Les sandwichs aux fruits populaires au Japon

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Comme le dit l'anecdote, les fruits sont très chers au Japon. Vous pouvez facilement pouvoir débourser 50€ pour un melon ou 3-4 € pour une pomme... voire tripler ces prix si vous allez dans des magasins spécialisés.

En effet, les japonais ne considèrent pas les fruit comme central dans leur alimentation, privilégiant historiquement plutôt les légumes comme source de végétaux. La superficie restreinte de leur terres arables les a obligé à faire des choix culturaux. Et vu que le protectionnisme japonais n'est plus à démontrer, ils ont historiquement eu peu accès aux fruits.
.
Aussi, le fruit est considéré comme une denrée de luxe, un peu comme nous le foie gras ou le caviar. A ce titre, le consommateur japonais exige un produit très qualitatif, excellent et en plus beau. Additionné à leur rareté, cela explique ces tarifs délirants pour un européen comme nous.

La culture occidentale imprégnant peu à peu la culture japonaise, ce phénomène tend à se réduire. Mais un japonais consomme toujours environ 2 fois moins de fruits qu'un français

a écrit : Comme le dit l'anecdote, les fruits sont très chers au Japon. Vous pouvez facilement pouvoir débourser 50€ pour un melon ou 3-4 € pour une pomme... voire tripler ces prix si vous allez dans des magasins spécialisés.

En effet, les japonais ne considèrent pas les fruit comme central dans leur alimenta
tion, privilégiant historiquement plutôt les légumes comme source de végétaux. La superficie restreinte de leur terres arables les a obligé à faire des choix culturaux. Et vu que le protectionnisme japonais n'est plus à démontrer, ils ont historiquement eu peu accès aux fruits.
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Aussi, le fruit est considéré comme une denrée de luxe, un peu comme nous le foie gras ou le caviar. A ce titre, le consommateur japonais exige un produit très qualitatif, excellent et en plus beau. Additionné à leur rareté, cela explique ces tarifs délirants pour un européen comme nous.

La culture occidentale imprégnant peu à peu la culture japonaise, ce phénomène tend à se réduire. Mais un japonais consomme toujours environ 2 fois moins de fruits qu'un français
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Ne pas confondre "qualitatif" et "de bonne qualité"

a écrit : Il me semble que qualitatif veut littéralement dire « de bonne qualité » pourtant ;) Ecoute, je pensais comme toi. Sur le papier, acarus a raison car qualitatif signifie relatif a la qualité (par opposition a quantitatif). Mais comme pour beaucoup de mots, l'usage a déformé ou détourné la définition première... et ce mot est régulièrement utilisé en lieu et place de "de bonne qualité".

Donc bon usage ou mauvais usage, chacun choisira. Etant plutôt un défenseur de la langue "à l'ancienne", je choisis l'option de m'excuser et remercie acarus pour son intervention :)


Tous les commentaires (10)

Comme le dit l'anecdote, les fruits sont très chers au Japon. Vous pouvez facilement pouvoir débourser 50€ pour un melon ou 3-4 € pour une pomme... voire tripler ces prix si vous allez dans des magasins spécialisés.

En effet, les japonais ne considèrent pas les fruit comme central dans leur alimentation, privilégiant historiquement plutôt les légumes comme source de végétaux. La superficie restreinte de leur terres arables les a obligé à faire des choix culturaux. Et vu que le protectionnisme japonais n'est plus à démontrer, ils ont historiquement eu peu accès aux fruits.
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Aussi, le fruit est considéré comme une denrée de luxe, un peu comme nous le foie gras ou le caviar. A ce titre, le consommateur japonais exige un produit très qualitatif, excellent et en plus beau. Additionné à leur rareté, cela explique ces tarifs délirants pour un européen comme nous.

La culture occidentale imprégnant peu à peu la culture japonaise, ce phénomène tend à se réduire. Mais un japonais consomme toujours environ 2 fois moins de fruits qu'un français

a écrit : Comme le dit l'anecdote, les fruits sont très chers au Japon. Vous pouvez facilement pouvoir débourser 50€ pour un melon ou 3-4 € pour une pomme... voire tripler ces prix si vous allez dans des magasins spécialisés.

En effet, les japonais ne considèrent pas les fruit comme central dans leur alimenta
tion, privilégiant historiquement plutôt les légumes comme source de végétaux. La superficie restreinte de leur terres arables les a obligé à faire des choix culturaux. Et vu que le protectionnisme japonais n'est plus à démontrer, ils ont historiquement eu peu accès aux fruits.
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Aussi, le fruit est considéré comme une denrée de luxe, un peu comme nous le foie gras ou le caviar. A ce titre, le consommateur japonais exige un produit très qualitatif, excellent et en plus beau. Additionné à leur rareté, cela explique ces tarifs délirants pour un européen comme nous.

