L'Institut Le Rosey est très select

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L'Institut Le Rosey est une école privée internationale en Suisse, connue comme "l'école des rois". Considérée comme l'école la plus chère du monde (une année y coûte plus de 100 000 euros), elle offre un enseignement élitiste dans un environnement privilégié, prisée des monarques et des stars.

L'école a entre autres accueilli Albert II, Rainier III, Juan Carlos Ier ou Dodi Al-Fayed, mais aussi Joe Dassin, Alain-Fabien Delon, Sean Lennon et Nelson Monfort !


Commentaires préférés (3)

Pas plus de 10% d'élève avec la même langue maternelle. 100% bilingue dans les cours (franco-anglais). 25 langues enseignées. 30 professeurs de musiques différents couvrant l'intégralité des instruments symphonique. 22 profs de sports. Un "directeur de la nature" qui leur fait découvrir la nature via des activités genre l'alpinisme.
Ils ont même un campus d'hiver où ils passent les après midi à skier.

Ca a l'air sympa quand même.

a écrit : Ça reste une école (je déteste l'école) et qui plus est un pensionnat. 10 élèves par classe dans un contexte multiculturel poussé à l'extrême et avec un large choix d'activités toutes autant importantes que les matières enseignées, on est tout de même bien loin du contexte scolaire classique.

Je peux imaginer que les élèves ont un cursus personnalisé qui leur font développer des compétences propres à eux, un peu à la manière de ce que l'on voit dans les écoles Freinet ou en pédagogie institutionnelle, bien que cet institut ne semble pas se revendiquer de ces courants.

a écrit : À l'autre "extrémité"...

18 millions d'enfants n'ont pas accès à l'enseignement scolaire basique, dans les 10 Pays/États/Nations où le taux de non scolarisation est le plus élevé au monde.
En tête : le Libéria, où les 2/3 des enfants n'ont pas accès à la scolari
té.

Vous êtes tous et toutes allés à l'école et au collège, où ne vous a pas échappé le fait qu'il y a les cracks, ceux du lot de la moyenne... Et les cancres.
... Et je n'ai aucun doute qu'au Libéria, au Soudan du Sud, en Afghanistan, au Niger, etc... Le même schéma se présente/présenterait, ....s'ils en avaient la possibilité.

Pardon, mais combien de ces 18 millions d'enfants seraient enchantés de pouvoir aller "user leur fond de culotte" sur les bancs d'une classe, si seulement leurs parents possédaient ne serait-ce qu'un centième ou millième de cet somme de 100 à 132 000 € annuels, pour leur payer des études élémentaires ou supérieures.

Je n'ai d'ailleurs aucun doute que dans ces pays du Tiers Monde, il y a aussi leur lot de cancres, de "la moyenne" ....et de cracks, qui ont autant, -voire plus ! - à offrir à leur pays où au monde, que ces "fils et filles de", supposément bien formés, grâce au compte en banque de papa ou/et maman.

(Désolé pour ce "coup de gueule".)
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Comment ne pas être d'accord... mais dans le même temps, de quelle manière cela concerne-t-il cet institut?

On parles certes d'écoles mais à ramener ça à la situation de certains pays, ça me laisse le même goût que quand on parle de faim dans le monde dès qu'une anecdote mentionne certaines sommes d'argent.

Alors ok, l'état de l'éducation dans certains pays est catastrophique. Et pis quoi, on envoie de l'argent et... et quoi? Il se passe quoi derrière?
Les infrastructures, c'est une chose mais les enseignants, ça en est déjà une autre - ces pays disposent-ils de suffisamment d'enseignants qualifiés? - et puis il y a les plans de formation, encore une autre histoire. Parce que bon, si le premier volontaire peut faire son prêche sans aucun contrôle en étant subventionné, autant dire qu'on n'est pas sorti de la m...

Appliquer les plans occidentaux... mauvaise idée. J'avais étudié le cas du Bengale à l'époque de l'occupation britannique, l'instruction conférée par ces derniers n'était bonne qu'à former de parfaits fonctionnaires (sans parler du fait que les cours étaient en anglais) et n'était donc en rien adaptée au quotidien des populations locales et rurales. L'école doit être pensée par et pour les habitants du pays, pour les populations rurales, sans quoi les problèmes de manque d'éducation scolaire ne peuvent être résolus.

Pour ma part, si j'étais riche et que j'avais des enfants (accessoirement...), il ne fait aucun doute que je chercherais à leur donner la meilleure éducation possible. Je considérerais ceci comme le meilleur investissement que je puisse faire...
Les écoles publiques font d'énormes progrès, c'est indéniable. Mais voilà, si j'ai le choix entre des classes de 10 élèves ou de 20 (en Suisse, je sais qu'en France, c'est encore une autre histoire), bah je n'hésite pas trop longtemps. Ce qui me ferait réfléchir à deux fois serait plutôt le fait que ce sont des pensionnats mais apparemment, ils sont aussi pensés pour permettre un contact avec les parents, du peu que j'ai vu...


