Le krach boursier d'octobre 1987 fut presque deux fois plus important que celui qui causa la Grande Dépression de 1929. Il atteint son apogée le 19 octobre 1987, quand le Dow Jones perdit 22,6% en une journée, provoquant la perte de près de 600 milliards de dollars et l'effondrement de la bourse mondiale. Il ne fut pas suivi d'une crise économique ce qui en fait une date peu connue.
A titre de comparaison, le krach de 1929 avait été marqué par une chute de "seulement" 12.8%.
Commentaires préférés (3)
la fin de l'anecdote peut être trompeur : c'est seulement la chute du lundi 28 octobre, précédé par un vendredi ayant vu une chute de 11% a l'ouverture, avant de se rétablir a 2,09% de chute, et une chute le lendemain de 11,73%, même si c'est sur deux jour et pas un on a quand même une chute similaire d'environ 23%.
Ce genre de réflexion "provoquant la perte de près de 600 milliards de dollars" m'ennuie toujours d'un point de vue économique car on imagine quelques uns perdrent cette argent comme si il était dépensé ou brulé.
Mais ici on parle de valeur boursière et au même titre que les calculs de fortune, ce sont des sommes "potentielles" voire "fictives" à l'instant T. D'ailleurs, les baisses boursières sont souvent des réajustements après des hausses inconsidérées qui n'auraient jamais du avoir lieu mais que le manque de régulation stricte autorise.
En tout cas, dans le monde réelle, les krach boursier apportent souvent leur lots de faillite, de baisse de salaire et de chomage tandis que les hausses boursières n'apporte pas de manière symétrique leur lots d'embauche et de hausse de salaire...
Je rajouterais que la révolution française a eu lieu quand les "riches" (nobles et écléciastique) possédaient 60% des richesses globales. Aujourd'hui en France on a 10% des plus riches qui possèdent 55% des richesses. Je vais devoir aller acheter une fourche.
Ils peuvent vendre progressivement leurs parts pour éviter cette forme de 'crack', et ils le font généralement (acheter un yacht ou ce genre de jouet indispensable). Mais ils peuvent aussi mettre leurs parts comme contreparties pour émettre un prêt (généralement à taux extrêmement faible) qui permet de générer rapidement des liquidités. C'est fait très souvent pour racheter des entreprises tierces par exemple.
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la fin de l'anecdote peut être trompeur : c'est seulement la chute du lundi 28 octobre, précédé par un vendredi ayant vu une chute de 11% a l'ouverture, avant de se rétablir a 2,09% de chute, et une chute le lendemain de 11,73%, même si c'est sur deux jour et pas un on a quand même une chute similaire d'environ 23%.
Ce genre de réflexion "provoquant la perte de près de 600 milliards de dollars" m'ennuie toujours d'un point de vue économique car on imagine quelques uns perdrent cette argent comme si il était dépensé ou brulé.
Mais ici on parle de valeur boursière et au même titre que les calculs de fortune, ce sont des sommes "potentielles" voire "fictives" à l'instant T. D'ailleurs, les baisses boursières sont souvent des réajustements après des hausses inconsidérées qui n'auraient jamais du avoir lieu mais que le manque de régulation stricte autorise.
En tout cas, dans le monde réelle, les krach boursier apportent souvent leur lots de faillite, de baisse de salaire et de chomage tandis que les hausses boursières n'apporte pas de manière symétrique leur lots d'embauche et de hausse de salaire...
Je rajouterais que la révolution française a eu lieu quand les "riches" (nobles et écléciastique) possédaient 60% des richesses globales. Aujourd'hui en France on a 10% des plus riches qui possèdent 55% des richesses. Je vais devoir aller acheter une fourche.
Si en fin de première journée, la chute est finalement de 2,09% et que le lendemain on a une nouvelle chute de 11,73%, le totale de chute est plutôt de 13,57%.
Si je regarde les stats INSEE, je connais un paquet de monde dans le top 10%... Cela dit, ça reste une concentration importante qui pose question : est-ce que c'est associé à une forme de mérite ? Est-ce que ça contribue à un fonctionnement sain de la société ? Est-ce que l'accumulation au détriment d'autrui est acceptable d'un point de vue purement éthique ?
Par exemple si demain Bezos décidait de se désengager d'Amazon et de vendre toutes ses parts, la valeur des actions chûterait probablement fortement et la 'richesse' de Bezos avec.
Ils peuvent vendre progressivement leurs parts pour éviter cette forme de 'crack', et ils le font généralement (acheter un yacht ou ce genre de jouet indispensable). Mais ils peuvent aussi mettre leurs parts comme contreparties pour émettre un prêt (généralement à taux extrêmement faible) qui permet de générer rapidement des liquidités. C'est fait très souvent pour racheter des entreprises tierces par exemple.
Dans une moindre échelle, c'est ce que les gens font en achetant une maison. On déduit les intérêts pour payer moins d'impôts et notre salaire est la garantie. Les riches ont juste maximisé le processus et c'est le système fiscal qui est à réformer pour contrecarrer ce genre de pratique (ou pas d'ailleurs selon le point de vue).
PS : le site et l'application buguent non stop, cela devient presque inutilisable avec des déconnexions permanentes. Faut se reconnecter 10 fois pour simplement poster un message.
Perso, à part le père d'une copine, je ne connais AUCUNE personne qui fait parti des 10% les plus riches.
Selon L'INSEE, les fameux 10% possèdent plus de 716 000€ de patrimoine, et 4 200€ par mois, mais attention : c'esr par personne.
Vos amis en couple qui cumulent 8000€ à deux, dans leur maison à 1 millions n'en font pas partie, car individuellement le foyer "pèse" 500 000 et 4000€/personne.
Déjà il ne faut pas 2 personnes célibataire dans les 10% pour faire un couple à 10%, ça change vraiment beaucoup
Par ailleurs sur les revenus les chiffres sont très différents de ceux que tu avances : www.insee.fr/fr/statistiques/5371205?sommaire=5371304
A 1 million d'euros de patrimoine on entre dans les 5% les plus riches. A 2.2 millions on est dans le dernier pourcent.
Je connais pleins de gens qui sont dans ces catégories. Une histoire de région, secteur d'activité, etc. Après tout, on parle de 10% de la population, ils ne sont juste pas uniformément repartis.
Pour le crédit, je ne savais pas. Je peux encore le faire dans le pays où je suis. Est-il possible en France de faire une bonification d'intérêts sur un 13e mois ou une prime avec son employeur ?
J'en n'ai pas grand chose a faire de l'intention initiale et du fait qu'ils ont réfléchi leur truc de travers. Tout ce que je vois c'est que certains en ont bénéficié, et que j'aurais pu économiser des sommes substantielles si ça existait toujours.
Je vois aussi qu'on n'aide pas a accéder à la propriété mais qu'on aide a fabriquer du patrimoine avec des investissements locatifs qui sont quand même vachement moins essentiels à mon sens.