Un trait d’esprit sauva le fou du roi Triboulet

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Triboulet, Fou du Roi à la cour de François Ier, sauva sa vie grâce à sa vivacité d'esprit. Après s'être moqué d'une maitresse du roi, il fut condamné à mort et dut en choisir la manière. Plein de répartie, il demanda à mourir de vieillesse, laissant le Roi sans voix qui commua sa peine en bannissement.

La phrase exacte était : "Bon sire, par sainte Nitouche et saint Pansard, patrons de la folie, je demande à mourir de vieillesse"


Commentaires préférés (3)

Je pense que la moralité est que si on donne la liberté aux gens, il faut accepter qu’ils la prennent.

Ce que François Premier a fait ici (partiellement vu que son fou, manifestement très doué pour son poste, a tout de même été banni…).

Fou du Roi, certes, mais loin d’être débile : après le succès de Marignan, il déclara "Vous parlez tous d’entrer en Italie, mais personne ne songe au moyen d’en sortir.". Et en effet, il subit par la suite une cuisante défaite en Pavie, ou François 1er finit par être capturé

a écrit : Il aurait du lui demander : tu veux mourir tout de suite ou maintenant... Il aurait pu jouer la cruauté jusqu'au bout mais je trouve bien qu'il ait admis que Triboulet était plutôt intelligent, c'est signe que François Ier n'agissait pas sur un coup de tête :)
Savoir reconnaître la valeur des autres est une qualité, ça change de tous ces sauvages qui refusent d'admettre la défaite et veulent coûte que coûte en faire baver à ceux qui ont eu l'outrecuidance de les rembarrer.


Tous les commentaires (20)

Je connaissais cette histoire, mais j'ignorais qu'elle était véridique. Je pensais qu'il s'agissait d'une histoire.

Je pense que la moralité est que si on donne la liberté aux gens, il faut accepter qu’ils la prennent.

Ce que François Premier a fait ici (partiellement vu que son fou, manifestement très doué pour son poste, a tout de même été banni…).

Il aurait du lui demander : tu veux mourir tout de suite ou maintenant...

Fou du Roi, certes, mais loin d’être débile : après le succès de Marignan, il déclara "Vous parlez tous d’entrer en Italie, mais personne ne songe au moyen d’en sortir.". Et en effet, il subit par la suite une cuisante défaite en Pavie, ou François 1er finit par être capturé

C'est ce même Triboulet qui a inspiré Victor Hugo pour sa pièce "Le roi s'amuse" et Giuseppe Verdi pour son opéra "Rigoletto". Dans ce dernier cas, l'action a été transposée de la cour de François Ier à celle du duc de Mantoue pour éviter la censure autrichienne. Alors que les Autrichiens occupaient le nord de l'Italie, l'empereur d'Autriche-Hongrie aurait vu (à juste titre, car Verdi militait ouvertement pour l'indépendance totale de l'Italie) la description de François Ier en monarque autoritaire et dépravé comme une attaque personnelle contre son trône, d'autant plus que François était l'un de ses prénoms. En faire un noble de province rendait l'idée plus acceptable, ce qui fut fait en plaçant l'action à Mantoue. Malgré ce stratagème, le public ne s'y trompa pas, la plupart connaissant déjà la pièce de Victor Hugo et les opinions indépendantistes de Verdi. L'opéra fut donc considéré dès sa sortie pour ce qu'il était, une critique ouverte de l'Empire austro-hongrois...

a écrit : Il aurait du lui demander : tu veux mourir tout de suite ou maintenant... Il aurait pu jouer la cruauté jusqu'au bout mais je trouve bien qu'il ait admis que Triboulet était plutôt intelligent, c'est signe que François Ier n'agissait pas sur un coup de tête :)
Savoir reconnaître la valeur des autres est une qualité, ça change de tous ces sauvages qui refusent d'admettre la défaite et veulent coûte que coûte en faire baver à ceux qui ont eu l'outrecuidance de les rembarrer.

