Le sang du dragon de Komodo pourrait aider la recherche

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a écrit : Je suis aussi sceptique envers un article dont l'auteur ne sait pas écrire "septique", ce qui ne témoigne pas de connaissances approfondies en ce domaine.
Le lecteur sensé écarte ces "informations", censées écrites par des personnes connaissant leur sujet.
Il ne manquerait pas le verbe être entre "censées" et "écrites" ? Quand on se moque d'une petite faute d'orthographe et on veut faire étalage de sa maîtrise de la richesse de notre langue, autant le faire en bon français...

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a écrit : On arrivera à créer un super antibiotique à partir de ce sang. Puis les bacteries deviendront résistantes à leur tour...
Bref le lezard qui se mord la queue
Non, non, pas le lézard ; le dragon de Komodo !

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a écrit : Je suis l'auteure de cette anedocte. Je comprends bien votre remarque quant au sérieux de certains journaux tels que le point ou science et avenir mais l'intérêt de SCMB n'est-il pas de rendre la culture accessible au plus grand nombre. En effet, je pourrais mettre les articles scientifiques rédigés en anglais dont s'inspirent les 2 sources citées mais cela excluerait d'emblée les personnes ne comprenant pas l'anglais. Même si ces journaux peuvent contenir quelques erreurs je le reconnais, ils ont au moins la qualité d'être rédigés de manière à intéresser le plus grand nombre contrairement aux articles scientifiques qui sont parfois difficiles à comprendre.

Concernant l'anecdote, les chercheurs se sont intéressés au sang des Dragons de Komodo car ils ont remarqué que ces derniers ne développaient pas d'infections suite aux morsures de leurs congénères dont la salive contient pourtant de nombreuses bactéries mortelles. Ils ont donc supposé que leur sang contenait une substance permettant de lutter contre ces bactéries.
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L'intention est louable mais pourquoi ne pas mettre en sources un article d'un journal "sérieux" et un ou deux autres de sites plus accessibles. Rendre le savoir accessible est une très bonne chose, mais le faire tout en mettant en avant le savoir plus "dur" me paraît être encore meilleur :)

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a écrit : Il ne manquerait pas le verbe être entre "censées" et "écrites" ? Quand on se moque d'une petite faute d'orthographe et on veut faire étalage de sa maîtrise de la richesse de notre langue, autant le faire en bon français... Pourquoi l'adjectif "écrites" ne suivrait-il pas "censées", sans un lourd "être"?

Le dictionnaire de l'Académie dit:
CENSÉ, ÉE. adj. Qui est supposé, réputé. Celui qui est trouvé avec les coupables est censé complice. Une loi est censée abolie par le non-usage.
(Un de mes profs de français recommandait la lecture des Lois, car c'est un domaine où, parmi les langues vivantes, le français excelle par sa concision et surtout sa précision.)

De Boileau, qui écrivait presqu'aussi bien que moi [je précise que je plaisante, ce n'est peut-être pas inutile], on peut lire: "... rois censés grands politiques".

On dit bien: "supposé légitime", "réputé contrefait", pourquoi pas "censées écrites"? Voilà bien du pinaillage de pseudo-puriste, qui au fond ne comprend pas bien le "génie" (au sens classique) de la langue.

Pour moi, confondre "censé" et "sensé" n'est pas une petite faute d'orthographe, mais un manque de culture, et ce n'est pas faire étalage de savoir que de la reprendre; je ne corrige jamais les fautes dans les anecdotes, censées relues par plusieurs sages.
D'ailleurs, je ne reprenais personne, sauf celle qui ne savait pas écrire "septique", donc n'avait jamais fait d'études en ce domaine et partant était mal qualifiée pour écrire son article, surtout dans une revue qui se présente comme scientifique et pédagogique.