La culture occidentale imprégnant peu à peu la culture japonaise, ce phénomène tend à se réduire. Mais un japonais consomme toujours environ 2 fois moins de fruits qu'un français
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Ne pas confondre "qualitatif" et "de bonne qualité"

3-4€ la pomme, c'est vrai. Mais vu la taille de la pomme, perso, on la mange à 3 et ça nous suffit.
Ça reste quand même cher, je l'admets

a écrit : Ne pas confondre "qualitatif" et "de bonne qualité" Il me semble que qualitatif veut littéralement dire « de bonne qualité » pourtant ;)

a écrit : Il me semble que qualitatif veut littéralement dire « de bonne qualité » pourtant ;) Ecoute, je pensais comme toi. Sur le papier, acarus a raison car qualitatif signifie relatif a la qualité (par opposition a quantitatif). Mais comme pour beaucoup de mots, l'usage a déformé ou détourné la définition première... et ce mot est régulièrement utilisé en lieu et place de "de bonne qualité".

Donc bon usage ou mauvais usage, chacun choisira. Etant plutôt un défenseur de la langue "à l'ancienne", je choisis l'option de m'excuser et remercie acarus pour son intervention :)

S'ils ne commercialisent que les très beaux fruits, correspondant à tout un tas de critères, que font ils des "moches", petits, pas assez ceci ou cela ? C'est ma benne ou la confiture/compote ?

a écrit : S'ils ne commercialisent que les très beaux fruits, correspondant à tout un tas de critères, que font ils des "moches", petits, pas assez ceci ou cela ? C'est ma benne ou la confiture/compote ? J’imagine que ce genre de fruits n’est même pas sélectionné pour l’importation
Après je n’ai aucune source, donc à vérifier
D’ailleurs, avec des terrains vallonnés, c’est pas justement plus facile de planter des arbres fruitiers qui ne demandent pas un gros entretien ?

a écrit : Comme le dit l'anecdote, les fruits sont très chers au Japon. Vous pouvez facilement pouvoir débourser 50€ pour un melon ou 3-4 € pour une pomme... voire tripler ces prix si vous allez dans des magasins spécialisés.

En effet, les japonais ne considèrent pas les fruit comme central dans leur alimenta
tion, privilégiant historiquement plutôt les légumes comme source de végétaux. La superficie restreinte de leur terres arables les a obligé à faire des choix culturaux. Et vu que le protectionnisme japonais n'est plus à démontrer, ils ont historiquement eu peu accès aux fruits.
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Aussi, le fruit est considéré comme une denrée de luxe, un peu comme nous le foie gras ou le caviar. A ce titre, le consommateur japonais exige un produit très qualitatif, excellent et en plus beau. Additionné à leur rareté, cela explique ces tarifs délirants pour un européen comme nous.

La culture occidentale imprégnant peu à peu la culture japonaise, ce phénomène tend à se réduire. Mais un japonais consomme toujours environ 2 fois moins de fruits qu'un français
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Un pays qui produit des pastèques carrées n'a pas le même rapport aux fruits.

a écrit : Un pays qui produit des pastèques carrées n'a pas le même rapport aux fruits. Pour autant que je sache, le fait de contraindre les pastèques à pousser dans des « moules » cubiques est simplement un moyen d’en optimiser le transport (pas de volume perdu quand on associe des cubes, contrairement à des sphères :))

a écrit : Pour autant que je sache, le fait de contraindre les pastèques à pousser dans des « moules » cubiques est simplement un moyen d’en optimiser le transport (pas de volume perdu quand on associe des cubes, contrairement à des sphères :)) Pas vraiment, c'est avant tout un objectif esthétique. D'ailleurs, il me semble que ces pastèques, même si elles sont comestibles, sont avant tout destinées à être offertes et non consommées.
Cela me semble logique car elles doivent être cueillies avant maturité, pour éviter le risque d'éclatement du fait de la contrainte non uniforme. Sachant que cette tranche de la population cherche des fruits excellents, je les vois mal consommer un fruit cueilli vert.
Je crois que certains membres de la communauté y vivent ou y ont vécu. S'ils ont des infos à ce sujet, je serai curieux.

Il est vrai qu'une pastèque carrée est plus facile à transporter. Mais l'export est si limité et les tarifs tellement importants que le transport n'est plus vraiment un problème.
Et pour info, ils développent des pastèques pyramidales, ce qui prouverait qu'ils recherchent avant tout l'optimisation financière ^^