En 1956, Guy Mollet, président du Conseil de la 4e République, proposa à la Grande-Bretagne une union politique « Frangleterre », puis de faire adhérer la France au Commonwealth, une perspective qui aurait fait de la reine Élisabeth II le chef de l’État français. La Grande-Bretagne rejeta la première idée, mais se montra intéressée par la seconde.
Cette proposition est mentionnée dans des archives déclassifiées en Grande-Bretagne, mais il n’en existe nulle trace en France.

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Et c'est assez grave et assez triste pour un dirigeant français d'y avoir même songé.. Normalement on appelle cela tout simplement de la trahison...
Tu as raison il n’a pas grand chose...3600 artères de ttes sortes, sur un total de plus de 4100 lieux portant son nom ; aéroport,porte avion nucléaire,ponts, bâtiments, places,Etcetc ... sinon à part ça il n’a rien , t’as raison...
À mon avis c'est encore une belle occasion ratée. Dans une union entre France et grande Bretagne, même dans une situation au départ défavorable à la France, il est certain que la balance eût fini par pencher en sa faveur. Relire le livre de Cavanna «LES GRANDS IMPOSTEURS.»
second degré, François, second degré...
C'est vrai - "chef d'Etat" est inapproprié - Elizabeth II est "Head of the Commonwealth", un titre qui symbolise l'unité de l'organisation sans pouvoir politique associé !
L'anecdote pourrait être corrigée !
Guy Mollet. Signe vos décret !
Put*in, ça m'a bien fait rire. Je crois qu'on est deux à avoir compris.