Le lori tricolore est un oiseau de Nouvelle-Guinée qui possède une langue pour le moins particulière, dont l'extrémité est couverte de "poils". Il s'agit en réalité de papilles qui peuvent se hérisser lorsque l'oiseau se nourrit, lui permettant de récolter le pollen et le nectar dont il se nourrit.
Commentaires préférés (3)
Pour ceux qui aimeraient voir une photo, c'est dans la 3e source.
Si vous désirez nourrir des loriquets, vous pouvez aller au zoo de Pessac (près de Bordeaux). Il y a une gigantesque volière. On achète à l'entrée du zoo des pots de nectar, et quand on entre dans la volière, ils se mettent sur votre bras, vos épaules...et dégustent votre nectar.
On peut mettre du nectar sur le doigt...et se faire lécher par leur langue rapeuse...mais on peut aussi se faire mordre.
Il y a aussi un bébé jaguar visible depuis peu.
www.zoo-bordeaux-pessac.com/public/
Tous les commentaires (9)
Pour ceux qui aimeraient voir une photo, c'est dans la 3e source.
Il n'y a vraiment rien d'autre à dire en commentaires sur cette anecdote ?
Bon, allez, je tente un commentaire de plus : un proche cousin du lori tricolore est le lori arc-en-ciel qui se distingue par.... un plis grand nombre de couleurs !
Robe solendide. Le régime alimentaire de cet oiseau est assez particulier pour un oiseau. Autre oiseau qui se nourrit partiellement nectar de fleurs, le colibri.
www.larousse.fr/encyclopedie/vie-sauvage/colibri/184040
Si vous désirez nourrir des loriquets, vous pouvez aller au zoo de Pessac (près de Bordeaux). Il y a une gigantesque volière. On achète à l'entrée du zoo des pots de nectar, et quand on entre dans la volière, ils se mettent sur votre bras, vos épaules...et dégustent votre nectar.
On peut mettre du nectar sur le doigt...et se faire lécher par leur langue rapeuse...mais on peut aussi se faire mordre.
Il y a aussi un bébé jaguar visible depuis peu.
www.zoo-bordeaux-pessac.com/public/
Il y a un petit zoo en France où il y en a et ils vendent des coupelles de nectar pour les nourrir, je pensais que leur langue était abîmée à cause des visiteurs et du nombre de coupelles qu’on leur donnait à « lécher »