La science ne sait pas ce que sont les shadow bands

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Il me semble à la lecture de la source wikipédia que le phénomène n'est pas si inexpliqué que ça...

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Wikipedia donne une explication : quand la zone éclairante du soleil se réduit à fur et à mesure que le soleil se cache derrière la lune, les rayons qui nous arrivent provienne d'une zone du ciel de plus en plus petite.
Les rayons sont alors de plus en plus parallèles.
La moindre fluctuations dans l'atmosphère suffit pour briser ce parallélisme et rediriger les rayons, formant des zones claires (rayons qui se superposent) et sombres (zones sans rayons).

Cette explication ne suffit pas cependant à *tout* expliquer, et d'autres idées ont été proposées (cf source de la nasa et celles de la page wiki).

Toujours est il que si la science ne l'explique pas, personne d'autre ne l'explique non plus^^

Le titre de l'anecdote devrait être la science ne sais pas expliquer ce que sont les shadow band...

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Il me semble à la lecture de la source wikipédia que le phénomène n'est pas si inexpliqué que ça...

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a écrit : Il me semble à la lecture de la source wikipédia que le phénomène n'est pas si inexpliqué que ça... Oui, il est à peu près certain qu'elles viennent de fluctuations atmosphériques, comme le scintillement des étoiles.
Mais prédire exactement le comportement d'un phénomène fluctuant n'est pas possible, et les observations enregistrées sont rares.
De plus, la vidéo dure 2 min 57 s en tout, l'éclipse totale elle-même est très courte, alors que sur la trajectoire centrale elle était de 2 min 6 s. Donc le lieu d'observation était en frange; ce qui est curieux est qu'il y ait quelques instants de noir total, alors qu'il devrait rester une pénombre. Sensibilité insuffisante d'un appareil d'amateur?

Wikipedia donne une explication : quand la zone éclairante du soleil se réduit à fur et à mesure que le soleil se cache derrière la lune, les rayons qui nous arrivent provienne d'une zone du ciel de plus en plus petite.
Les rayons sont alors de plus en plus parallèles.
La moindre fluctuations dans l'atmosphère suffit pour briser ce parallélisme et rediriger les rayons, formant des zones claires (rayons qui se superposent) et sombres (zones sans rayons).

Cette explication ne suffit pas cependant à *tout* expliquer, et d'autres idées ont été proposées (cf source de la nasa et celles de la page wiki).

Toujours est il que si la science ne l'explique pas, personne d'autre ne l'explique non plus^^

Ceux/celles qui connaissent "Berserk" comprendront...

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Le titre de l'anecdote devrait être la science ne sais pas expliquer ce que sont les shadow band...

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a écrit : Le titre de l'anecdote devrait être la science ne sais pas expliquer ce que sont les shadow band... Pour être tout à fait exact et parler français, je préférerais:
"L'origine des rayons crépusculaires reste partiellement inconnue".

Ces rayons sont connus depuis très longtemps (un poème islandais du IXème siècle les mentionne), aussi sous le nom de "échelle de Jacob" et au Québec de "pied-de-vent", où il signifie également "trouée dans les nuages". L'origine atmosphérique n'a jamais semblé faire de doute.

Cela dit, une éclipse est très différente du crépuscule ordinaire: lumière brutalement étrange, les oiseaux et autres animaux se taisent, peut-être inquiétés par les infrasons provoqués par le refroidissement soudain d'une colonne d'air?

Y-a-t il de substancielles différences dans ces manifestations selon qu'on soit en terre humide ou en terre désertique?

a écrit : Wikipedia donne une explication : quand la zone éclairante du soleil se réduit à fur et à mesure que le soleil se cache derrière la lune, les rayons qui nous arrivent provienne d'une zone du ciel de plus en plus petite.
Les rayons sont alors de plus en plus parallèles.
La moindre fluctuations dans
l'atmosphère suffit pour briser ce parallélisme et rediriger les rayons, formant des zones claires (rayons qui se superposent) et sombres (zones sans rayons).

Cette explication ne suffit pas cependant à *tout* expliquer, et d'autres idées ont été proposées (cf source de la nasa et celles de la page wiki).

Toujours est il que si la science ne l'explique pas, personne d'autre ne l'explique non plus^^
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De plus en plus parallèle ?
Les rayons du soleil sont parallèle

a écrit : Oui, il est à peu près certain qu'elles viennent de fluctuations atmosphériques, comme le scintillement des étoiles.
Mais prédire exactement le comportement d'un phénomène fluctuant n'est pas possible, et les observations enregistrées sont rares.
De plus, la vidéo dure 2 min 57 s en tout, l&#
039;éclipse totale elle-même est très courte, alors que sur la trajectoire centrale elle était de 2 min 6 s. Donc le lieu d'observation était en frange; ce qui est curieux est qu'il y ait quelques instants de noir total, alors qu'il devrait rester une pénombre. Sensibilité insuffisante d'un appareil d'amateur? Afficher tout
Ou plutôt montage du film pour qu'il ne contienne pas 20 min de noir entre les deux phénomènes...

