Le mathématicien Paul Erdös était accro aux amphétamines, et un de ses amis paria avec lui qu’il ne pourrait pas s’en passer pendant 1 mois. Erdös gagna le pari et affirma « avant, lorsque je regardais une feuille blanche, mon esprit était plein d'idées. Aujourd'hui, tout ce que je vois c'est une feuille blanche. »
Commentaires préférés (3)
Si tu a vu le film Requiem for a dream, c'est ce que prends la grand-mère (on y voit ici les effet sur la prise continue, en version ciné évidemment).
Si tu n'as pas vu Requiem for a dream et que tu as plus de 12 ans, je le recommande fortement.
Paul Erdos fut membre d'un groupe informel de 26 éminents scientifiques Hongrois (principalement physiciens et mathématiciens) appelé "les martiens".
Le surnom de "martiens" fut une création humoristique du physicien Juif Hungaro- Américain Léo Szilard, qui affirmait que les membres de la confrérie étaient tous descendants hybrides d'unions entre l'équipage d'un vaisseau interplanétaire martien et de femmes Terriennes. L' engin spatial serait arrivé à Budapest, aux alentours de 1900.
La base de cette plaisanterie se trouve dans les années 30, par l' intermédiaire d'un fameux acteur de films d'horreur - le Comte Dracula- appelé Béla Lugosi. Lugosi interprétait ses rôles en Anglais, teinté d'un fort accent Hongrois, son pays d'origine.
Ces scientifiques, tous anglophones, fuyant le Nazisme et l'antisémitisme montant en Europe, se regroupèrent aux États-Unis, aux côtés de compagnons Américains qui percevaient la langue Hongroise comme incompréhensible quand ils parlaient entre-eux, issue d' un petit pays inconnu, et où les personnes étaient surdoués.
La plaisanterie ira jusqu'à effectuer des déclarations destinées à semer le doute dans les esprits de l'auditoire, ou encore à s'attribuer des fausses identités "martiennes".
Paul Erdos n'a jamais eu de domicile, ni de compagne. Il vivait chez des confrères, à la "façon de Mary Poppins", bien heureux de l'accueillir, car ceci signifiait trouver une solution à leurs problèmes mathématiques irresolus.
Tous les commentaires (24)
Quand je lis l’anecdote, je me dis que c’est l’ami d’Erdös qui est accro aux amphétamines.
Mais après avoir lu l’affirmation d’Erdös sur la feuille blanche, on en déduis le contraire.
Morale de l’histoire : l’amphétamine est le remède contre le syndrome de la page blanche !
Je ne suis pas sûre d’avoir compris correctement l’anecdote...:
- c’est l’ami qui est accro aux amphétamines?
- « IL ne pourrait pas s’en passer » = Paul Erdös, ou au contraire l’ami?
- AVANT d’arrêter donc durant sa prise, ou AVANT d’en prendre et donc depuis qu’il a arrêté?
Quelqu’un aurait la gentillesse d’éclairer ma lanterne, svp?
Excusez-moi mais qu’est-ce que c’est l’amphétamine ? Merci
Si tu a vu le film Requiem for a dream, c'est ce que prends la grand-mère (on y voit ici les effet sur la prise continue, en version ciné évidemment).
Si tu n'as pas vu Requiem for a dream et que tu as plus de 12 ans, je le recommande fortement.
Paul Erdos fut membre d'un groupe informel de 26 éminents scientifiques Hongrois (principalement physiciens et mathématiciens) appelé "les martiens".
Le surnom de "martiens" fut une création humoristique du physicien Juif Hungaro- Américain Léo Szilard, qui affirmait que les membres de la confrérie étaient tous descendants hybrides d'unions entre l'équipage d'un vaisseau interplanétaire martien et de femmes Terriennes. L' engin spatial serait arrivé à Budapest, aux alentours de 1900.
La base de cette plaisanterie se trouve dans les années 30, par l' intermédiaire d'un fameux acteur de films d'horreur - le Comte Dracula- appelé Béla Lugosi. Lugosi interprétait ses rôles en Anglais, teinté d'un fort accent Hongrois, son pays d'origine.
Ces scientifiques, tous anglophones, fuyant le Nazisme et l'antisémitisme montant en Europe, se regroupèrent aux États-Unis, aux côtés de compagnons Américains qui percevaient la langue Hongroise comme incompréhensible quand ils parlaient entre-eux, issue d' un petit pays inconnu, et où les personnes étaient surdoués.
La plaisanterie ira jusqu'à effectuer des déclarations destinées à semer le doute dans les esprits de l'auditoire, ou encore à s'attribuer des fausses identités "martiennes".
Paul Erdos n'a jamais eu de domicile, ni de compagne. Il vivait chez des confrères, à la "façon de Mary Poppins", bien heureux de l'accueillir, car ceci signifiait trouver une solution à leurs problèmes mathématiques irresolus.
A moins d'être un "geek-trooper" ;)
Purée...
Par contre j’ai pas eu de souci pour comprendre l’anecdote. A-t-elle été modifiée?
A la tv 16 ans, en salle 12ans... mais comme il ne passe plus en salle car il a maintenant 20 ans...