Les Japonais sont fans de distributeurs automatiques. Le pays en a compté jusqu'à 1 pour 7 habitants à la fin des années 2000 et on peut quasiment tout y acheter, du foulard pour chat à la pastèque. Leur succès s'explique par des particularités propres à la culture japonaise : un vandalisme faible, des citadins pressés et un encombrement réduit pour une rentabilité élevée.

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C’est la même chose en Thaïlande
J'en ai trouvé en plein milieu de la forêt des suicides. Au milieu de rien, une installation électrique sommaire et hop un distributeur de café froid.
Pour avoir été au moto GP en Thaïlande, sur le parking moto, tout le monde laisse son casque, ses équipements, son téléphone et parfois même les clés. Impossible en France ou presque.
Passé un certain taux d’alcoolémie la bourgeoisie parisienne veux faire comme à la télé, comme les rebelles des quartiers, on craque le slip
Astucieux de parler en chiffres absolus pour les tentatives de viols. Les faits sont que les étrangers sont surreprésentés dans ces domaines ( cadre conjugal ou non) ministère de l'intérieur étude de 2021 interstat analyse numéro 52 p11 et numéro 53 p7
Le déni jusqu'au bout. Dans les années 60 on avait des journalistes flingués pour des blasphèmes ou des profs assassinés par des élèves.
Dis-moi quel genre de quartier tu habites et quels quartiers tu évites, et je te dirais qui tu crains le plus.
Je ne comprends vraiment pas vos propos. Que la violence ait toujours existé, c'est un fait, et il est difficile de comparer plusieurs générations. Par contre, il n'y a pas et il n'y a jamais eu une violence "homogène", elle est multiple et est présente partout, et je ne vois pas en quoi la violence des uns cacherait celle des autres. En d'autres mots, la violence due à l'immigration est quand même bien présente, elle vient s'ajouter à celle des "locaux", et, au-delà de l'idéologie, ce n'est pas forcément xénophobe de la prétendre. La xénophobie, c'est croire que des populations sont supérieures à d'autres. On peut aussi croire que l'immigration est violente parce les immigrés, en France, sont en moyenne plus pauvres que les résidents de longues dates, et que les niveaux sociaux et économiques bas sont plus enclins à commettre des violences car ils rencontrent plus de difficultés. Difficile par exemple d'éduquer correctement un gamin si vous n'avez du temps que pour le travail et les corvées. Difficile aussi de s'eriger en modèle parental si vous vivez dans des conditions misérables...
Si je reviens sur l'idéologie, je (c'est donc maintenant un avis personnel) constate quand même que parmi toutes les populations immigrées, c'est souvent la même qui est impliquée dans les problèmes. Il y'a donc un écart entre les chiffres et mon ressenti, qui se base quand même sur des témoignages et du vécu des proches (dont certains étrangers). Est-ce simplement un biais cognitif, une manipulation politique ? J'essaie pourtant d'être objectif, je suis d'ailleurs marié à une étrangère latine, mes enfants et beaucoup de proches sont bi-nationaux. Est-ce que ce serait le lieu de vie qui fait que nous avons des avis aussi différents ? car pour moi, beaucoup sont dans le déni. On peut ne pas être d'accord sur les causes (culturelles pour les uns, sociales pour les autres), mais comment peut on prétendre que l'immigration n'est pas un sujet, qu'il n'y a pas de problème ni de violence liée ? le fameux "pas d'amalgame" doit tout cacher tant que 100% des immigrés ne sont violents et 0% des "locaux" non ? Je pense que c'est justement ce tabou qui fait monter le racisme, ça empêche toute réflexion logique, travaux de recherche et étude sociale, et on utilise nos impressions et avis personnels à la place.
Cet article montre bien les fractures politiques actuelles je trouve. Il montre que les immigrés sont surreprésentés pour la délinquance, tout en donnant des causes sociales (économiques) et territoriales.
Ça montre d'ailleurs qu'on peut être anti immigration sans pour autant être raciste. Anti-immigration car les immigrés apportent leur lot de pauvreté, avec un risque de délinquance accrue
sans racisme car les causes directes ne sont pas religieuses, ou sur le lieu d'origine, ou sur la couleur de peau...
Bref pas besoin d'être raciste pour être anti immigration
de même pas besoin d'être gauchiste pour être pro immigration, avec l'argument que l'état peut aider et intégrer ces populations puisque ce n'est pas le facteur culturel qui l'empêche, qu'il n'ya pas d'"incompatibilité" culturelle
Il y a les nostalgiques du bloc de l'Est ici...