a écrit : C'est ce même Triboulet qui a inspiré Victor Hugo pour sa pièce "Le roi s'amuse" et Giuseppe Verdi pour son opéra "Rigoletto". Dans ce dernier cas, l'action a été transposée de la cour de François Ier à celle du duc de Mantoue pour éviter la censure autrichienne. Alors que les Autrichiens occupaient le nord de l'Italie, l'empereur d'Autriche-Hongrie aurait vu (à juste titre, car Verdi militait ouvertement pour l'indépendance totale de l'Italie) la description de François Ier en monarque autoritaire et dépravé comme une attaque personnelle contre son trône, d'autant plus que François était l'un de ses prénoms. En faire un noble de province rendait l'idée plus acceptable, ce qui fut fait en plaçant l'action à Mantoue. Malgré ce stratagème, le public ne s'y trompa pas, la plupart connaissant déjà la pièce de Victor Hugo et les opinions indépendantistes de Verdi. L'opéra fut donc considéré dès sa sortie pour ce qu'il était, une critique ouverte de l'Empire austro-hongrois... Afficher tout D'ailleurs les Italiens clamaient "Viva Verdi", mais aussi parce que ce sont les initiales de Vittorio Emanuele Re D'Italia, l'homme destiné au futur trône d'Italie

Condamner quelqu'un à mort pour une simple moquerie démontre bien qu'ils n'avaient pas le tête sur les épaules, cela sera vérifié un peu plus tard...

a écrit : Condamner quelqu'un à mort pour une simple moquerie démontre bien qu'ils n'avaient pas le tête sur les épaules, cela sera vérifié un peu plus tard... Ah bon ?! cela sera vérifié quand ?
L’anecdote parle de François 1er, mort d’une septicémie en 1547.
Les guillotines faudra attendre quelques siècles encore ;)

J’ai bien aimé ce petit texte :

Sainte Nitouche est née en 1459 au sommet de la plus haute montagne de Beauce où sa mère cueillait des edelweiss. Elle est morte d’avoir cessé de vivre en 1975 en soupirant dans un dernier râle : Putain, 516 ans ! C’est long … Phrase qui hantera longtemps les mémoires.
De son vrai nom Radegonde Lamouillette, elle fut dans sa prime jeunesse bûcheronne et refusait les avances des galants, comme Jeanne d’Arc dont un poster ornait sa chambre.
Satan, du fond de l’enfer, qui n’avait pu pervertir la Pucelle d’Orléans, décida de prendre sa revanche. Il envoya sur terre le démon Belbith, frère de Lilith. Son apparence humaine était des plus belles, visage aimable, corps svelte et surtout; doté d’un membre viril à faire pâlir de jalousie Priape lui-même.
Radegonde faisait sa tournée de livraison de bois de chauffage tous les vendredis pour aller à la messe le week-end. Un jour elle s’arrêta devant le bûcher d’Eve Anitay pour y ranger deux stères de chêne. Ce qu’elle ne savait pas, c’est que le démon l’y attendait, totalement nu et la virilité triomphante. L’infâme personnage lui lança :
- Alors petite sainte, t’en a déjà vu une comme ça ? Tiens, touche !"
- Aucune sainte n’y touche, répliqua-t-elle, ce serait grand pêché que moult pèlerinages ne sauraient effacer.
Le démon, honteux et confus, s’en retourna vers son maître, la queue entre les jambes.
Or, Eve Anitay, depuis le perron où elle fumait un petit joint, avait assisté à la scène et la rapporta à toutes ses connaissances, ainsi l’anecdote se répandit dans le royaume. "Sainte n’y touche" avec le temps et la mauvaise écriture de certains moines est devenu "Sainte Nitouche". Radegonde fut canonisée de son vivant sous ce nom, car il y avait déjà une Sainte Radegonde et que le pape avait dit : "Une Radegonde ça va, le problème, c’est quand il y en a plusieurs, c’est comme les Auvergnats !"

