Pendant la Seconde Guerre mondiale, un club un peu spécial fut créé à Los Angeles : il s'agit de l'Hollywood Canteen où les soldats américains en permission étaient servis gratuitement par les plus grandes stars de cinéma américain de l'époque comme Judy Garland ou Hedi Lamarr, le but étant de maintenir le moral des troupes.
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Je mets loana en cuisine et Depardieu derrière le bar... Comment ça on est deja en rupture ?
je comprend maintenan la pub expresso: "what else ?"
Dommage pour toi...
Il y a également eu la "Hollywood victory caravan"
Plein de stars de l'époque se baladait de ville en ville pour donner des concerts, des spectacles, ils ont rapportés plus de 800 millions de dollars, qui sont évidemment aller dans les caisses de l'état pour soutenir l'effort de guerre.
D'une façon générale l'industrie d'Hollywood s'est énormément investit durant la seconde guerre mondiale, il y a eu un reportage sur France 3 a ce sujet que je vous recommande, c'est passionnant !
Au lieux de faire les spots publicitaires pour que l'on s'engage il simple Emmanuel Béart / Vanessa paradi serait bien plus efficace...
Depardieu comme sommelier, il n'y a plus de vin pour les autres.
Ce qui est important c'est que ce concert des enfoirés, et la vente des DVD, est un apport financier considérable, essentiel, vital, pour l'association.
Alors il faut positiver et se dire que c'est bien que ce concert existe. Et puis on n'est pas dupes sur les intentions des uns et des autres ; même si on peut se tromper, parfois...
La commande de la 45 Mr Schwarzenegger siouplet
Dommage que nos quelques résistants français (Qui a parlé des gaulois ?) en Angleterre n'aient pu profiter de ce traitement !
Kant et sa thèse déontologiste in Fondements de la métaphysique des moeurs, te dirait que seule l'action pourvue d'une pure et unique bonne intention, dans le seul souci d'une conformité au devoir (en accord avec les impératifs catégoriques prescrits par la morale universelle et a priori) est louable est peut être qualifiée comme une "bonne action" (primauté de l'intention sur les conséquences dans l'action / primauté de la forme sur le fond).
La thèse utilitariste telle que l'a par exemple développé J.-S. Mill in De l'utilitarisme, et notamment sa sous branche la thèse consequentialiste selon laquelle "le plus grand bonheur du plus grand nombre" (F. Hutcheson), te dira que seules les conséquences positives pour la majorité qu'engendre une action te permettra de la nommer "bonne action", même si les intentions qui l'ont présidé n'était pas aussi bonnes / conformes au devoir, que ses conséquences...
Difficile de juger. Surtout quand la morale revêt plusieurs formes. En tout cas peut être peut-on oser dire qu'il faudrait estimer les conséquences positives que ce genre d'actions par les "artistes" permettent pour le bien d'une partie de la population plus démunie. Mais tout en estimant cette action et ses conséquences, peut-être pouvons-nous uniquement garder cette estime pour l'action, et blâmer ceux qui s'en servent comme une promotion ; blâmer leur personne même plutôt que leur action.. Mais loin de moi l'idée d'imposer tout point de vue sur une question aussi complexe ; j'argumente par ma petite connaissance pour essayer de trouver une "3ème voie", une voie de "conciliation".