant de les chasser 24/7.
A mode de démonstration, les images suivantes: (je vous averti: c'est du lourd)
youtu.be/eOt1HLXNRFE?si=CqwLAe0ZfQl9dAQQ
Pour que les États-Unis puissent uniquement maintenir la population de sangliers/cochons sauvages, au niveau de sa population actuelle, il faudrait en réalité abattre entre les 2/3 et les 3/4 des effectifs, ...chaque année.
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La notion d’espèces envahissantes est quand même très relative, et globalement c’est l’homme qui décide qu’elle espèce perturbe l’écosystème. Sachant que l’espèce la plus nuisible et envahissante pour l’ordre établi, c’est quand même l’homme…

a écrit : La notion d’espèces envahissantes est quand même très relative, et globalement c’est l’homme qui décide qu’elle espèce perturbe l’écosystème. Sachant que l’espèce la plus nuisible et envahissante pour l’ordre établi, c’est quand même l’homme… « Espèces envahissantes » n’est pas le vrai terme, c’est « espèces invasives » dans l’état actuel de mes connaissances et il y a une définition bien établi ou l’homme y joue un rôle central (c’est par définition le vecteur usant de différents moyens volontaires ou involontaires).

Au delà de ça l’homme fait parti de la nature au même titre que toutes les autres espèces. En l’état actuel croire que l’homme est supérieur et assez « intelligent » ou «  sage » pour préparer et construire son avenir sur la planète d’une manière pérenne reste encore à démontrer… Pour le moment nous n’avons pas montré plus de raison ou de perspicacité que n’importe quelle espèce, bactérie compris.

Après je trouve curieux ce terme invasif...si il y a trop de sangliers. C'est de la bonne protéine animale. J'en mange pas mais beaucoup en raffolent. Les espèces migrent aussi en fonction des climats qui évoluent...comme nous d'ailleurs, les vieux préfèrent la côte d'Azur.
Plus sérieusement et sans vouloir exhaunerer qui que ce soit. Sans prédateurs une espèce prolifère mais toute espèce à un predateur...

Chez nous les militaires américains ont ramené les écrevisses qui bousillent les berges des rivières françaises et exterminent les espèces locales.

Considérés comme des nuisibles vous pouvez vous faire plaisir sur la pêche et c'est pas mal du tout à manger

a écrit : Après je trouve curieux ce terme invasif...si il y a trop de sangliers. C'est de la bonne protéine animale. J'en mange pas mais beaucoup en raffolent. Les espèces migrent aussi en fonction des climats qui évoluent...comme nous d'ailleurs, les vieux préfèrent la côte d'Azur.
Plus sérieusement e
t sans vouloir exhaunerer qui que ce soit. Sans prédateurs une espèce prolifère mais toute espèce à un predateur... Afficher tout
Le problème aux États-Unis et Canada, grands producteurs de céréales tous deux, est que cette population de sangliers/cochons sauvages, atteindrait déjà les 9 millions d'exemplaires.
En parallèle, pas moins de 38 maladies différentes ont été détectées au sein de ces troupeaux sauvages. Certaines sont transmissibles à l'homme, ainsi qu'aux cochons domestiques, et peuvent donc provoquer des épizooties dans le cheptel porcin Nord-Américain.
Rappeller que la récente épidémie de Peste porcine en Chine, à conduit à devoir sacrifier 43 millions de porcs domestiques dans ce pays, à une pénurie de cette viande sur son marché intérieur et à une flambée des prix.

Chasser des millions d'exemplaires tous les ans ? Pourquoi pas... mais encore faut-il créer une filière pour arriver à écouler tout le stock de viande (entrant en concurrence directe avec les autres viandes domestiques, sauvages et exotiques)... et surtout que tout ceci soit économiquement rentable. Sinon, il reste à la transformer en croquettes ou pâtées pour chiens et chats, ou la détruire, grâce à des subventions..qui ne sont autres que de l'impôt ou du déficit budgétaire, en définitive.

a écrit : La notion d’espèces envahissantes est quand même très relative, et globalement c’est l’homme qui décide qu’elle espèce perturbe l’écosystème. Sachant que l’espèce la plus nuisible et envahissante pour l’ordre établi, c’est quand même l’homme… Nous sommes actuellement 8 milliards d'humains sur cette planète.
Il est à peu près certain que l'Humanité actuelle est déjà au-dessous du seuil de renouvellement générationnel, lui, fixé à 2,3 enfants/Femme en âge de procréer. Officieusement, ce chiffre n'aurait été que de 2,21 enfants/Femme (moyenne mondiale), en 2023.
Cette Dénatalité Mondiale est non seulement continue, mais est en train de s'accélérer. Les Démographes n'hésitent plus à dire que "1,8 enfant/Femme", durant la deuxième moitié du 21ème siècle, sera peut-être "1,6 enfants".
Alors qu'il était estimé que la population mondiale se stabiliserait en 2064, quelques Démographes pensent maintenant que le pic de population mondiale pourrait être atteint de 10 à 20 ans avant cette date. (Entre 2045 et 2055). Somme toute, la population mondiale n'a augmentée que de 75 millions d'habitants en 2023, face aux 81 millions de 2022.
Si la Dénatalité mondiale continue, il faut estimer que les 9,5 ou 10 milliards d'humains sur Terre, à l'horizon 2100, n'aura jamais lieu, mais se situera plutôt à 6 à 6, 5 milliards.

