Le mammifère vivant le plus léger est le pachyure étrusque. Cette sous-espèce de musaraigne présente des individus pesant en moyenne 1,8 gramme, pour 5,4 à 8,4 centimètres de long. On peut le trouver notamment en France.
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Commentaires préférés (3)
secouchermoinsbete.fr/78230-le-plus-lourd-et-le-plus-leger-mammifere-de-l-histoire-vivent-a-notre-epoque
A l’inverse, le mammifère le plus lourd (la baleine bleue), pèse jusqu’à 170 tonnes.
Soit 170 000 kg.
Soit 170 000 000 g.
Soit un peu plus de 94 millions de fois plus lourd que cette petite musaraigne...
Certains rapports de masses et de tailles peuvent être assez surprenant dans la nature (l’anecdote sur les racines des pieds de seigle m’avait aussi perturbé, ou encore la longueur bout-à-bout des terminaisons nerveuses humaines, etc.).
Du coup en comparant ces données, une information anodine peut vite devenir très intéressante.
Et le rat des moissons, commun par chez nous mais difficile à observer, est, quand à lui, le plus petit rongeur d'Europe avec 5,9 cm pour le rat des moissons contre 5,4 à 8,4 cm pour le Pachyure étrusque.
Pour ce donner une idée : son nid fait la taille d'une balle de tennis. On peut s'amuser à essayer de les trouver dans les haies, les roselières, les cultures, etc. Il enroule des tiges de végétaux pour former une boule que l'on retrouve à 50cm-1m du sol. Il n'a pas l'air d'avoir de milieux de prédisposition. On peut le retrouver dans les milieux humides comme dans les cultures. Enfin son observation étant très difficile (sauf si on recherche les nids), on le retrouve surtout dans l'analyse des pelotes de rejection des rapaces.
Tous les commentaires (4)
secouchermoinsbete.fr/78230-le-plus-lourd-et-le-plus-leger-mammifere-de-l-histoire-vivent-a-notre-epoque
A l’inverse, le mammifère le plus lourd (la baleine bleue), pèse jusqu’à 170 tonnes.
Soit 170 000 kg.
Soit 170 000 000 g.
Soit un peu plus de 94 millions de fois plus lourd que cette petite musaraigne...
Certains rapports de masses et de tailles peuvent être assez surprenant dans la nature (l’anecdote sur les racines des pieds de seigle m’avait aussi perturbé, ou encore la longueur bout-à-bout des terminaisons nerveuses humaines, etc.).
Du coup en comparant ces données, une information anodine peut vite devenir très intéressante.
Et le rat des moissons, commun par chez nous mais difficile à observer, est, quand à lui, le plus petit rongeur d'Europe avec 5,9 cm pour le rat des moissons contre 5,4 à 8,4 cm pour le Pachyure étrusque.
Pour ce donner une idée : son nid fait la taille d'une balle de tennis. On peut s'amuser à essayer de les trouver dans les haies, les roselières, les cultures, etc. Il enroule des tiges de végétaux pour former une boule que l'on retrouve à 50cm-1m du sol. Il n'a pas l'air d'avoir de milieux de prédisposition. On peut le retrouver dans les milieux humides comme dans les cultures. Enfin son observation étant très difficile (sauf si on recherche les nids), on le retrouve surtout dans l'analyse des pelotes de rejection des rapaces.
Autre petite stat sympa qui m’est revenue à l’esprit en lisant les commentaires: si on considère la taille de tous les fragments d’ADN d’une cellule une fois déroulés et mis bout à bout cela fait 1,9-2m (c’est plus grand que moi !). Quand en plus, on se dit que ces 2m sont contenus dans des cellules de 20 à 100 micromètres, c’est assez fou.
Pour le fun, ici ils se sont amusés à calculer la longueur totale de tous les brins d’ADN d’un humain adulte:
www.rts.ch/decouverte/sciences-et-environnement/technologies/4643366-sachant-que-dans-une-cellule-humaine-il-y-a-19-m-dadn-quelle-serait-la-longueur-totale-de-tous-les-adn-mis-bout-a-bout-des-75-milliard-de-cellules-qui-constituent-un-homme-de-75-kg.html