Disney est connu pour ses nombreuses réussites au box-office mais moins pour ses flops dont certains ont pourtant été retentissants. En effet, les trois plus gros échecs commerciaux du cinéma (ajustés à l'inflation) seraient estampillés Disney : il s'agit de "John Carter", "The Lone Ranger" et "The Marvels", ce dernier totalisant 237 millions de dollars de perte.
Commentaires préférés (3)
J ai adoré John Carter !
Malheureusement, flop n'est pas synonyme de navet ... je n'ai pas vu "the marvels" (j'ai lâché l'affaire depuis longtemps avec le MCU) mais "John Carter" et "Lone ranger" sont plutôt dans le haut du panier. Ils sont desservis par des coûts de production démesurés comparé à leurs potentiel commerciale.
"John Carter" est une adaptation de roman avec une fanbase bien trop confidentielle pour en faire un succès d'ampleur.
Concernant "Lone Ranger", Disney voulait ressusciter le western comme ils l'avaient fait avec le film de pirates (pirates des caraïbes) mais la sauce n'a pas prit.
Pour "the marvels" ils ont payé leurs politique du multi-format (film, série, comic) avec des personnages peu connus, mal présentés et les galères de production habituelles dans le MCU (VFX rushé, film qui part en tournage alors que le scénario n'est pas validé, réalisation sans inspiration d'un véritable auteur etc...)
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J ai adoré John Carter !
Je comprends moins les deux premiers que le dernier, dont le flop était annoncé bien avant sa sortie. Sur ce coup-là, je me dis que, parfois, ils se mettent des œillères.
Malheureusement, flop n'est pas synonyme de navet ... je n'ai pas vu "the marvels" (j'ai lâché l'affaire depuis longtemps avec le MCU) mais "John Carter" et "Lone ranger" sont plutôt dans le haut du panier. Ils sont desservis par des coûts de production démesurés comparé à leurs potentiel commerciale.
"John Carter" est une adaptation de roman avec une fanbase bien trop confidentielle pour en faire un succès d'ampleur.
Concernant "Lone Ranger", Disney voulait ressusciter le western comme ils l'avaient fait avec le film de pirates (pirates des caraïbes) mais la sauce n'a pas prit.
Pour "the marvels" ils ont payé leurs politique du multi-format (film, série, comic) avec des personnages peu connus, mal présentés et les galères de production habituelles dans le MCU (VFX rushé, film qui part en tournage alors que le scénario n'est pas validé, réalisation sans inspiration d'un véritable auteur etc...)
Et attendez la sortie de Blanche Neige, on va bien rigoler
Et si on parlait de "Taram et le Chaudron magique" pour mettre tout le monde d'accord (ou pas) ?
avec des yeux d'adulte, ce n'est pas extra mais pourtant ce ne me semble plus mauvais qu'un merlin l'enchanteur.
Sinon dans les flop, on pourrait parler de TITAN AE, super film qui a tout de même mené à la ruine Fox animation studio.
Dans le délire j'ai jamais compris le succès de bienvenue chez les chtis.
youtu.be/2J-BKCH7ruw
100 000 pouces en l'air
1 400 000 pouces en bas (VO)
Y a pas débat
Du reste, le dernier est bien l'un des pires nanars de ces dernières décennies. A trop surfer sur les effets spéciaux et l'engouement des gens pour certaines œuvres, on arrive à faire le pire et à décrédibiliser tout ce que l'on a fait avant. Exemple : Star wars (derners épisodes)...
Mais tout est affaire de point de vue (dont l'audimat est un bon instrument de mesure).
Attention tout de même à ne pas tout mettre dans le même panier. Disney (Walt Disney Company) est aujourd'hui un ensemble gigantesque de plusieurs autres entreprises, dont des studios, parmi lesquels Walt Disney Studios/Pictures.
Parmi les trois films de l'anecdote, seul John Carter est estampillé Walt Disney Pictures.
Ça a son importance, parce que, même si c'est devenu une sorte de réflexe de rejeter la faute de tous les échecs sur Disney, chaque studio conserve sa "patte" et une marge de manoeuvre artistique et économique.
The Marvels est avant tout un échec de Marvel Studios, avec des faiblesses qu'on ne retrouve pas dans les autres studios sous le giron de Disney. Marvel bâcle depuis un moment ses films, et notamment les effets numériques. Difficile d'en dire autant pour les Pixar ou Avatar: la Voie de l'Eau, par exemple.