a écrit : J’ai bien aimé ce petit texte :

Sainte Nitouche est née en 1459 au sommet de la plus haute montagne de Beauce où sa mère cueillait des edelweiss. Elle est morte d’avoir cessé de vivre en 1975 en soupirant dans un dernier râle : Putain, 516 ans ! C’est long … Phrase qui hantera longtemps les mémoires.
> De son vrai nom Radegonde Lamouillette, elle fut dans sa prime jeunesse bûcheronne et refusait les avances des galants, comme Jeanne d’Arc dont un poster ornait sa chambre.
Satan, du fond de l’enfer, qui n’avait pu pervertir la Pucelle d’Orléans, décida de prendre sa revanche. Il envoya sur terre le démon Belbith, frère de Lilith. Son apparence humaine était des plus belles, visage aimable, corps svelte et surtout; doté d’un membre viril à faire pâlir de jalousie Priape lui-même.
Radegonde faisait sa tournée de livraison de bois de chauffage tous les vendredis pour aller à la messe le week-end. Un jour elle s’arrêta devant le bûcher d’Eve Anitay pour y ranger deux stères de chêne. Ce qu’elle ne savait pas, c’est que le démon l’y attendait, totalement nu et la virilité triomphante. L’infâme personnage lui lança :
- Alors petite sainte, t’en a déjà vu une comme ça ? Tiens, touche !"
- Aucune sainte n’y touche, répliqua-t-elle, ce serait grand pêché que moult pèlerinages ne sauraient effacer.
Le démon, honteux et confus, s’en retourna vers son maître, la queue entre les jambes.
Or, Eve Anitay, depuis le perron où elle fumait un petit joint, avait assisté à la scène et la rapporta à toutes ses connaissances, ainsi l’anecdote se répandit dans le royaume. "Sainte n’y touche" avec le temps et la mauvaise écriture de certains moines est devenu "Sainte Nitouche". Radegonde fut canonisée de son vivant sous ce nom, car il y avait déjà une Sainte Radegonde et que le pape avait dit : "Une Radegonde ça va, le problème, c’est quand il y en a plusieurs, c’est comme les Auvergnats !"
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Excellentissime !!!

a écrit : Je pense que la moralité est que si on donne la liberté aux gens, il faut accepter qu’ils la prennent.

Ce que François Premier a fait ici (partiellement vu que son fou, manifestement très doué pour son poste, a tout de même été banni…).
La morale*
La moralité est un genre littéraire
(Source : Wikipédia)

a écrit : J’ai bien aimé ce petit texte :

Sainte Nitouche est née en 1459 au sommet de la plus haute montagne de Beauce où sa mère cueillait des edelweiss. Elle est morte d’avoir cessé de vivre en 1975 en soupirant dans un dernier râle : Putain, 516 ans ! C’est long … Phrase qui hantera longtemps les mémoires.
> De son vrai nom Radegonde Lamouillette, elle fut dans sa prime jeunesse bûcheronne et refusait les avances des galants, comme Jeanne d’Arc dont un poster ornait sa chambre.
Satan, du fond de l’enfer, qui n’avait pu pervertir la Pucelle d’Orléans, décida de prendre sa revanche. Il envoya sur terre le démon Belbith, frère de Lilith. Son apparence humaine était des plus belles, visage aimable, corps svelte et surtout; doté d’un membre viril à faire pâlir de jalousie Priape lui-même.
Radegonde faisait sa tournée de livraison de bois de chauffage tous les vendredis pour aller à la messe le week-end. Un jour elle s’arrêta devant le bûcher d’Eve Anitay pour y ranger deux stères de chêne. Ce qu’elle ne savait pas, c’est que le démon l’y attendait, totalement nu et la virilité triomphante. L’infâme personnage lui lança :
- Alors petite sainte, t’en a déjà vu une comme ça ? Tiens, touche !"
- Aucune sainte n’y touche, répliqua-t-elle, ce serait grand pêché que moult pèlerinages ne sauraient effacer.
Le démon, honteux et confus, s’en retourna vers son maître, la queue entre les jambes.
Or, Eve Anitay, depuis le perron où elle fumait un petit joint, avait assisté à la scène et la rapporta à toutes ses connaissances, ainsi l’anecdote se répandit dans le royaume. "Sainte n’y touche" avec le temps et la mauvaise écriture de certains moines est devenu "Sainte Nitouche". Radegonde fut canonisée de son vivant sous ce nom, car il y avait déjà une Sainte Radegonde et que le pape avait dit : "Une Radegonde ça va, le problème, c’est quand il y en a plusieurs, c’est comme les Auvergnats !"
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Ça vient d'où ce texte ? C'est génial !

