En 1977, un bar de Chicago, le Mirage tavern, fut acheté par le journal local Chicago Sun-Times. Il ne s'agissait pas d'une tentative de diversification de ses activités, mais au contraire un moyen de renforcer ses enquêtes : le journal aménagea une cache afin que ses reporters puissent enquêter discrètement sur la corruption des policiers en observant leurs rencontres et discussions.
Commentaires préférés (3)
C’est surprenant de constater que même en cherchant bien, il ne semble y avoir aucune source rédigée en Français concernant cette histoire, pourtant importante. C’est assez rare.
Apparemment la corruption dans Chicago était systémique, extrêmement répandue et difficile à mettre en exergue autrement.
Le début de l'article en source. Je peux poster la suite, j'ai configuré mon tél pour traduire automatiquement les articles vers le français.
Le Chicago Sun-Times a commencé à publier une série élaborée en 25 parties en janvier 1978, à la suite du travail d'infiltration d'une équipe de journalistes qui ont acheté un bar de plongée délabré - la taverne Mirage - pour exposer les inspecteurs corrompus de la ville qui ont passé sous silence les violations évidentes du code dans échange contre des pots-de-vin.
Toujours plus impressionnant comme journalisme d'investigation que de se contenter de recopier des brèves de l'AFP.
Tous les commentaires (3)
C’est surprenant de constater que même en cherchant bien, il ne semble y avoir aucune source rédigée en Français concernant cette histoire, pourtant importante. C’est assez rare.
Apparemment la corruption dans Chicago était systémique, extrêmement répandue et difficile à mettre en exergue autrement.
Le début de l'article en source. Je peux poster la suite, j'ai configuré mon tél pour traduire automatiquement les articles vers le français.
Le Chicago Sun-Times a commencé à publier une série élaborée en 25 parties en janvier 1978, à la suite du travail d'infiltration d'une équipe de journalistes qui ont acheté un bar de plongée délabré - la taverne Mirage - pour exposer les inspecteurs corrompus de la ville qui ont passé sous silence les violations évidentes du code dans échange contre des pots-de-vin.
Toujours plus impressionnant comme journalisme d'investigation que de se contenter de recopier des brèves de l'AFP.