a écrit : Un article sérieux de National Geographic, de 2009, dit au contraire que l'histoire des bactéries, c'est une légende, que seul le venin est en cause.
news.nationalgeographic.com/news/2009/05/090518-komodo-dragon-venom.html
Mais il exact que le sang contient des peptides anti-microbiens.
/> www.acs.org/content/acs/en/pressroom/presspacs/2017/acs-presspac-february-22-2017/antimicrobial-substances-identified-in-Komodo-dragon-blood.html

Je préfère croire ces revues, plutôt que le Point ou Sciences et Avenirs, tous deux coupables de bien des erreurs.
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Merci pour le commentaire, j'etais tombé sur un reportage il y a peu qui faisait un petit point sur cette fable sur les bactéries.
Vous sentez cette odeur qui viens des médias ? Ca sent les marroniers de l'été.

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a écrit : On sait que récemment le mode opératoire des dragons pour tuer leur proies :
Ils mordent un animal ( une vache des fois ), Et suit sa proie pendant des jours, voire un mois. En attendant que la proie meurt de sa blessure alors infectée.
Faux. On croit depuis bien longtemps cette histoire de bactérie. Ce que l'on sait depuis moins longtemps c'est que ce mode opératoire viens de son venin.

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Encore une futur espèce disparue à rajouter sur la liste "à exterminer". Sinon eux aussi peuvent nous tuer pour nous retirer du jus de testicules ou je ne sais quoi d'autre? Peut être que ça peut être efficace contre des maladies qu'ils chopent...

Si on trouve une source aussi efficace que l'était les antibiotiques, j'espère qu'on s'en servira intelligemment pour éradiquer quelques maladies "d'un coup" plutôt que pour immuniser quelques riches jusqu'à ce que le remède ne fonctionne plus. Ou pulvériser notre super remède presque partout dans la nature (mais pas partout) où on n'en a pas besoin pour que les bactéries s'adaptent encore plus vite (comme on l'a fait avec les antibiotiques)

Enfin... je suis un peu utopiste je crois. N'oublions pas que ce qui nous "motives", c'est le rendement des industries pharmaceutiques... pas la lutte contre les maladies (ennemi commun de l'humanité)

a écrit : Pourquoi l'adjectif "écrites" ne suivrait-il pas "censées", sans un lourd "être"?

Le dictionnaire de l'Académie dit:
CENSÉ, ÉE. adj. Qui est supposé, réputé. Celui qui est trouvé avec les coupables est censé complice. Une loi est censée abolie par le non-usage.

(Un de mes profs de français recommandait la lecture des Lois, car c'est un domaine où, parmi les langues vivantes, le français excelle par sa concision et surtout sa précision.)

De Boileau, qui écrivait presqu'aussi bien que moi [je précise que je plaisante, ce n'est peut-être pas inutile], on peut lire: "... rois censés grands politiques".

On dit bien: "supposé légitime", "réputé contrefait", pourquoi pas "censées écrites"? Voilà bien du pinaillage de pseudo-puriste, qui au fond ne comprend pas bien le "génie" (au sens classique) de la langue.

Pour moi, confondre "censé" et "sensé" n'est pas une petite faute d'orthographe, mais un manque de culture, et ce n'est pas faire étalage de savoir que de la reprendre; je ne corrige jamais les fautes dans les anecdotes, censées relues par plusieurs sages.
D'ailleurs, je ne reprenais personne, sauf celle qui ne savait pas écrire "septique", donc n'avait jamais fait d'études en ce domaine et partant était mal qualifiée pour écrire son article, surtout dans une revue qui se présente comme scientifique et pédagogique.
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Alors c'est la virgule avant "censées" qui est en trop sinon il manque un verbe dans ta dernière proposition. Tu remarqueras que, même dans les exemples que tu as toi-même choisis, censé quand il n'est pas suivi d'un verbe n'est pas non plus précédé d'une virgule. Même si on s'attend à une tournure vieillie, ta phrase paraît bancale. Par ailleurs ta logique est vraiment spécieuse : quelqu'un qui fait une faute à septique n'aurait forcément jamais fait d'étude dans ce domaine ? Les fautes d'inattention ça arrive... Alors un vrai esprit scientifique se garderait bien de faire des conjectures sur les études de l'auteur avec une preuve si mince. Ta remarque aurait pu passer si elle avait été faite de manière plaisante mais prétendre faire des déductions tirées par les cheveux à partir d'une simple faute d'orthographe et en se prenant au sérieux c'est parfaitement ridicule. Quant au "pinaillage de pseudo-puriste", je trouve que ça s'applique bien à tes commentaires, je n'aurais pas trouvé une meilleure formule.