a écrit : Condamner quelqu'un à mort pour une simple moquerie démontre bien qu'ils n'avaient pas le tête sur les épaules, cela sera vérifié un peu plus tard... La première source explique bien que le roi lui avait interdit de se moquer des dames de la cour. Désobéir au roi était un crime de lèse-majesté, passible de mort. De surcroît, la position d'une maîtresse du roi était quelquechose d'important, lui manquait de respect, c'était manquer de respect au roi.

a écrit : J’ai bien aimé ce petit texte :

Sainte Nitouche est née en 1459 au sommet de la plus haute montagne de Beauce où sa mère cueillait des edelweiss. Elle est morte d’avoir cessé de vivre en 1975 en soupirant dans un dernier râle : Putain, 516 ans ! C’est long … Phrase qui hantera longtemps les mémoires.
> De son vrai nom Radegonde Lamouillette, elle fut dans sa prime jeunesse bûcheronne et refusait les avances des galants, comme Jeanne d’Arc dont un poster ornait sa chambre.
Satan, du fond de l’enfer, qui n’avait pu pervertir la Pucelle d’Orléans, décida de prendre sa revanche. Il envoya sur terre le démon Belbith, frère de Lilith. Son apparence humaine était des plus belles, visage aimable, corps svelte et surtout; doté d’un membre viril à faire pâlir de jalousie Priape lui-même.
Radegonde faisait sa tournée de livraison de bois de chauffage tous les vendredis pour aller à la messe le week-end. Un jour elle s’arrêta devant le bûcher d’Eve Anitay pour y ranger deux stères de chêne. Ce qu’elle ne savait pas, c’est que le démon l’y attendait, totalement nu et la virilité triomphante. L’infâme personnage lui lança :
- Alors petite sainte, t’en a déjà vu une comme ça ? Tiens, touche !"
- Aucune sainte n’y touche, répliqua-t-elle, ce serait grand pêché que moult pèlerinages ne sauraient effacer.
Le démon, honteux et confus, s’en retourna vers son maître, la queue entre les jambes.
Or, Eve Anitay, depuis le perron où elle fumait un petit joint, avait assisté à la scène et la rapporta à toutes ses connaissances, ainsi l’anecdote se répandit dans le royaume. "Sainte n’y touche" avec le temps et la mauvaise écriture de certains moines est devenu "Sainte Nitouche". Radegonde fut canonisée de son vivant sous ce nom, car il y avait déjà une Sainte Radegonde et que le pape avait dit : "Une Radegonde ça va, le problème, c’est quand il y en a plusieurs, c’est comme les Auvergnats !"
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Je me gratte la bedaine en lustrant mes sabots. ...vous êtes sûr que c'est bien "auvergnats "qu' il faut lire à la fin ?