Quand on met in source on essaye de la lire. Les statistiques ethniques sont interdites en France, le rapport de l’Insee indique bien qu’il y a un manque d’information sur les potentielle double nationalités. En France la gauche s’auto-légitime la violence en réponse à une ( parano?) violence institutionnelle, d’où les révolutions bourgeoises et parisiennes du 19eme. Aujourd’hui la gauche a remplacé le vote ouvrier par le vote des immigrés, qui justifie la violence comme une expression au racisme ( parano?) systémiques.
Et ne faites pas d’amalgames entre incivilités et crimes,Les agressions sexuelles et viols existent aussi au Japon, maintenant peu de chance que les journaux japonais soit repli de faits divers dont les noms sont omis pour éviter les amalgames…
Objectivement l'économie est le moteur principal des tensions au sein de la société. Cela a toujours été le cas, que ce soit au temps de l'empire Romain, au temps de la révolution française ou maintenant. Évoquer ce fait tient plus du pragmatisme et du rationnel que d'un souvenir vaguement nostalgique du bolchevisme... J'ai grandi pendant la fin de la guerre froide et ainsi n'ai strictement aucun doute ni nostalgie du fascisme soviétique. Toutefois je vous assure qu'il y a une chose que les puissants argentées adorent : c'est de voir leurs pairs, qu'ils dominent, se déchirer entre eux, plutôt que de reconnaître ceux qui les exploitent. La xénophobie et le racisme sont l'ultime alibi dont les financiers et riches se servent pour cacher leur responsabilité face aux pauvres cons que nous sommes, afin de pouvoir continuer à nous exploiter.
C'est vrai que c'est drôle, quand on joue aux échecs, de voir les petits pions partir au casse pipe les uns contre les autres, blancs contre noirs, en espérant un jour devenir reine une fois au bout du plateau.
Même que parfois ça arrive, ça entretiens l'espoir.
Mais la majorité finiront sacrifiés pour détourner l'attention du camp ennemi.
[Mode un peu complotiste ON]
Vous vous souvenez il y a quelques années, on a commencé à voir une certaine lutte des classes revenir "à la mode" avec le mouvement des "99%" qui ont commencé à manifester à Wall Street contre les profits records et certains salaires de dirigeants.
Cela a duré quelques temps puis l'opinion publique a ensuite été orientée (de pleins de manières différentes) vers des combats moins "problématiques" pour les très riches mais ayant une aura apparente plus importante pour le public comme les hommes contre les femmes, les rascisés contre les non rascisés, les locaux contre les étrangers, les conservateurs contre les wokes, les conducteurs de voitures contre les écolos, les skieurs contre les agriculteurs, etc...
[Mode un peu complotiste OFF]
Le pire, c'est qu'après avoir lu la biographie de Edward Bernays, cette petite théorie paraît complètement plausible.
Ça restera dans la case :"on sauta jamais, ou on saura quand ça n'aura plus aucune importance".
Ayant grandit en quartier sensible de banlieue parisienne puis ayant fait 7 ans d'armée avant d'être gendarme dans un village de 2000 habitants en province je te confirme que ce que tu dis est complètement faux.
À l'armée, dégradation sur des bâtiments neufs, ça casse les faux plafond, courent sur les murs pour faire des traces de rangers, vide les extincteurs, jette papiers et mégots au sol alors que c'est nous-mêmes qui nettoyons, étalé ses excréments sur les murs et j'en passe.
Quant au village de province, du jeudi au lundi c'est la même histoire, des dégradations, des bagarres, des agressions sous alcool et je te parle pas des cas sociaux qui vivent en caravane mais se payent de la cocaïne. Ici c'est plutôt le cliché du consanguin.
A mon sens, le problème c'est l'éducation, la précarité sociale et les drogues, dans cet ordre.
Les stats que vous présentez ne montrent pas ce que vous dites: 2x à 3x plus de délinquance de la part des étrangers (7% de la population pour 19% des actes).
Mais la notion d'incivilité a aussi beaucoup à voir avec la non intégration des personnes d'origine étrangère et de leurs enfants qui sont hors statistiques insee. Rdv dans n'importe quelle cité, les personnes présentes sont quasi toutes françaises et pour beaucoup d'origine étrangère, la déliquence y est quotidienne (un minorité impunie).
"La Cimade" ah ah . C'était drôle.
Ils sont tellement mal accueillis qu'ils veulent venir en masse. Logique hein.
Intéressant , de qui parlez-vous en parlant de consanguins ? Développez.