Les erreurs humaines sont la première cause d'accidents d'avion

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a écrit : Qu'est ce qu'une erreur humaine ?
J'ai du mal à caractériser ce concept.
Tout les crash ne sont il pas des erreurs humaines (erreur mécanique, organisation, pilotage)
Est ce que le crash Rio-Paris était dû à une erreur humaine ou autres (tube pito bouché, avec information erroné mais s
i pris en compte il y avais une possibilité de récupérer l'avion)
Est-ce qu'un boulon mal vissé est une erreur humaine ?
Une tempête non évité est elle une erreur ?
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Le paris Rio , le crash est dû au départ à une erreur d’affichage de la vitesse .
Ce fameux bouton demandait de baisser la vitesse , à l’époque les pilotes ne savaient pas reconnaître la vitesse par d’autres moyens que celui-ci .
Du coup le pilote a baissé la vitesse et lorsqu’il a décroché il lui a été impossible de raccrocher … est-ce entièrement la faute de l’humain ? je ne suis pas convaincue …

a écrit : Le paris Rio , le crash est dû au départ à une erreur d’affichage de la vitesse .
Ce fameux bouton demandait de baisser la vitesse , à l’époque les pilotes ne savaient pas reconnaître la vitesse par d’autres moyens que celui-ci .
Du coup le pilote a baissé la vitesse et lorsqu’il a décroché il lui a été i
mpossible de raccrocher … est-ce entièrement la faute de l’humain ? je ne suis pas convaincue … Afficher tout
C'est carrément une erreur humaine. Les tubes Pitot ne donnaient plus d'informations de vitesse cohérente mais ils avaient toujours accès à l'horizon artificielle et à la poussée des réacteurs. Grâce aux abaques attitude/poussée ils auraient pu piloter à l'ancienne sans l'info de vitesse. De plus, ils auraient dû savoir identifier le décrochage car lorsque l'alarme de calage moteur sonne non-stop (stahl, stahl, stahl...) et que l'avion apparaît largement cabré sur l'horizon artificiel il n'est pas compliqué de comprendre qu'il y a un problème de vitesse, qu'on va décrocher, et qu'il faut baisser le nez de l'avion. Mais ils ont ignoré l'horizon artificiel et l'alarme de calage moteur pour se focaliser sur l'info de vitesse défaillante. Bref, des pilotes plus chevronnés et une meilleure communication dans le cockpit aurait permis d'éviter le crash. Plusieurs indices permettaient de comprendre le problème.

a écrit : C'est carrément une erreur humaine. Les tubes Pitot ne donnaient plus d'informations de vitesse cohérente mais ils avaient toujours accès à l'horizon artificielle et à la poussée des réacteurs. Grâce aux abaques attitude/poussée ils auraient pu piloter à l'ancienne sans l'info de vitesse. De plus, ils auraient dû savoir identifier le décrochage car lorsque l'alarme de calage moteur sonne non-stop (stahl, stahl, stahl...) et que l'avion apparaît largement cabré sur l'horizon artificiel il n'est pas compliqué de comprendre qu'il y a un problème de vitesse, qu'on va décrocher, et qu'il faut baisser le nez de l'avion. Mais ils ont ignoré l'horizon artificiel et l'alarme de calage moteur pour se focaliser sur l'info de vitesse défaillante. Bref, des pilotes plus chevronnés et une meilleure communication dans le cockpit aurait permis d'éviter le crash. Plusieurs indices permettaient de comprendre le problème. Afficher tout C'est bien dommage qu'ils aient supprimé le mécanicien à bord des gros avions pour économiser un emploi, tu sais? le mec qui s'occupait uniquement des systèmes de l'avion sans s'occuper du pilotage, se consentant uniquement sur les informations données par la machine...

a écrit : C'est carrément une erreur humaine. Les tubes Pitot ne donnaient plus d'informations de vitesse cohérente mais ils avaient toujours accès à l'horizon artificielle et à la poussée des réacteurs. Grâce aux abaques attitude/poussée ils auraient pu piloter à l'ancienne sans l'info de vitesse. De plus, ils auraient dû savoir identifier le décrochage car lorsque l'alarme de calage moteur sonne non-stop (stahl, stahl, stahl...) et que l'avion apparaît largement cabré sur l'horizon artificiel il n'est pas compliqué de comprendre qu'il y a un problème de vitesse, qu'on va décrocher, et qu'il faut baisser le nez de l'avion. Mais ils ont ignoré l'horizon artificiel et l'alarme de calage moteur pour se focaliser sur l'info de vitesse défaillante. Bref, des pilotes plus chevronnés et une meilleure communication dans le cockpit aurait permis d'éviter le crash. Plusieurs indices permettaient de comprendre le problème. Afficher tout Le stall c’est le décrochage de l’aile, et n’a rien à voir avec un moteur qui a caler. Dans le cas du Rio-Paris les moteurs fonctionnaient parfaitement.

Tu as raison, les pilotes ne sont pas rendu compte qu’ils étaient en décrochage, mais il y aurait beaucoup de choses supplémentaires à dire, ils ont tout de même des circonstances atténuantes. L’indicateur de décrochage qui ne sonne que par intermittence par exemple, le fait qu’il est difficile de piloter manuellement à ces altitudes, ou encore que le copilote qui cabrait annulait la commande du pilote qui piquait.
Ces problèmes ont été corrigés au mieux avec des formations obligatoires(UPRT) et des modifications matérielles ou logicielles (ex: le système BUSS qui donne une info basique de vitesse en se basant l’angle d’attaque et la poussée, si la valeur de vitesse-air est défectueuse; c’est plus facile que les abaques).

a écrit : Les missiles russes éventuellement ? C'est une erreur humaine également. Celle des tireurs au sol.