Le projet Iceworm était un programme secret de l'armée américaine lors de la guerre froide, qui visait à construire un site de lancement pour 600 missiles nucléaires sous la calotte glaciaire du Groenland. Elle était composée de 21 tunnels (d' environ 3 km) et alimentée par un mini réacteur nucléaire. Le projet fut en partie réalisé et abandonné en 1967 à cause du mouvement de la glace.
Selon une étude, le réchauffement climatique et la fonte des glaces menacent d’exhumer la base secrète et les matières radioactives enfouies d'ici 2090.
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"SI....." Spéculation !
Il serait peut-être temps de sortir de cette religion qui a pour dieu le GIEC, énorme appareil bien plus politique que scientifique. Des centaines de scientifiques indépendants de premier plan, dont des prix Nobel, contredisent les théories fumeuses des réchauffistes anthropistes du GIEC avec force arguments et données scientifiques.
En tout cas, on en voit aujourd'hui tous les jours des indicateurs du réchauffement climatique, n'en déplaise aux anti, prix Nobel ou pas.
Mais rien que le fait qu’on fasse massivement croire aux gens qu’il y a consensus sur la question alors que c’est absolument faux, devrait poser question.
En tout cas, personnellement, il y a encore 2 ans je suivais distraitement, comme un peu tout le monde, le son de cloche du GIEC, et puis je suis tombé sur des articles et interviews d’autres scientifiques tout à fait sérieux et absolument pas complotistes (je précise car maintenant on se fait traiter de comploplo pour absolument tout et n’importe quoi. Avant, il fallait dire que la terre est plate, maintenant il suffit d’avoir une interrogation même parfaitement légitime sur un discours dominant qui a pourtant été mis plusieurs fois à défaut pour passer du côté obscur).
Bref, ces articles et ITW m’ont donné envie de creuser plus en lisant les livres entiers, et je ne regrette pas. J’encourage vraiment chacun à en faire autant, si vous ne voulez pas vous retrouver dans une impasse économique à cause de décisions démagogiques aussi imbéciles qu’impossibles et dangereuses, comme le zéro carbone et tant d’autres.
Ce n’est pas ma prose mais j’y souscris:
Il y a 3 milliards d'années la terre commençait à être habitée par des formes de vies élémentaires, elles ont évolué sous diverses formes pour disparaitre et être remplacées par de nouvelles qui ont aussi été anéanties par des extinctions de masse . Nous en sommes à la sixième qui a débuté et dont nous ferions aussi partie . Mince alors, mais rien ne presse alors pas de stress ! .... La planète est autonettoyante avec des périodes de chauds et de froids à répétition et il y en aura beaucoup d'autres espérons le .
Ceci étant dit prenez connaissance de cela :
Histoire climatique
Quelle prétention de croire que c'est l'homme qui a changé le climat ! ! !
Il y a 22000 ans, le niveau de la mer était de 110 mètres plus bas.
Il y a 8000 ans, il était 40 mètres plus haut qu'aujourd'hui
(période brève, avec création de la mer Noire).
Les volcans sont responsables de 80% des rejets de dioxyde de soufre.
A distribuer à tous les écologistes de votre entourage, peut-être qu'au travers de ces dates, ils trouveront des explications au réchauffement de la planète dû à notre mode de vie d'aujourd'hui… !!!?
Très intéressant : Vous avez dit sécheresse ?
À ma connaissance il n'y avait pas de moteurs à explosion avant 1856 !
Donc pas de voitures - d'avions - de porte-conteneurs - de navires de croisières, pas d'industries ou chauffages utilisant le fuel lourd etc. . .
et pourtant ** il y a eu des canicules pires que celle de 2019 ! ! !
Pourquoi ? ? ? *
That is the question !
Lisez ci-dessous et vous serez peut être surpris comme je l'ai été !
La canicule de juillet 2019... et LES AUTRES !!!!
Pour info.
En 1538, 1539, 1540 et 1541 les rivières européennes étaient littéralement asséchées.
En 1556, il y eut une sécheresse généralisée dans toute l'Europe.
En 1615 et 1616, la canicule s'abat sur la France, l'Italie et les Pays-Bas.
En 1646, il y eut en Europe 56 jours consécutifs de grandes chaleurs.
En 1676, des canicules à nouveau.
Les mêmes événements se produisirent au XVIIIe siècle.
En 1718, il n'y eut aucune pluie entre les mois d'avril et octobre
Les récoltes furent brûlées, les rivières asséchées et les théâtres fermés à Paris par ordre du Préfet de police en raison des températures excessives.
Le thermomètre enregistra 36 degrés Réaumur (45 degrés C) à Paris.
Dans les jardins de la banlieue arrosée, les arbres fruitiers fleurissent deux fois pendant la saison.
