Connus pour avoir une salive riche en bactéries mortelles, les Dragons de Komodo pourraient justement être à l'origine d'un antidote contre certaines bactéries. Leur sang contient en effet des protéines capables de tuer les "super-bactéries" insensibles aux antibiotiques.
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On arrivera à créer un super antibiotique à partir de ce sang. Puis les bacteries deviendront résistantes à leur tour...
Bref le lezard qui se mord la queue
On sait que récemment le mode opératoire des dragons pour tuer leur proies :
Ils mordent un animal ( une vache des fois ), Et suit sa proie pendant des jours, voire un mois. En attendant que la proie meurt de sa blessure alors infectée.
Concernant l'anecdote, les chercheurs se sont intéressés au sang des Dragons de Komodo car ils ont remarqué que ces derniers ne développaient pas d'infections suite aux morsures de leurs congénères dont la salive contient pourtant de nombreuses bactéries mortelles. Ils ont donc supposé que leur sang contenait une substance permettant de lutter contre ces bactéries.
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Un article sérieux de National Geographic, de 2009, dit au contraire que l'histoire des bactéries, c'est une légende, que seul le venin est en cause.
news.nationalgeographic.com/news/2009/05/090518-komodo-dragon-venom.html
Mais il exact que le sang contient des peptides anti-microbiens.
www.acs.org/content/acs/en/pressroom/presspacs/2017/acs-presspac-february-22-2017/antimicrobial-substances-identified-in-Komodo-dragon-blood.html
Je préfère croire ces revues, plutôt que le Point ou Sciences et Avenirs, tous deux coupables de bien des erreurs.
On arrivera à créer un super antibiotique à partir de ce sang. Puis les bacteries deviendront résistantes à leur tour...
Bref le lezard qui se mord la queue
On sait que récemment le mode opératoire des dragons pour tuer leur proies :
Ils mordent un animal ( une vache des fois ), Et suit sa proie pendant des jours, voire un mois. En attendant que la proie meurt de sa blessure alors infectée.
Le lecteur sensé écarte ces "informations", censées écrites par des personnes connaissant leur sujet.
Donc, je suppose qu' il vas y avoir de l' élevage, juste pour les buter et les sucer de tout leur sang...
Et tout ça pour sauver une espèce (les humains) qui anéantit ou réduit en esclavage toutes les autres espèces.
Concernant l'anecdote, les chercheurs se sont intéressés au sang des Dragons de Komodo car ils ont remarqué que ces derniers ne développaient pas d'infections suite aux morsures de leurs congénères dont la salive contient pourtant de nombreuses bactéries mortelles. Ils ont donc supposé que leur sang contenait une substance permettant de lutter contre ces bactéries.
Premièrement, l'usage de l'anglais. Maintenant, si l'on veut lire et être lu, il est indispensable dans les sciences; depuis un siècle, presque toutes les découvertes majeures, fondamentales ou pratiques viennent d'anglophones ou d'immigrés installés aux USA ou en GB (sauf peut-être en maths, où la France et l'Italie restent très fortes). Il suffit de voir le classement des Universités et le nombre de Prix Nobel: rien qu'en Angleterre, trois centres ont chacun plus de Prix Nobel que toute la France n'en a jamais eu.
Où est la difficulté? Les termes techniques sont quasiment les mêmes partout, un minimum de connaissance des mots de liaison peut facilement s'acquérir (le vocabulaire scientifique est pauvre et stéréotypé), et si l'on ne peut faire cet effort, on entre en Enfer dont la porte est surmontée du panneau "abandonnez toute espérance".
Secondement, la place de la vulgarisation scientifique. À mon avis, elle peut simplifier mais ne doit jamais déformer. Les sources d'aujourd'hui ont été de toute évidence écrites par des journalistes sans formation scientifique solide et donnent des idées fausses. Doit-on prendre, comme fondement de ses propres convictions, ceux qui assènent comme certain ce dont les vrais scientifiques doutent eux-mêmes?
Évidemment, si l'on ne fait pas un titre fracassant, on vend moins de papier encré.
C'est particulièrement triste dans ce qui intéresse tout un chacun, la santé. Quotidiennement, des articles paraissent "X réduit le risque de maladies cardio-vasculaires", "Y est nocif et cancérigène", et du coup les ventes de produits "sans A" ou "riche en B" s'envolent, sans le moindre fondement expérimental (car je doute que beaucoup de ceux qui achètent du "gluten-free", "light", ou du "rich in Omega-3", "bio", etc. [je ne sais pas comment c'est libellé en français] sachent de quoi il s'agit; si l'on disait que les Omega-3 sont des acides gras, ce serait moins porteur; de même que si l'on vendait du sel de cuisine "naturellement riche en chlore" au lieu de "naturellement riche en sodium").
En fait, la vulgarisation par des personnes incompétentes réduit la science à une sorte de magie irrationnelle, où tout le monde se croit informé et n'est en fait que berné par des erreurs.
Les mécanismes de l'infection et de l'empoisonnement sont complètement différents.
Et quelque chose qui ne va pas, en analysant le texte de l'anecdote, c'est que la salive étant produite à partir du sang (au point qu'un prélèvement de salive au lieu de prise de sang est envisagé dans les laboratoires d'analyse bio-médicaux), elle devrait contenir au moins une partie des super-anti-microbiens, non?.
Bienvenue sur scmb bien français, on partages, on échange mais surtout on critique.
Intéressant comme sujet. Il me semble qu'il tombe à point nommé vue l'inquiétude sur le traitement antibiotique.
Ce que j'aime sur notre planète ces que même avec le bor... que l'on met sur celle ci, elle a toujours une solution, que ce soit végétale ou animal. Notre environnement est fascinant.
youtu.be/wj-x9Vriqiw la vidéo où l'on peut voir sa technique de chasse
LES DRAGONS DE KOMODO SONT VENINEUX
On l a decouvert il ya moins de 2 ans. Les glandes à venin et les dents par lesquels le venin passe, se trouvent au fond de la gueule.
Les dragon de komodo on en fait une large poche a venin anticoagulant sous leur mâchoires inférieur cela combiner a la quantité de bactérie mortelle dans leur salive et l'environnement la proie s'affaiblit de jour en jour et avant sa mort le dragon prélève quelques steaks a l'ocase c'est beau l'évolution!^^
C'est en ça que je trouve sensationnalistes les appellations du genre "super-bactéries". Mais bon, je suis profane en la matière, alors mon avis vaut ce qu'il vaut, et rien de plus.
Par contre, le point vraiment intéressant (si j'ai bien compris), c'est de se dire que ça ouvre une nouvelle voie d'approche de la lutte contre les bactéries.
Du coup, voilà comment je m'imagine les choses : multiplier les types de traitements limiterait le développement d'une immunité particulière chez les bactéries (si on attaque la moitié des bactéries au jus de citron et la moitié au jus de betterave, on pourra toujours inverser s'il y a des survivantes) ; est-ce que ça ne pourrait pas mettre en concurrence les bactéries résistantes à l'un et les bactéries résistantes à l'autre, et ralentir le développement des bactéries insensibles aux antibiotiques, par exemple ? (Question naïve, si quelqu'un s'y connaît, je prends la réponse)
news.nationalgeographic.com/news/2009/05/090518-komodo-dragon-venom.html cela à d'ailleurs fait l'objet d'une anecdote sur SCMB en 2010
En effet mais cela est connu depuis un peu plus de deux ans puisqu'un article à ce sujet est paru en 2009 :