On meurt plus le 3 janvier

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T'aurais pu attendre demain pour publier cette anecdote.^^

a écrit : T'aurais pu attendre demain pour publier cette anecdote.^^ Ben oui, on aurait eu des stats à jour au moins..

Anxiogène du coup...je regarde ma montre...encore 10h38 à tenir pour ne pas faire partie de la statistique...


Tous les commentaires (30)

T'aurais pu attendre demain pour publier cette anecdote.^^

a écrit : T'aurais pu attendre demain pour publier cette anecdote.^^ Ben oui, on aurait eu des stats à jour au moins..

Anxiogène du coup...je regarde ma montre...encore 10h38 à tenir pour ne pas faire partie de la statistique...

J’étais loin de faire une corrélation entre suicide et résolution de la nouvelle année, je penchais plus vers des décès post jour de l’an, soit des personnes qui meurent 3 jours après un accident ou encore à cause d’une intoxication alcoolique ou asphyxie par le vomis de la personne alcoolisée et inconsciente ( ça arrive plus souvent qu’on ne le croît ).

À contrario c’est le 15 août le jour où on leur le moins. Gros pic de mortalité en hiver à cause des maladies qui touchent les plus anciens. Les jeunes eux meurent plus l’été, sûrement pour des causes d’accidents plus importantes (la source ne l’indique pas)
Enfin, le jour de notre anniversaire est souvent propice pour finir 6 pieds sous terre.
Dur dur pour ceux qui sont nées un 3 janvier !

C'est moche de mourir 2 jours après que l'on vous ai souhaité 365 jours de "Santé, Bonheur"

Comment peut-on se retenir de mourir ? Parce que si c'est possible, on peu devenir immortel :/

a écrit : C'est moche de mourir 2 jours après que l'on vous ai souhaité 365 jours de "Santé, Bonheur" Désolé mais j'ai rit

a écrit : Comment peut-on se retenir de mourir ? Parce que si c'est possible, on peu devenir immortel :/ Ça serait cool !

a écrit : Ça serait cool ! L’immortalité est un fantasme étroitement lié à la thanatophobie, mais en réalité, je ne crois pas que ce soit si cool que ça de l’être surtout avec la configuration mondaine, (exposition à la douleur, la maladie, l’ennui, la tristesse, et toutes les expériences négatives), ce serait un supplice plus qu’autre chose selon moi, tu ne trouves pas ?

a écrit : Anxiogène du coup...je regarde ma montre...encore 10h38 à tenir pour ne pas faire partie de la statistique... Joyeux 4 janvier !

a écrit : Comment peut-on se retenir de mourir ? Parce que si c'est possible, on peu devenir immortel :/ Les personnes en fin de vie ne se retiennent pas de mourir à proprement parler, elles luttent pour gagner qq heures et lâchent prise quand elles ont franchi le cap qu'elles voulaient franchir. Quand on discute avec des soignants, ils ont tous des histoires de personnes qui "attendent" un proche qui doit venir les voir, ou au contraire qui "choisissent" LE moment où leur enfant, conjoint, proche est parti manger ou boire un café pour ne pas mourir devant eux. Ce n'est pas la recherche de l'immortalité, c'est un arrangement avec la lutte contre la maladie.

a écrit : L’immortalité est un fantasme étroitement lié à la thanatophobie, mais en réalité, je ne crois pas que ce soit si cool que ça de l’être surtout avec la configuration mondaine, (exposition à la douleur, la maladie, l’ennui, la tristesse, et toutes les expériences négatives), ce serait un supplice plus qu’autre chose selon moi, tu ne trouves pas ? Afficher tout Nope, du haut de mes 462 ans, pardon mon doigt à glissé, de mes 52 ans, je réfute cette assertion empreinte de négativité. Tout dépends de la façon dont tu abordes la vie, le verre à moitié vide/plein etc.
Oui les proches, les amis, ascendants ou descendants vont nous manquer, au début, mais on fini par s'y faire.
La seule question qui me reste c'est de savoir comment un cerveau pas prévu pour, à priori, pourrait tenir le choc malgré sa remarquable plasticité ?

a écrit : Comment peut-on se retenir de mourir ? Parce que si c'est possible, on peu devenir immortel :/ De la même façon qu'on peut se laisser mourir. Tu peux le voir comme une lutte contre l'endormissement. Tu luttes, tu luttes, et puis tu laisses aller. La différence et que tu ne te réveilleras pas.

a écrit : Nope, du haut de mes 462 ans, pardon mon doigt à glissé, de mes 52 ans, je réfute cette assertion empreinte de négativité. Tout dépends de la façon dont tu abordes la vie, le verre à moitié vide/plein etc.
Oui les proches, les amis, ascendants ou descendants vont nous manquer, au début, mais on fini par s'y
faire.
La seule question qui me reste c'est de savoir comment un cerveau pas prévu pour, à priori, pourrait tenir le choc malgré sa remarquable plasticité ?
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Si ton doigt a glissé il as suffit d'appuyer sur la touche "back Space" "effacer" pour corriger.

C’est surtout la reprise des opérations/chirurgies non urgentes avec son lot d’incidents

a écrit : De la même façon qu'on peut se laisser mourir. Tu peux le voir comme une lutte contre l'endormissement. Tu luttes, tu luttes, et puis tu laisses aller. La différence et que tu ne te réveilleras pas. Se laisser mourir est quand-même bien différent que de se retenir de mourir. Il n'y a pas à lutter contre quelque chose qu'on ne contrôle pas pour la première.

Lorsqu'on lutte contre l'endormissement, on perd tout le temps la bataille et on s'endort avant ce qu'on espérait atteindre. Finalement, l'analogie avec la mort me semble pertinente.

a écrit : L’immortalité est un fantasme étroitement lié à la thanatophobie, mais en réalité, je ne crois pas que ce soit si cool que ça de l’être surtout avec la configuration mondaine, (exposition à la douleur, la maladie, l’ennui, la tristesse, et toutes les expériences négatives), ce serait un supplice plus qu’autre chose selon moi, tu ne trouves pas ? Afficher tout Je ne sais plus d’où vient la citation mais elle me revient à l’instant:
L’immortalité c’est long, surtout vers la fin!

a écrit : Je ne sais plus d’où vient la citation mais elle me revient à l’instant:
L’immortalité c’est long, surtout vers la fin!
Je crois plutôt que c’est le mot éternité qui est utilisé dans la citation de Woody Allen, fameux cinéaste anglais hilarant au passage.