Tous les commentaires (31)

Pas plus de 10% d'élève avec la même langue maternelle. 100% bilingue dans les cours (franco-anglais). 25 langues enseignées. 30 professeurs de musiques différents couvrant l'intégralité des instruments symphonique. 22 profs de sports. Un "directeur de la nature" qui leur fait découvrir la nature via des activités genre l'alpinisme.
Ils ont même un campus d'hiver où ils passent les après midi à skier.

Ca a l'air sympa quand même.

Ça reste une école (je déteste l'école) et qui plus est un pensionnat.

a écrit : Ça reste une école (je déteste l'école) et qui plus est un pensionnat. 10 élèves par classe dans un contexte multiculturel poussé à l'extrême et avec un large choix d'activités toutes autant importantes que les matières enseignées, on est tout de même bien loin du contexte scolaire classique.

Je peux imaginer que les élèves ont un cursus personnalisé qui leur font développer des compétences propres à eux, un peu à la manière de ce que l'on voit dans les écoles Freinet ou en pédagogie institutionnelle, bien que cet institut ne semble pas se revendiquer de ces courants.

À l'autre "extrémité"...

18 millions d'enfants n'ont pas accès à l'enseignement scolaire basique, dans les 10 Pays/États/Nations où le taux de non scolarisation est le plus élevé au monde.
En tête : le Libéria, où les 2/3 des enfants n'ont pas accès à la scolarité.

Vous êtes tous et toutes allés à l'école et au collège, où ne vous a pas échappé le fait qu'il y a les cracks, ceux du lot de la moyenne... Et les cancres.
... Et je n'ai aucun doute qu'au Libéria, au Soudan du Sud, en Afghanistan, au Niger, etc... Le même schéma se présente/présenterait, ....s'ils en avaient la possibilité.

Pardon, mais combien de ces 18 millions d'enfants seraient enchantés de pouvoir aller "user leur fond de culotte" sur les bancs d'une classe, si seulement leurs parents possédaient ne serait-ce qu'un centième ou millième de cet somme de 100 à 132 000 € annuels, pour leur payer des études élémentaires ou supérieures.

Je n'ai d'ailleurs aucun doute que dans ces pays du Tiers Monde, il y a aussi leur lot de cancres, de "la moyenne" ....et de cracks, qui ont autant, -voire plus ! - à offrir à leur pays où au monde, que ces "fils et filles de", supposément bien formés, grâce au compte en banque de papa ou/et maman.

(Désolé pour ce "coup de gueule".)

a écrit : À l'autre "extrémité"...

18 millions d'enfants n'ont pas accès à l'enseignement scolaire basique, dans les 10 Pays/États/Nations où le taux de non scolarisation est le plus élevé au monde.
En tête : le Libéria, où les 2/3 des enfants n'ont pas accès à la scolari
té.

Vous êtes tous et toutes allés à l'école et au collège, où ne vous a pas échappé le fait qu'il y a les cracks, ceux du lot de la moyenne... Et les cancres.
... Et je n'ai aucun doute qu'au Libéria, au Soudan du Sud, en Afghanistan, au Niger, etc... Le même schéma se présente/présenterait, ....s'ils en avaient la possibilité.

Pardon, mais combien de ces 18 millions d'enfants seraient enchantés de pouvoir aller "user leur fond de culotte" sur les bancs d'une classe, si seulement leurs parents possédaient ne serait-ce qu'un centième ou millième de cet somme de 100 à 132 000 € annuels, pour leur payer des études élémentaires ou supérieures.

Je n'ai d'ailleurs aucun doute que dans ces pays du Tiers Monde, il y a aussi leur lot de cancres, de "la moyenne" ....et de cracks, qui ont autant, -voire plus ! - à offrir à leur pays où au monde, que ces "fils et filles de", supposément bien formés, grâce au compte en banque de papa ou/et maman.

(Désolé pour ce "coup de gueule".)
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Pour cela, le monde doit prendre conscience que nous ne formons qu' une entité avec tout ce qui nous entoure et ainsi, partager les richesses quelles qu' elles soient . . . Le problème avec l' humain, c' est qui est c.n ! ;-)

a écrit : À l'autre "extrémité"...

18 millions d'enfants n'ont pas accès à l'enseignement scolaire basique, dans les 10 Pays/États/Nations où le taux de non scolarisation est le plus élevé au monde.
En tête : le Libéria, où les 2/3 des enfants n'ont pas accès à la scolari
té.

Vous êtes tous et toutes allés à l'école et au collège, où ne vous a pas échappé le fait qu'il y a les cracks, ceux du lot de la moyenne... Et les cancres.
... Et je n'ai aucun doute qu'au Libéria, au Soudan du Sud, en Afghanistan, au Niger, etc... Le même schéma se présente/présenterait, ....s'ils en avaient la possibilité.

