Pour un film, réaliser le "Big Five" correspond à être nominé dans les 5 catégories majeures aux Oscars : meilleurs film, réalisateur, acteur, actrice et scénario. En 87 cérémonies à ce jour, 47 films ont obtenu les 5 nominations, mais seuls trois remportèrent les 5 statuettes : New York Miami (1935), Vol au-dessus d'un Nid de Coucou (1976) et Le Silence des Agneaux (1992).
Commentaires préférés (3)
cf. anecdote du 12 octobre 2014
Lors de la modération j'étais persuadé d'avoir déjà vu cette anecdote mais impossible de la retrouver sur SCMB.
Finalement la voilà, qui date de 2011 donc c'est pardonnable Philippe :) :
secouchermoinsbete.fr/12055-les-3-films-aux-oscars-majeurs
(Je tiens à préciser que dire qu'une anecdote existe déjà n'est pas une critique mais permettra simplement de compléter ses connaissances en regardant (peut être) des sources différentes entre les 2 anecdotes pourtant similaires mais aussi grâce aux commentaires de chacune d'elle)
Pour en revenir à l'anecdote, est-ce que quelqu'un aurait vu New-York-Miami ?
Il ne faut pas dire le mot « nominé » qui est une faute de français n’apparaissant pas dans le dico et qui est utilisé à tord pour désigner une personne. Le vrai terme est « nommé ».
Source: académie française
Perso j’ai longtemps fait cette erreur aussi.
Tous les commentaires (36)
À vérifier, mais je crois qu’Anthony Hopkins, dans Le Silence des Agneaux, détient le record de la plus courte apparition à l’écran pour un oscar du meilleur acteur : 22 minutes.
cf. anecdote du 12 octobre 2014
Autre fait (à vérifier) mais je crois que durant ces 16 minutes d'apparitions, Stephen Hopkins ne cligne pas une seule fois des yeux!
Cf anecdote SCMB
Lors de la modération j'étais persuadé d'avoir déjà vu cette anecdote mais impossible de la retrouver sur SCMB.
Finalement la voilà, qui date de 2011 donc c'est pardonnable Philippe :) :
secouchermoinsbete.fr/12055-les-3-films-aux-oscars-majeurs
(Je tiens à préciser que dire qu'une anecdote existe déjà n'est pas une critique mais permettra simplement de compléter ses connaissances en regardant (peut être) des sources différentes entre les 2 anecdotes pourtant similaires mais aussi grâce aux commentaires de chacune d'elle)
Pour en revenir à l'anecdote, est-ce que quelqu'un aurait vu New-York-Miami ?
Il ne faut pas dire le mot « nominé » qui est une faute de français n’apparaissant pas dans le dico et qui est utilisé à tord pour désigner une personne. Le vrai terme est « nommé ».
Source: académie française
Perso j’ai longtemps fait cette erreur aussi.
Et parfois certains commentaires sont vraiment tops ! dommage qu'ils tombent dans l'oubli (louisXI c'est toi que je regarde ;) )
En sachant que de base seuls les films américains peuvent envisager ça.
Car le « jeu » est biaisé.
Les films étrangers ne pourront toujours n’avoir qu’un seul oscars, même s’ils sont meilleurs.
JLSD car à l'occasion de son décès, une interview de Milos Forman a été rediffusée, dans laquelle il était encore stupéfait, lui simple émigrant tchèque inconnu du grand public, de voir son film être le second à rafler cinq statuettes. Il raconte qu'après la cérémonie, il avait reçu un appel de Frank Capra, alors seul metteur en scène à avoir réalisé cet exploit, qui lui disait simplement : "Bienvenue au club !"
Ajoutons qu'avec les décès récents de Jonathan Demme (il y a un an exactement d'ailleurs) et de Milos Forman, il ne reste malheureusement plus de réalisateur titulaire de ces cinq Oscars encore en vie.
Pour la question du franglais, je pense qu'on assiste à notre époque à l'effet inverse d'il y a 1000 ans. Après la victoire de Guillaume le Conquérant à Hastings en 1066, le français (plus précisément le normand, puis français) est devenu la langue noble parlée dans tous les milieux influents d'Angleterre (aristocratie, Eglise, etc).
Aujourd'hui on considère qu'environ (il me semble) 30% du vocabulaire anglais vient du français - et on commence à faire le chemin inverse. Beaucoup de Français utilisent des mots anglais pour faire "cool" (hop, en voilà un). Et parfois ça en devient vraiment ridicule, notamment quand on utilise un mot anglais qui lui-même est directement dérivé du français d'il y a mille ans !
Personnellement ça me fait bien rire quand quelqu'un me dit (c'est du vécu) : "j'utilise cette expression anglaise parce qu'elle est classe alors que la française est ridicule". Sauf que la plupart du temps... Si on traduit la VA, c'est tout aussi ridicule. Ce qui me donne l'impression que ceux qui utilisent le plus des mots anglais sont ceux qui connaissent le moins cette langue.
La question est : doit-on laisser faire l'évolution de la langue, ou doit-on la combattre comme le font par exemple le Québec et l'Islande ? Pour ma part je suis plutôt pour la conservation, après l'évolution est effectivement obligatoire à un moment sauf qu'elle doit se faire de façon logique. Exemple, on peut reprendre des mots anglais si on veut mais il faudrait alors adapter la sonorité car ces deux langues n'ont pas les mêmes prononciations (comme les anglais avaient par exemple modifié "boef", l'ancêtre de "boeuf", en "beef").
Reprendre un mot anglais sans se l'approprier (adapter les sonorités) pour moi ce n'est pas faire évoluer la langue, du moins pas dans le bon sens.
Non parce qu'en plus l'accent anglais du français moyen est plutôt mauvais, pour rester poli - donc si on utilise des mots anglais, autant ne pas être ridicule quand on les prononce :)
Pour cette expression c'est du a la loi linguistique d'économie. Dire "ça a du sens" entraîne une répétition du son a* qui n'est que peu naturel. On a bu de nombreuses évolutions dans ce sens au cours des millénaires dans les langues indo européenes
J'adore ce film et ils vont le repasser dans les cinémas Pathé bientôt (du moins à Lyon), je regarderai avec attention !
Humour noir hein ! RIP à ce grand homme !