Le premier Harry Potter n'a pas été simple à éditer pour son écrivain, J.K. Rowling. Une dizaine d'éditeurs ont d'abord refusé le roman. Avec l'aide d'un agent, elle réussira à convaincre un éditeur, Bloomsburry, de publier le roman à 1000 exemplaires, surtout destinés à des bibliothèques. Ces premiers exemplaires se vendent aujourd'hui aux enchères pour des milliers d'euros.

Tous les commentaires (55)
Quels idiots ces éditeurs s'ils avaient pu prévoir le buzz ...
Ils doivent regretter maintenant =)
Ça me rappelle l'histoire des Beatles
Un livre si bien, je vois pas pourquoi il l'ont refusé.
Et c'était considéré comme un livre pour enfants au début des ventes
Bah j espère qu elle est restée chez Bloomsburry et qu elle a dit merde aux autres !!
France Loisirs avait refusé d'éditer la traduction du "Da Vinci Code"
Source : quelqu'un qui travaille chez France Loisirs.
Les trois premiers sont accessibles pour des enfants : courts, faciles à lire, un peu inquiétants. A partir du quatrième ça devient de plus en plus sombre et je ne laisserais pas le dernier dans n'importe quelles mains.
800 dollars
D'après le figaro il n'y a eu que 500 exemplaire et non 1000.
Facile à dire "quels idiots ces éditeurs". Ils jugent de la littérature, pas de l'éventualité d'un buzz. Mais effectivement, ils n'ont pas eu le nez creux...
Il me semble que la fille de l'éditeur avait aussi lu le livre et qu'elle avait ensuite demandé à son père la suite, ce qui aurait (probablement) influencé son engagement.
Il y a un film là dessus il me semble
Même histoire pour les Beattles. Celui qui les a refusé doit encore en faire des cauchemards.
Oulah, ça par contre c'est faux. Elle s'installait dans ce café pour écrire après les promenades avec sa fille.
Elle avait bel et bien un appartement.
Pourquoi heureusement ?