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a écrit : De plus en plus parallèle ?
Les rayons du soleil sont parallèle
Il ne sont pas exactement parallèles sinon on ne verrait pas un disque mais un point. Plus la surface est petite (plus exactement : parait petite puisque c'est le diamètre apparent vu par l'observateur) et moins il y a d'écart de parallélisme entre les rayons qui proviennent des extrémités de cette surface.

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a écrit : Ou plutôt montage du film pour qu'il ne contienne pas 20 min de noir entre les deux phénomènes... Je ne crois pas à un trucage de film, pour les raisons suivantes:
- une durée d'éclipse totale ne peut durer plus de 8 min, maximum rarement atteint, en tous cas par celle-ci, qui a duré 2 min 6 s au mieux;
- la durée d'occultation totale, 5 sec, et les colorations de 20 s chacune, marron-violet-grises avant, violet-roses après, sont parfaitement cohérentes avec une prise de vue ininterrompue près de Darwin (Northern Territories), ville qui possède un aéroport International avec des liaisons régulières avec le Japon - et le phénomène a évidemment attiré des groupes de Japonais, d'après les conversations de fond.
Aller sous la trajectoire centrale de l'éclipse, pour profiter de la totalité des 2 min 6 s, aurait demandé environ 1000 km de route pénible.
- cela aurait pu aussi être filmé dans le Queensland, mais c'est une sorte de réserve à Aborigènes, très mal desservie. Malheureusement la vidéo ne mentionne pas l'heure, qui aurait permis de déterminer l'endroit exact de la prise de vues.

a écrit : Wikipedia donne une explication : quand la zone éclairante du soleil se réduit à fur et à mesure que le soleil se cache derrière la lune, les rayons qui nous arrivent provienne d'une zone du ciel de plus en plus petite.
Les rayons sont alors de plus en plus parallèles.
La moindre fluctuations dans
l'atmosphère suffit pour briser ce parallélisme et rediriger les rayons, formant des zones claires (rayons qui se superposent) et sombres (zones sans rayons).

Cette explication ne suffit pas cependant à *tout* expliquer, et d'autres idées ont été proposées (cf source de la nasa et celles de la page wiki).

Toujours est il que si la science ne l'explique pas, personne d'autre ne l'explique non plus^^
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Je l'aurais expliqué intuitivement de la même manière, ça rappelle pas mal la photographie Schlieren

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a écrit : Wikipedia donne une explication : quand la zone éclairante du soleil se réduit à fur et à mesure que le soleil se cache derrière la lune, les rayons qui nous arrivent provienne d'une zone du ciel de plus en plus petite.
Les rayons sont alors de plus en plus parallèles.
La moindre fluctuations dans
l'atmosphère suffit pour briser ce parallélisme et rediriger les rayons, formant des zones claires (rayons qui se superposent) et sombres (zones sans rayons).

Cette explication ne suffit pas cependant à *tout* expliquer, et d'autres idées ont été proposées (cf source de la nasa et celles de la page wiki).

Toujours est il que si la science ne l'explique pas, personne d'autre ne l'explique non plus^^
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Le commentaire finit sur un truisme. Si personne ne sait c'est que la science ne l'explique pas, c'est le principe.

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a écrit : Il ne sont pas exactement parallèles sinon on ne verrait pas un disque mais un point. Plus la surface est petite (plus exactement : parait petite puisque c'est le diamètre apparent vu par l'observateur) et moins il y a d'écart de parallélisme entre les rayons qui proviennent des extrémités de cette surface. Pas gentil, ni joli joli, de supprimer d'un coup les approbations que l'on m'a concédées et de s'en attribuer simultanément une floppée grâce à des comptes multiples, sans penser que c'est un peu trop gros, et ne peut échapper qu'aux distraits.
Pourtant, je n'ai pas été méchant: je n'ai charitablement pas soulevé l'erreur de dire "sinon on ne verrait pas un disque mais un point", alors que l'on voit le soleil sous un angle non nul, soit 2.atan (d/2.D), soit en moyenne 32', d étant le diamètre du Soleil et D sa distance.
Attention aux analyses statistiques dont est capable un matheux: il est possible - et c'est fait - de déterminer la localisation géographique d'un trublion, un ordre de grandeur de son niveau de culture, sa profession probable, une estimation de son âge, enfin presque tout sauf la couleur de ses yeux.
Alors, c'est fini, cette traque sysmématique contre ceux qui ne sont pas entièrement d'acord avec certains propos, mais exprimées uniquement par des suites de pouces "moins", sans argument contraire explicite - l'attitude de contester avec arguments à l'appui serait, elle, estimable, et je l'accepterais volontiers, ne m'imaginant pas avoir la science infuse?