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Les gens qui font leur thèse de littérature à chaque fois qu'ils postent un commentaire en nous tartinant 1000 caractères commence à saouler grave !!! Arrivé à la fin, pour ceux qui y arrive, on ne retiens plus rien de votre baratin alors calmos sur le clavier

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ça sent assez le ''gilet de torture'' pour komodo ça...

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a écrit : On arrivera à créer un super antibiotique à partir de ce sang. Puis les bacteries deviendront résistantes à leur tour...
Bref le lezard qui se mord la queue
Alors si les bactéries s'adaptent, qu'est ce qui fait que les dragons de comodo sont encore en vie...
Il se pourrait bien qu'eux aussi s'adaptent!

a écrit : On arrivera à créer un super antibiotique à partir de ce sang. Puis les bacteries deviendront résistantes à leur tour...
Bref le lezard qui se mord la queue
Et du coup, il vaut mieux ne rien faire et arrêter de développer des antibiotiques?

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Est-il possible que les Dragons de Komodo soient comme les couleuvres, avec le venin tellement en arrière qu'ils peuvent pas inoculer la proie juste en la mordant?

a écrit : Les gens qui font leur thèse de littérature à chaque fois qu'ils postent un commentaire en nous tartinant 1000 caractères commence à saouler grave !!! Arrivé à la fin, pour ceux qui y arrive, on ne retiens plus rien de votre baratin alors calmos sur le clavier Je trouve cela intéressant, sociologiquement, de voir que même après avoir fait des études (semble-t-il), le jeu du " qui pisse le plus loin " comporte encore de nombreux adeptes.

a écrit : Est-il possible que les Dragons de Komodo soient comme les couleuvres, avec le venin tellement en arrière qu'ils peuvent pas inoculer la proie juste en la mordant? Apparemment non.

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a écrit : On arrivera à créer un super antibiotique à partir de ce sang. Puis les bacteries deviendront résistantes à leur tour...
Bref le lezard qui se mord la queue
C la salive, non le sang...

a écrit : Je suis l'auteure de cette anedocte. Je comprends bien votre remarque quant au sérieux de certains journaux tels que le point ou science et avenir mais l'intérêt de SCMB n'est-il pas de rendre la culture accessible au plus grand nombre. En effet, je pourrais mettre les articles scientifiques rédigés en anglais dont s'inspirent les 2 sources citées mais cela excluerait d'emblée les personnes ne comprenant pas l'anglais. Même si ces journaux peuvent contenir quelques erreurs je le reconnais, ils ont au moins la qualité d'être rédigés de manière à intéresser le plus grand nombre contrairement aux articles scientifiques qui sont parfois difficiles à comprendre.

Concernant l'anecdote, les chercheurs se sont intéressés au sang des Dragons de Komodo car ils ont remarqué que ces derniers ne développaient pas d'infections suite aux morsures de leurs congénères dont la salive contient pourtant de nombreuses bactéries mortelles. Ils ont donc supposé que leur sang contenait une substance permettant de lutter contre ces bactéries.
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Merci pour votre soucis de vulgarisation, continuez comme cela, ne changez rien...

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a écrit : Je trouve cela intéressant, sociologiquement, de voir que même après avoir fait des études (semble-t-il), le jeu du " qui pisse le plus loin " comporte encore de nombreux adeptes. C'est comme ça que les intellos s'éclatent, avec des mots et toujours des mots, en plus c mieux, parce-que t'a pas toujours envie de pisser.

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