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a écrit : Ça vient d'où ce texte ? C'est génial ! C’était dans un commentaire sur « expressio » je cherchais l’origine de sainte nitouche ;-)

a écrit : Il aurait pu jouer la cruauté jusqu'au bout mais je trouve bien qu'il ait admis que Triboulet était plutôt intelligent, c'est signe que François Ier n'agissait pas sur un coup de tête :)
Savoir reconnaître la valeur des autres est une qualité, ça change de tous ces sauvages qui refusent d
9;admettre la défaite et veulent coûte que coûte en faire baver à ceux qui ont eu l'outrecuidance de les rembarrer. Afficher tout
Il aurait aussi pue jouer le jeu de "je ne te condamne pas juste parce que tu t es moqué d une de mes maîtresses"

a écrit : C'est ce même Triboulet qui a inspiré Victor Hugo pour sa pièce "Le roi s'amuse" et Giuseppe Verdi pour son opéra "Rigoletto". Dans ce dernier cas, l'action a été transposée de la cour de François Ier à celle du duc de Mantoue pour éviter la censure autrichienne. Alors que les Autrichiens occupaient le nord de l'Italie, l'empereur d'Autriche-Hongrie aurait vu (à juste titre, car Verdi militait ouvertement pour l'indépendance totale de l'Italie) la description de François Ier en monarque autoritaire et dépravé comme une attaque personnelle contre son trône, d'autant plus que François était l'un de ses prénoms. En faire un noble de province rendait l'idée plus acceptable, ce qui fut fait en plaçant l'action à Mantoue. Malgré ce stratagème, le public ne s'y trompa pas, la plupart connaissant déjà la pièce de Victor Hugo et les opinions indépendantistes de Verdi. L'opéra fut donc considéré dès sa sortie pour ce qu'il était, une critique ouverte de l'Empire austro-hongrois... Afficher tout Verdi était royaliste, d'ailleurs VERDI signifie : Victor Emmanuel Roi D'Italie.

a écrit : J’ai bien aimé ce petit texte :

Sainte Nitouche est née en 1459 au sommet de la plus haute montagne de Beauce où sa mère cueillait des edelweiss. Elle est morte d’avoir cessé de vivre en 1975 en soupirant dans un dernier râle : Putain, 516 ans ! C’est long … Phrase qui hantera longtemps les mémoires.
> De son vrai nom Radegonde Lamouillette, elle fut dans sa prime jeunesse bûcheronne et refusait les avances des galants, comme Jeanne d’Arc dont un poster ornait sa chambre.
Satan, du fond de l’enfer, qui n’avait pu pervertir la Pucelle d’Orléans, décida de prendre sa revanche. Il envoya sur terre le démon Belbith, frère de Lilith. Son apparence humaine était des plus belles, visage aimable, corps svelte et surtout; doté d’un membre viril à faire pâlir de jalousie Priape lui-même.
Radegonde faisait sa tournée de livraison de bois de chauffage tous les vendredis pour aller à la messe le week-end. Un jour elle s’arrêta devant le bûcher d’Eve Anitay pour y ranger deux stères de chêne. Ce qu’elle ne savait pas, c’est que le démon l’y attendait, totalement nu et la virilité triomphante. L’infâme personnage lui lança :
- Alors petite sainte, t’en a déjà vu une comme ça ? Tiens, touche !"
- Aucune sainte n’y touche, répliqua-t-elle, ce serait grand pêché que moult pèlerinages ne sauraient effacer.
Le démon, honteux et confus, s’en retourna vers son maître, la queue entre les jambes.
Or, Eve Anitay, depuis le perron où elle fumait un petit joint, avait assisté à la scène et la rapporta à toutes ses connaissances, ainsi l’anecdote se répandit dans le royaume. "Sainte n’y touche" avec le temps et la mauvaise écriture de certains moines est devenu "Sainte Nitouche". Radegonde fut canonisée de son vivant sous ce nom, car il y avait déjà une Sainte Radegonde et que le pape avait dit : "Une Radegonde ça va, le problème, c’est quand il y en a plusieurs, c’est comme les Auvergnats !"
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Ce texte éxiste vraiment??
Sérieux?!

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condamne a mort pour moquerie alors que c son metier quel époque ... de nos jours les humoriste rempliraient les cimetieres