L'Humain, une espèce envahissante ? Oui, mais peut-être plus pour longtemps.
Je serai curieux d'être un Français du 22ème siècle, quand au JT il s'annoncerait que la France vient de passer sous la barre des 26 millions d'habitants, voire même de 11...

Le traitement de l’information sur cette anecdote est assez incroyable selon la langue :

En français :

« Malheureusement, après l'éclosion, une partie des chenilles lui échappe (à la faveur d'un orage) et part infester les arbres du voisinage. Trouvelot réalise immédiatement le danger d'une telle situation et prévient les entomologistes locaux, mais rien ne sera entrepris à cette époque. »

Texte empli de fatalité : un mauvais concours de circonstance fait que les chenilles se sont échappées, il a fait de son mieux (surtout vu l’époque reculée) pour essayer de résoudre la situation, mais personne n’a écouté cet esprit éclairé.

En anglais :

« Unfortunately, some of the larvae escaped into the nearby woods. There are conflicting reports on the resulting actions. One states that despite issuing oral and written warnings of possible consequences, no officials were willing to assist in searching out and destroying the moths. The other notes that he was aware of the risk and there is no direct evidence that he contacted government officials. »

Aucune excuse de cherchée pour le fait que les chenilles se soient échappées. Une évocation de pluralité de sources quant à la prise de ses responsabilités face à cet événement, concluant sur le fait qu’aucune preuve n’indique qu’il ait contacté les autorités locales (VS entomologistes locaux dans le premier texte). A noter que seule la version anglaise cite des sources (que je n’ai pas ouvertes).

Cette anecdote est un detail, mais ça en dit tellement long sur les conséquences émotionnelles qu’a le traitement de l’information ! Dans un cas on est avec lui, dans l’autre contre, alors que seuls peut d’éléments changent dans la rédaction, et aucun dans les sources.

A garder en tête en regardant les infos, il est plus facile de faire coller un fait à une idée préconçue qu’on a du monde que de l’accepter comme allant à l’encontre de notre vision !

Des années que je n’avais pas posté tiens, mais je lis toujours depuis le début de ce site. Merci Philippe !

a écrit : Après je trouve curieux ce terme invasif...si il y a trop de sangliers. C'est de la bonne protéine animale. J'en mange pas mais beaucoup en raffolent. Les espèces migrent aussi en fonction des climats qui évoluent...comme nous d'ailleurs, les vieux préfèrent la côte d'Azur.
Plus sérieusement e
t sans vouloir exhaunerer qui que ce soit. Sans prédateurs une espèce prolifère mais toute espèce à un predateur... Afficher tout
Exhaunerer ? Il fait mal celui là quand même :-) J’imagine que tu pensais à "exhaustif" en voulant écrire "exonérer" ;-)

a écrit : "1300 milliards". Tel est le coût annuel mondial, des pertes engendrées par les espèces exotiques envahissantes. Ce sont en très grande majorité, les activités liées à l'Agro-alimentaire, qui en subissent les conséquences. Par exemple, les sangliers/cochons sauvages (non-natifs du continent Américain) , sont actuellement responsables de la destruction de 14% des récoltes de maïs aux États-Unis et au Canada.

Quelle que soit la Nation, aucune n'est épargnée par l'opportunité existante de la Flore ou de la Faune, de profiter de notre mondialisation de l'Économie, afin de devenir un fléau, dans un nouvel Environnement.
En très grande majorité, c'est l'Humain -de forme fortuite ou volontaire- qui porte la responsabilité de ce transfert d'espèces d'un continent à l'autre. Mise à part leurs impacts sur l'Agriculture locale, ces espèces invasives sont également responsables de la disparition de 60% des espèces endémiques. L'Histoire de l'Australie en est malheureusement un cas d'école de ces conséquences... mais également de quelles sont les mesures de prévention à prendre, pour limiter au possible, une future introduction d'espèces.

Quant aux dépenses financières engendrés pour tenter de venir à bout de ces espèces invasives envahissantes, elles se chiffrent tout autant en milliards...du moins pour les Nations en ayant les moyens financiers pour l'effectuer.
La constante est la suivante: plus les sujets de l'espèce invasive envahissante sont grands, plus il est facile de les éradiquer. Il est, de fait, plus "aisé" pour Canberra (Australie) de venir à bout de quelques centaines de milliers de dromadaires, que des quelques centaines de millions de lapins restants...

Quant aux États-Unis et Canada, en "guerre" contre les millions de porcs sauvages/sangliers en passe de devenir un problème national à tous les effets, l'inscription de cette espèce par chacun des États, sur la liste des espèces exotiques envahissantes... permet maintenant de les chasser 24/7.
A mode de démonstration, les images suivantes: (je vous averti: c'est du lourd)
youtu.be/eOt1HLXNRFE?si=CqwLAe0ZfQl9dAQQ
Pour que les États-Unis puissent uniquement maintenir la population de sangliers/cochons sauvages, au niveau de sa population actuelle, il faudrait en réalité abattre entre les 2/3 et les 3/4 des effectifs, ...chaque année.
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C'est stupéfiants, mais vu la harde qu'ils exterminent on comprend que c'est un grave problème environnementale