a écrit : Pas gentil, ni joli joli, de supprimer d'un coup les approbations que l'on m'a concédées et de s'en attribuer simultanément une floppée grâce à des comptes multiples, sans penser que c'est un peu trop gros, et ne peut échapper qu'aux distraits.
Pourtant, je n'ai pas été méchant:
je n'ai charitablement pas soulevé l'erreur de dire "sinon on ne verrait pas un disque mais un point", alors que l'on voit le soleil sous un angle non nul, soit 2.atan (d/2.D), soit en moyenne 32', d étant le diamètre du Soleil et D sa distance.
Attention aux analyses statistiques dont est capable un matheux: il est possible - et c'est fait - de déterminer la localisation géographique d'un trublion, un ordre de grandeur de son niveau de culture, sa profession probable, une estimation de son âge, enfin presque tout sauf la couleur de ses yeux.
Alors, c'est fini, cette traque sysmématique contre ceux qui ne sont pas entièrement d'acord avec certains propos, mais exprimées uniquement par des suites de pouces "moins", sans argument contraire explicite - l'attitude de contester avec arguments à l'appui serait, elle, estimable, et je l'accepterais volontiers, ne m'imaginant pas avoir la science infuse?
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Pardon pour les fautes de syntaxe: je voulais changer la formulation, mais le site a cessé de répondre au milieu des corrections voulues, d'où syllepse et autres. L'ensemble reste heureusement compréhensible. ;(

Bonjour,
Quelqu'un sait-il si c'est le phénomène d'interférence qui met en exergue certaines longueurs d'onde suivant le niveau de "parallélisme" des rayons ? Il me semble que cela se rapproche beaucoup de ce qui peut être observé lors du réglage d'un interféromètre de Michelson (en coin d'air si je ne m'abuse...)

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a écrit : Pas gentil, ni joli joli, de supprimer d'un coup les approbations que l'on m'a concédées et de s'en attribuer simultanément une floppée grâce à des comptes multiples, sans penser que c'est un peu trop gros, et ne peut échapper qu'aux distraits.
Pourtant, je n'ai pas été méchant:
je n'ai charitablement pas soulevé l'erreur de dire "sinon on ne verrait pas un disque mais un point", alors que l'on voit le soleil sous un angle non nul, soit 2.atan (d/2.D), soit en moyenne 32', d étant le diamètre du Soleil et D sa distance.
Attention aux analyses statistiques dont est capable un matheux: il est possible - et c'est fait - de déterminer la localisation géographique d'un trublion, un ordre de grandeur de son niveau de culture, sa profession probable, une estimation de son âge, enfin presque tout sauf la couleur de ses yeux.
Alors, c'est fini, cette traque sysmématique contre ceux qui ne sont pas entièrement d'acord avec certains propos, mais exprimées uniquement par des suites de pouces "moins", sans argument contraire explicite - l'attitude de contester avec arguments à l'appui serait, elle, estimable, et je l'accepterais volontiers, ne m'imaginant pas avoir la science infuse?
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Il faut arrêter la paranoïa. Je n'ai qu'un seul compte. Si le nombre d'approbations dégringole c'est tout simplement que plusieurs personnes n'aiment pas ce commentaire. D'ailleurs j'avais mis un pouce vert sur le commentaire qui commence par "Je ne crois pas à un trucage" parce que je le trouvais pertinent et à l'heure actuelle c'est mon pouce vert qui vaut à ce commentaire d'avoir 1 approbation. Alors tu es peut-être très fort en maths et en astronomie mais pour les enquêtes policières c'est pas ça...

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Non, le disque du soleil présente un angle d'approximativement 1°, les rayons parvenant au sol ne sont donc pas parallèles... Excepté à l'instant exact où le soleil disparaît derrière la Lune.

C'est marrant ça, le phénomène ressemble quand même énormément à de la simple diffraction. Après tout, à quelques secondes des 2e et 3e contacts, tout le rayonnement solaire passe par une toute petite surface apparente, ce qu'il expliquerait une diffraction facilement (à quelle échelle, je ne sais pas). Si les bandes d'ombre ne peuvent pas être expliquée comme ça, je sèche :D

a écrit : C'est marrant ça, le phénomène ressemble quand même énormément à de la simple diffraction. Après tout, à quelques secondes des 2e et 3e contacts, tout le rayonnement solaire passe par une toute petite surface apparente, ce qu'il expliquerait une diffraction facilement (à quelle échelle, je ne sais pas). Si les bandes d'ombre ne peuvent pas être expliquée comme ça, je sèche :D Afficher tout Je pense que l'origine du phénomène est différente. La diffraction par un obstacle est importante quand la taille de celui-ci est de l'ordre de grandeur de la longueur d'onde. Un bâtiment arrête complètement la lumière, mais, derrière, on peut cependant y écouter la radio sans que l'antenne "voie" directement la source.
Ce n'est pas le cas pour lune et lumière visible.
Il semble plus simple de supposer que c'est très analogue à un bassin d'eau très claire lorsqu'il y a un peu de vent: on voit des ondes sur le fond.