John Elwes fut un homme politique anglais dont l'avarice extrême inspira le personnage d'Ebenezer Scrooge, dans "Un chant de Noël", de Charles Dickens. Né au début du XVIIIe siècle, il hérita d'une grande fortune dont il ne dépensa rien : il portait les mêmes vêtements et se déplaçait à pied.
A sa mort, il avait amassé l'équivalent de 100 millions de livres sterling.
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Double anecdote : l’Oncle Picsou en anglais s’appelle Uncle Scrooge ;)
Il meurt en 1789 à l’âge de 75 ans, laissant une fortune estimée à 800 000 £ (équivalent de plus de 120 millions € actuels).
Il vaut des millliaaaaards en or en dollaaaaars Picsou, ouhouh!!!!
Si toi aussi tu l'as lu en chantant
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Double anecdote : l’Oncle Picsou en anglais s’appelle Uncle Scrooge ;)
Il meurt en 1789 à l’âge de 75 ans, laissant une fortune estimée à 800 000 £ (équivalent de plus de 120 millions € actuels).
Voir source : beaucoup en on profité
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Il vaut des millliaaaaards en or en dollaaaaars Picsou, ouhouh!!!!
Si toi aussi tu l'as lu en chantant
Voici d'autres détails à ajouter pour enrichir le portrait de John Elwes, l'homme derrière Ebenezer Scrooge :
* Son mode de vie paradoxal : Malgré sa fortune colossale (estimée à plus de 50 millions de livres sterling d'aujourd'hui), Elwes menait une vie misérable. Il se nourrissait de restes de nourriture, portait une perruque de juge qu'il avait trouvée dans une haie, et laissait sa maison à l'abandon, craignant de la faire réparer. Il se couchait souvent à la tombée de la nuit pour économiser les bougies.
* Son amour du jeu : Bien que d'une avarice extrême dans la vie quotidienne, John Elwes était connu pour être un joueur de cartes passionné. Cependant, il ne jouait que pour de petites sommes et était célèbre pour ne jamais refuser de payer une dette, même de quelques shillings.
* Sa carrière politique : Il fut élu au Parlement et siégea pendant 16 ans. Sa réputation d'avare était si grande que les électeurs ne lui demandaient jamais d'argent pour des campagnes, ce qui était une pratique courante à l'époque. Il était considéré comme un homme honnête au Parlement, car il était impossible de le corrompre.
* La relation avec ses fils : John Elwes a eu deux fils illégitimes. À sa mort, il leur a laissé sa fortune, mais le sort de ses fils a été assez cruel : l'un est mort de faim en prison pour dettes et l'autre est devenu si pauvre qu'il a dû vivre dans une des demeures qu'il avait héritées.
J'ai connu une personne comme ça au Luxembourg. Elle était millionnaire mais avait une chemise usée qu'on voyait à travers, un pantalon sans poche (le tissus avait fondu), une opel corsa depareraillée, écrivait avec un crayon de moins de 2 cm sur du papier rempli tant qu'il y avait du blanc. Chez lui il n'avait aucune assiette ni chaise les mêmes, que de la récup. Il n'apportait rien dans les repas du boulot par contre quand s'était un buffet il se gouinfrait en cachette. C'était drôle à voir.