François Pinault, troisième fortune française et 59e fortune mondiale, est propriétaire de Gucci, Conforama, Le Printemps, La Redoute, la Fnac et le Point entre autres. Cet homme d'affaires reconnu a quitté l'école à 16 ans et n'a donc pas le baccalauréat.

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Ce qui m'énerve ce n'est pas tant le fait qu'il soit riche sans avoir fait d'étude. Il a déjà plus de mérite que ceux qui se sont contentés de naître (cf. le mariage de figaro). Ce qui m'énerve c'est le fait qu'il fasse une fierté de ne pas avoir eu son bac. Ce n'est pas une tare, mais il n'y a vraiment pas de quoi s'en vanter.
Ou entetement des moins jeunes qui pense encore que la finence mondial n est pas régit par les magouilles..
Mais on a quand même statistiquement plus de chances d'arriver à quelque chose d'intéressant dans la vie en allant à l'école...
Vu la mentalité de certains, la ploutocratie a encore de beaux jours devant elle
*ploutocratie non ?
Il n'a pas non plus partit de rien de ce j'ai compris sur Wiki (le début de sa biographie est un peu brouillon et il est difficile de vraiment comprendre clairement son début de parcours)
les diplomes ne font l'expérience
il à réussi ça vie c'est tout.
Pas tres intelligent et non sens total pour un 8 annees post bac. Cest ton commentaire qui est absurde et ilogique. Mon pere n'a pas de bac et gagne 3500 net mensuel, j'ai bac+5 et je gagne 2000 net, trop de parametres sont en jeu pour pouvoir comparer
Au pire le droit d'informer et de savoir ca te parle??? Quitte à avoir ton bac essayes de ten servir et reflechir --'
quand tu sais qu'un bachelier sur 2 ( à notre époque) ne sait pas écrire sans faute d'orthographe et que les classes préparatoires aux grandes écoles on remit la dictée à l 'ordre du jour. ceci explique peut-être cela.
j'ai un cousin qui a fait X il n'a même pas la notion du salaire d'une infirmière: il me voyait carrément gagner le double de ce que je perçois!!!!! peut-être que Mr Pinault lui a plus la notion de l'argent....
Oui, fautes de frappes
Cette anecdote n'a aucun intérêt sans son numéro de mobile... ;cP
Perso je n'ai aucun diplôme. J'ai quitté l'école à 17 ans et j'ai été à la rue. J'ai essayé des petits boulots et j'ai fini musicien et ce depuis plus de 20 ans. Pourtant, je n'ai jamais pris un seul cours de chant et de guitare. Le seul hic dans mon histoire est que j'ai choisi une musique qui n'est pas commerciale / populaire et par conséquent, je n'ai pas de salaire. Actuellement, je survie grâce à ma femme. Bref...
Il existe des autodidactes dans ce monde qui en bavent plus que les autres alors merci de ne pas les jalouser, ils méritent plutôt le respect.
Ce que cette annecdote démontre c'est simplement qu'il n'y a pas besoin de diplome pour être riche, mais ça, ce n'est pas une découverte.
1) saisir une opportunité rentable n'est pas lié au fait de faire des études. La vague de milliardaires chinois qui arrive ne sont pas de grands intellectuels. Avec un peu de mauvaise foi, je dirais qu'un intellectuel n'oserait pas exploiter autant d'autres individus dans des usines.
2) le but des études est d'avoir certaines connaissances dans des domaines précis, mais ces connaissances n'ont aucun rapport avec "comment accumuler de l'argent".
3) plus généralement, les études les plus longues mènent à des carrières où l'on produit de la réflexion, pas de la richesse. Ce ne sont ni les mêmes questions que les gens se posent, ni les mêmes motivations.
4) les études destinées à faire des carrières rentables (HEC & co) ne sont pas vraiment des études, leurs inscrits n'apprennent plus autant que lorsqu'ils étaient en prépa. C'est surtout de l'établissement de réseaux. La meilleure preuve étant le fait qu'il existe une hyérarchie de ces écoles par prestige, là où ça ne devrait pas exister si ces disciplines étaient des sciences dures.
5) Pour un F. Pinault, combien de non-bacheliers sous le seuil de pauvreté? On peut comparer avec la proportion de 'docteurs' sous le seuil de pauvreté ? La richesse devient une question de l'endroit où l'on positionne le curseur, notamment à une période où les écarts augmentent.
Mon pauvre Setsuna, tu parles d'échelles financières qui sont tellement ridicules comparés à F.Pinault que tu es obligée de préciser au "500 euros" prêts, chose qui ne passerai jamais en tête chez Pinault. Pour un riche, 2000 ou 3500...c'est aussi petit l'un que l'autre. Tu tires des jugements sur Adrien à partir d'une règle que tu fais sur 2 observations : toi, et ton père.
Quand j'étais en Suisse avec mon doctorat (bac+8) et un post doc de deux ans, je gagnais plus que toi et ton père réunis (plus 1500 € encore), et malgré tout, ça reste une broutille pour Pinault ....ta règle marche beaucoup moins quand on rajoute un troisième point. Sans parler du fait qu'à l'àge de ton père tu ne gagneras pas le même salaire que maintenant, c'est sensé évoluer avec le temps.
(P.S. Adrien n'a jamais dis qu'il avait terminé son parcours en plus)
Informer quoi? "faites comme moi, tentez votre chance?". Si tu veux comparer la moyenne des revenues, elle est positivement corrélée avec les études. Plus tu fais des études, mieux tu vis, c'est indéniable. Si tu veux comparer la variance, elle est négativement corrélée. Plus tu fais des études, plus les salaires se regroupent autour de la moyenne (de cette classe de diplomée), tu as moins de chance d'observer un F. Pinault certes, mais tu as surtout moins de chance d'observer de très faibles revenus. Donc, bravo Pinault, on est content pour toi ! Mais il ne faut pas que ça fasse oublier toute une classe sociale bien en dessous de lui, qui vivrait probablement mieux avec plus d'études même si ce facteur n'est évidemment pas exclusif.
Et dire que j'ai mon bac et que je galère encors en intérim
"Seul" le CV compte! Je ne dis pas qu'il n'est pas important... Ou alors je ne sais pas lire!
Et ce que je dis est un simple constat! Des parcours comme celui cité ci-dessus, il y'en aura de moins en moins! Partir de rien arriver à tout, sans la "Confiance" d'un quelconque employeur, c'est difficilement réalisable..!
Il y a aussi des étudiants qui ont été à la rue et qui s'accrochent, c'est loin d'être très rare, surtout à Paris.