En 1723 et 1724, les températures étaient extrêmes.
En 1746, l'été fut particulièrement chaud et sec et les récoltes furent littéralement calcinées. Pendant plusieurs mois il n'y eut aucune pluie.
En 1748, 1754, 1760,1767, 1778 et 1788* les chaleurs d'été furent excessives une des raisons de la révolution de 1789, les très mauvaises récoltes.
En 1811, l'année de la comète, l'été fut très chaud et le vin très bon y compris à Suresnes.
En 1818, les théâtres parisiens restèrent fermés pendant un mois en raison des chaleurs excessives, la chaleur avait atteint 35 degrés C.
En 1830, alors que des combats avaient lieu, le thermomètre affiche des températures de 36 degrés C les 27, 28 et 29 juillet.
En 1832, lors de l'insurrection du 6 juin, le thermomètre releva une température de 35 degrés.
En 1835, la Seine était presque à sec.
En 1850, au mois de juin, au cours de la seconde épidémie de choléra de l'année le thermomètre affichait 34 degrés.
Voilà ce que l'on pouvait lire dans un journal anglais, le HampshireAdvertiser from Southampton, le 17 juillet…1852 !
Vous pouvez trouver le fac-similé sur internet.
Il s'agit bien d'un extrait de journal de 1852 et non pas de je ne sais quel site complotiste.
Suite et fin:
Voir l'interview de l'historien Emmanuel Le Roy-Ladurie, parue dans Libération lors de la canicule de 2003, (et diffusé en août 2018) au sujet de celle de 1718 qui aurait fait 700 000 morts !
Libération précise que son livre "Histoire du climat depuis l'an mil" (Flammarion 1967) reste la référence en la matière, ce qui est plutôt un bon point de la part de ce journal qui ne porte pas vraiment les climato-réalistes dans son cœur...
Édité en 1967, à une époque où on ne parlait pas encore de réchauffement climatique, l'éminent auteur de ce livre ne peut pas être accusé de vouloir prendre le contre-pied de la tendance d'aujourd'hui.
Vous pouvez le trouver sur internet pour 9 EUR. A ce prix-là, il ne faut pas se priver de s'instruire.
Libération, serait donc devenu complice des climato-réalistes, ceux qui osent rappeler l'importance des cycles naturels sans accuser
uniquement le CO2, gaz à effet de serre partiellement d'origine anthropique ?
Ceux qui font remarquer qu'à une époque où il n'y avait pas encore le moindre soupçon de début de révolution industrielle :
(Avec son CO2, gaz vital, que l'on nous présente pourtant comme un polluant),
Il y avait déjà eu de très nombreuses vagues de chaleurs extrêmes ainsi que des sécheresses catastrophiques, entraînant des centaines de milliers de morts...
Je ne comprends plus rien au sujet de la relation CO2/températures qu'on nous assène pourtant comme étant un dogme indiscutable, et vous ?
C'est vrai que nous vivons une très forte et inhabituelle canicule, mais à l'évidence il n'y a rien de nouveau sous le soleil !
PS : amusez-vous à taper « Sècheresse 1718 » sur Google et vous en saurez beaucoup plus.
A moins que vous ne vouliez rester sur la certitude que la canicule actuelle est un phénomène exceptionnel qui n'a encore jamais eu d'antécédents, car provoqué par l'activité humaine.....
Serions-nous encore victimes d’enfumage... ?
Que oui, bon pour passer à la caisse !!! Une fois de plus…
Le déni doit permettre de mieux vivre...
Avez-vous vu cela : www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2022/08/11/rechauffement-climatique-attention-aux-detournements-en-ligne-de-faits-historiques_6137790_4355770.html
Si vous lisez regarder les nombreux ouvrages sur le climat, et un signe qui n'est pas trompeur : nos sociétés ultracapitaliste commence a nous parler d'écologie, ils ont finalement sentis les limites et souhaite maintenant prolonger le jeu...
Quel dommage que le premier scientifique cité, François Gervais, éminent thermodynamicien, soit aussi connu comme étant complotiste dans le milieu cimato-septique.
Quel dommage aussi de citer des passages de Emmanuel Le Roy Ladurie, historien (argument d'autorité ?) qui retrace l'histoire du climat dans les grandes ères. Normal qu'il ne parle pas du réchauffement climatique en 1967 puisqu'on n'en parlait pas !
Personne ne nie l'existence des différentes ères thermiques, que certaines canicules datant de plusieurs siècles aient été pires que celles d'aujourd'hui. Mais on ne peut pas non plus fermer les yeux devant l'accélération de la fréquence et la force grimpante actuelle de ces canicules depuis un siècle. Si cette accélération ne peut être due à un changement d'ère, qui prend beaucoup beaucoup beaucoup plus de temps, que peut-on en conclure ?