En 1958, une expédition scientifique japonaise en Antarctique comprenant 15 chiens de traineaux dut faire face à une tempête. Les hommes purent être évacués mais pas les chiens qui restèrent sur place, attachés. Un an plus tard, une nouvelle expédition découvrit contre toute attente que deux chiens, Taro et Jiro, avaient survécu. Cette histoire incroyable donna lieu à un film en 1983 : Antarctica.
Taro fut renvoyé au Japon ou il vécut jusqu'en 1970 et Jiro mourra en 1960 en Antarctique.

Tous les commentaires (50)
Ce qui me choque c'est dans cette histoire triste on parle de règles de français
Pitoyable derrière vos écrans.
Pensez-vous après la mort que vous serez juger pour des règle de français
Esprit étriqué, une vie ennuyeuse pour seul consolation relever les fautes d'internaut
Je te laisse enfermé dans une prison au fin fond de l'Antarctique attendant de faire une rotation de mon équipe pour te surveiller on verra ce que t'en pense
Promis si le temps n'est pas trop critique je reviendrai dans 1 ans en attendant survie ;-)
C'est bien souvent le cas malheureusement sur scmb. Il m'est arrivé d'avoir plusieurs anecdotes ou sur 50 commentaires seulement deux ou trois parlaient de l'annecdote. Triste.
C'est grave mais sur youtube ou les commentaires de journaux c'est la même.
Quand les gens arrivent à un point ou ils n'ont plus rien à argumenté bah ca parle de fautes et de syntaxe c'est pitoyable.
Bref ce post était intéressant et l'histoire je ne la connaissais pas donc cette fais bien son job.
Bref que ca soit une tempête de neige ou éruption volcanique si toi homme tu t'en fuis tu ne laisse évidemment pas un autre homme ou animal attaché sous prétexte de revenir plus tard car personne connais dame nature c'est pas pour rien qu'ils se sont barrer
Ce film s’appelle plus précisément : Antarctica prisonniers du grand froid, et est très émouvant ( dans le film, seuls deux chiens meurent )
Il s’agit là du remake version américaine. Le titre original est bien « antartica » film japonais de 1983 qui semble plus conforme à la réalité, pour peu qu’on la connaisse...