Pendant la Seconde Guerre mondiale, la société de piano Steinway & Sons conçut plus de 2000 « Victory Pianos », aussi appelés « GI Pianos ». Parachutés sur les champs de bataille afin de galvaniser les troupes et leur permettre de se changer les idées, ces pianos étaient très appréciés des soldats.
Ces pianos étaient spécialement conçus pour résister au parachutage et à un brusque atterrissage, et traités pour être les plus résistants possible. Ils existaient en trois teintes différentes : vert olive pour l’armée de terre, bleu pour la marine et gris pour l’armée de l’air.
Commentaires préférés (3)
Parfait pour la marche funèbre !
Sans l'ombre d'un doute, les Forces Alliées ont tout fait au possible, pour maintenir le moral de leurs troupes.
En veut pour preuve, la création de services postaux microfilmés, afin que la communication ne soit pas coupée entre le "home front" et les champs de bataille.
journey-of-the-past.weebly.com/--v-mail.html
Où encore, les Forces Navales des USA, qui fabriqueront un bateau uniquement dédié (dans le Pacifique) à l'élaboration de crèmes glacées.
en.m.wikipedia.org/wiki/Ice_cream_barge
De même, les Alliés fabriquaient aussi des rations spécifiques, pour ses soldats ayant des observances alimentaires précises : ceux de confession religieuse Juive, par exemple.
Où encore de développer la culture en hydroponie de légumes frais, pour les soldats stationnés dans des îles du Pacifique.
Pas même les Britanniques rationneront la consommation de bière pour ses soldats et ses civils, malgré la pénurie de céréales.
Le cas de la Guinness, abordé cette semaine, est tout un exemple.
Il y a sans aucun doute d'autres exemples.
Tous les commentaires (13)
Parfait pour la marche funèbre !
Imaginez mourir abattu en transportant des pianos :(
Sans l'ombre d'un doute, les Forces Alliées ont tout fait au possible, pour maintenir le moral de leurs troupes.
En veut pour preuve, la création de services postaux microfilmés, afin que la communication ne soit pas coupée entre le "home front" et les champs de bataille.
journey-of-the-past.weebly.com/--v-mail.html
Où encore, les Forces Navales des USA, qui fabriqueront un bateau uniquement dédié (dans le Pacifique) à l'élaboration de crèmes glacées.
en.m.wikipedia.org/wiki/Ice_cream_barge
De même, les Alliés fabriquaient aussi des rations spécifiques, pour ses soldats ayant des observances alimentaires précises : ceux de confession religieuse Juive, par exemple.
Où encore de développer la culture en hydroponie de légumes frais, pour les soldats stationnés dans des îles du Pacifique.
Pas même les Britanniques rationneront la consommation de bière pour ses soldats et ses civils, malgré la pénurie de céréales.
Le cas de la Guinness, abordé cette semaine, est tout un exemple.
Il y a sans aucun doute d'autres exemples.
Il aurait été donc plus juste de ma part d'écrire "Démocratisation".
Le courrier microfilmé réduisait très sensiblement le poids à transporter, mais également le temps de transport. Un microfilm depuis l'Inde jusqu'au Royaume-Uni, c'était dix jours, face à plusieurs semaines en bateau.
De plus si le microfilm était détruit en cours de transport, les originaux continuaient d'exister, permettant une seconde expédition.
Ce courrier, qui pouvait être expédié dans les deux sens (Front home-champs de bataille et vice versa), était conçu pour ne pas rompre les liens entre les deux parties: il était, tant pour le soldat comme pour ses proches, de recevoir des bonnes -et moins bonnes nouvelles... - que de rester dans l'incertitude prolongée ou permanente.
Que ceci ne fut pas une avancée indéniable dans le cours de la guerre, vraisemblablement. Néanmoins, l'intention était là : chercher à faire garder le moral.
Les nazis, feront "mieux" permettant des largesses sur la consommation d'amphétamines par ses soldats.
fr.m.wikipedia.org/wiki/Scho-Ka-Kola
Nan, je sais... La fameuse guerre éclaire aurait d'après des historiens pas été aussi éclaire, s'ils n'avaient pas eu des amphétamines (sans bien sûr dire au soldats que les pilules étaient des drogues leur ôtant la sensation de fatigue...mais par expérience ils devaient avoir sacrement soif^^). Beaucoup étaient accros d'ailleurs. Il y a quelques documentaires qui en parlent:
www.lemonde.fr/culture/article/2019/08/20/allies-et-nazis-sous-amphetamines-pervitine-et-benzedrine-drogues-de-combat_5501050_3246.html
La pervitine portait bien son nom.
D'ailleurs c'est encore utilisé de nos jours... (A priori certains attentats, comme me Bataclan, les terroriste étaient sous drogue... Je sais pas laquelle, mais c'est normalement Haram...)
Pour info pour le courrier ça date de l'aéropostale, donc les années 20. Et oui le père du petit prince en a transporté (c'est comme ça que je l'ai su) ce qui n'enlève en effet rien à la justesse de ton commentaire: Le courrier était primordial pour les soldats, probablement plus pour beaucoup qu'une tablette de chocolat. Parole de poilu(a lire même si première et non pas deuxième guerre mondiale).
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Ceci était dédicace aux parents qui ne voient pas l'utilité d'accrocher au mur la petit sangle qui accompagne souvent les tables à langer aux grands tiroirs qui les met en porte-à-faux si le gamin décide de 'escalader et les bibliothèques ou le livre est un peu trop haut, le sol pas assez droit.
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Et pour en revenir à ces piano, ce lien, 15,000e en 2015... Un neuf vaut 30,000e de nos jours il me semble!?
Y a que moi que ça choque ?
www.leparisien.fr/yvelines-78/velizy-villacoublay-78140/les-pianos-des-gi-s-ont-ete-restaures-a-velizy-22-07-2016-5987605.php
Je crois que la cornemuse était plus efficace pour galvaniser les troupes. Il y avait toujours une cornemuse dans les régiments écossais. J'avais lu un article qui vantait les mérites de la cornemuse pour galvaniser les troupes et qui donnait comme preuve le fait qu'un gradé qui avait dû mal à tenir sa position face à l'ennemi avait envoyé un message pour demander qu'on lui envoie une compagnie en renfort ou un joueur de cornemuse !
J'imagine bien un piano qui tombe en plein champ...attention à la tête!! :)
J'ose espérer qu'ils étaient un peu plus inspirés que les pianistes amateurs des gares parisiennes... (ça fait beaucoup de P non?)