Sur le porte-avions Charles de Gaulle, les 3 brins d'arrêt utilisés pour stopper les avions à l'atterrissage sont nommés Athéna pour le premier (déesse de la guerre: il faut l'esprit guerrier pour l'accrocher), Aphrodite pour le deuxième (l'amour: atterrissage parfait) et le dernier Andromède (la dernière chance).

Tous les commentaires (38)
Ce n'est pas exact. Il n'aurait pas le temps de remettre les gaz. Il remet les gaz SYSTÉMATIQUEMENT au cas où il rate. D'où le bruit caractéristique lors de l'apontage. de
J'ai l'impression d'avoir affaire à un pilote de l'armée de l'air ! (donc forcément un jaloux des marins du ciel) ;)
D’où le terme spécifique d’appontage.
Néanmoins le terme d’atterrissage est correct. En raison de la conquête spatiale et pour ne pas avoir à créer un terme spécifique pour chaque corps céleste sur lequel on se pose, il a été décidé que « atterrir » désigne l’action de se poser sur toute surface solide et « amerrir » sur une surface liquide. Un pont d’envol étant solide, on y atterrit.
Il me semble que le pilote mets les gaz à fond dès que les roues touchent le pont, il n'y a aucun signal qui indique qu'un brin à été accroché ou non, et le délai de réaction et la montée en vitesse des moteurs serait trop longs au vu de la "longueur" d'un pont d'atterrissage.
Bataille entre gonfleurs d'hélice? :)
En fait, pour chaque atterrissage, le pilote doit remettre plein gaz au moment de toucher le pont d'envol. Seulement avec l'inertie du moteur (il met un certain avant d'atteindre sa pleine puissance) cela ne l'empeche pas de s'arrêter et dès qu'il a accroché un brin il éteint les gazs.
Oh non, rien qu'en montant sur un escabeau j'ai déjà le vertige, je te rassure, mais j'ai beaucoup d'imagination! :)
les vidéos d'appontage sont spectaculaires...
D'AILLEURS je me pose une question à laquelle j'ai déjà la réponse: sur tous les porte-avions, il y a deux pistes, une pour décoller et une pour atterrir qui est décaléeà gauche et qui mène direct dans la flotte... juste au cas où... histoire de pas se manger la tour et les avions au décollage en cas de problème technique à l'appontage, on ne sait jamais!... ^^
Tout est prévu, si ca crash, ca fait pas tout exploser!
Il remet de toutes façons les gaz à fond car l’inertie du réacteur ne lui permettrait pas d’être à fond s’il le fait plus tard. Mais les filets sont assez résistants pour retenir un avion à 180kmh avec les gaz à fond.
Oui mais le CDG est plus petit comme porte avion les brin sont plus proche de souvenirs avec une discussion avec un chien jaune ils sont espacés plus entre 10 à 15 m je te parle de cela il y a longtemps pour y avoir servi dessus et ça viens de me mettre un coup de vieux
C'est pour ca que je disais que j'avais trouvé pour les porte-avions de la 2eme GM et pour les plus récent.
Le Charles de Gaulle est à peu près entre les deux (meme si plus contemporain à notre époque que la 2eme GM), il a quand meme plus de 30 ans maintenant !!
J'ai continué de cherché un peu, j'ai trouvé un peu de tout, à priori les portes avions contemporains au CdG ont des brins espacés d'une vingtaine de metres.
J'imagine que la taille compte pour beaucoup ainsi que les avions destinés à être accueillis.
A creuser.
Je crois avoir entendu que les gaz sont mis à fond quoiqu'il arrive tout juste avant l'appontage, car il y a un petit délai entre la remise de gaz et l’accélération effective, donc si il remet les gaz que quand il se rend compte que les brins sont raté, c'est trop tard. Le pilote coupe tout dès qu'il a accroché.
Oui pour les brins la taille de la piste et les modèles d'avions jouent beaucoup même si le CDG peut accueillir différents avions de toutes armées mondiale en cas de nécessité quand ils sont en mission de coalition il n'est pas rare de voir des anglais des américains des indiens venir visiter le CDG pendant les coalitions, le CDG est un bon compromis entre ce que nous avions lors de la seconde guerre mondiale et les portes avions de notre époque même si nous en avions eu un très beau et performant avant le CDG qui oui à déjà 30 ans mais à subit un rajeunissement à sa dernière mise en cale sèche le radar par exemple
Faut bien se charrier, même si l'aéronavale est au dessus :)
Alors, peut-être qu'une tête pensante a "décidé que" le terme atterrir est correct quand un avion se pose sur un bâtiment. Seulement va dire à un marin que son avion atterrit sur le Charles de Gaulle, tu seras bien reçu tu verras ahaha
C'est tout aussi bizarre qu'un marin qui dit à un maçon qu'il navigue sur un bâtiment... ^^
Ah ça, je ne le conteste pas :p
D'ailleurs, j'aurais appris en cherchant pourquoi on parle de bâtiment pour un navire militaire que la distinction est à faire selon plusieurs termes.
Ainsi, d'après wiki, on parle d'embarcation pour un bateau de petite taille (de l'ordre de quelques mètres de longueur), de navire pour un bateau maritime ponté de fort tonnage, de vaisseau pour les mêmes navires anciens à voile et de bâtiment pour un navire de guerre ou de commerce.
Juridiquement, « bateau » désigne un bâtiment destiné à la navigation sur les fleuves et canaux, tandis qu'un « navire » est destiné à la navigation maritime.
Bref du coup, je ne sais toujours pas pourquoi on parle de bâtiment de guerre mais j'imagine qu'il s'agit d'un lien direct à la construction navale où on bâtissait les navires et les vaisseaux.