Pardon, mais combien de ces 18 millions d'enfants seraient enchantés de pouvoir aller "user leur fond de culotte" sur les bancs d'une classe, si seulement leurs parents possédaient ne serait-ce qu'un centième ou millième de cet somme de 100 à 132 000 € annuels, pour leur payer des études élémentaires ou supérieures.

Je n'ai d'ailleurs aucun doute que dans ces pays du Tiers Monde, il y a aussi leur lot de cancres, de "la moyenne" ....et de cracks, qui ont autant, -voire plus ! - à offrir à leur pays où au monde, que ces "fils et filles de", supposément bien formés, grâce au compte en banque de papa ou/et maman.

(Désolé pour ce "coup de gueule".)
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Comment ne pas être d'accord... mais dans le même temps, de quelle manière cela concerne-t-il cet institut?

On parles certes d'écoles mais à ramener ça à la situation de certains pays, ça me laisse le même goût que quand on parle de faim dans le monde dès qu'une anecdote mentionne certaines sommes d'argent.

Alors ok, l'état de l'éducation dans certains pays est catastrophique. Et pis quoi, on envoie de l'argent et... et quoi? Il se passe quoi derrière?
Les infrastructures, c'est une chose mais les enseignants, ça en est déjà une autre - ces pays disposent-ils de suffisamment d'enseignants qualifiés? - et puis il y a les plans de formation, encore une autre histoire. Parce que bon, si le premier volontaire peut faire son prêche sans aucun contrôle en étant subventionné, autant dire qu'on n'est pas sorti de la m...

Appliquer les plans occidentaux... mauvaise idée. J'avais étudié le cas du Bengale à l'époque de l'occupation britannique, l'instruction conférée par ces derniers n'était bonne qu'à former de parfaits fonctionnaires (sans parler du fait que les cours étaient en anglais) et n'était donc en rien adaptée au quotidien des populations locales et rurales. L'école doit être pensée par et pour les habitants du pays, pour les populations rurales, sans quoi les problèmes de manque d'éducation scolaire ne peuvent être résolus.

Pour ma part, si j'étais riche et que j'avais des enfants (accessoirement...), il ne fait aucun doute que je chercherais à leur donner la meilleure éducation possible. Je considérerais ceci comme le meilleur investissement que je puisse faire...
Les écoles publiques font d'énormes progrès, c'est indéniable. Mais voilà, si j'ai le choix entre des classes de 10 élèves ou de 20 (en Suisse, je sais qu'en France, c'est encore une autre histoire), bah je n'hésite pas trop longtemps. Ce qui me ferait réfléchir à deux fois serait plutôt le fait que ce sont des pensionnats mais apparemment, ils sont aussi pensés pour permettre un contact avec les parents, du peu que j'ai vu...

Ce genre d’école élitiste est prévu pour donner une bonne éducation, c’est sûr. Mais c’est aussi et surtout un moyen de se faire un très bon réseau. Vous envoyez votre gamin là-bas et quand il aura un souci plus tard, il pourra toujours appeler ses potes de lycée, qui seront devenus ministres, juges, industriels milliardaires, banquiers, etc…
C’est tout l’intérêt de la combine.

Et pourquoi ne pas faire cette école en France ?

a écrit : Et pourquoi ne pas faire cette école en France ? Ou en Italie ? Ou en Espagne ? Ou en Angleterre ? Ou en Allemagne ? Ou en Hongrie ? Ou en Belgique ? Ou en Irlande ? Ou en Mongolie ? Ou au Portugal ?

a écrit : Comment ne pas être d'accord... mais dans le même temps, de quelle manière cela concerne-t-il cet institut?

On parles certes d'écoles mais à ramener ça à la situation de certains pays, ça me laisse le même goût que quand on parle de faim dans le monde dès qu'une anecdote mentionne certaines
sommes d'argent.

Alors ok, l'état de l'éducation dans certains pays est catastrophique. Et pis quoi, on envoie de l'argent et... et quoi? Il se passe quoi derrière?
Les infrastructures, c'est une chose mais les enseignants, ça en est déjà une autre - ces pays disposent-ils de suffisamment d'enseignants qualifiés? - et puis il y a les plans de formation, encore une autre histoire. Parce que bon, si le premier volontaire peut faire son prêche sans aucun contrôle en étant subventionné, autant dire qu'on n'est pas sorti de la m...

Appliquer les plans occidentaux... mauvaise idée. J'avais étudié le cas du Bengale à l'époque de l'occupation britannique, l'instruction conférée par ces derniers n'était bonne qu'à former de parfaits fonctionnaires (sans parler du fait que les cours étaient en anglais) et n'était donc en rien adaptée au quotidien des populations locales et rurales. L'école doit être pensée par et pour les habitants du pays, pour les populations rurales, sans quoi les problèmes de manque d'éducation scolaire ne peuvent être résolus.

Pour ma part, si j'étais riche et que j'avais des enfants (accessoirement...), il ne fait aucun doute que je chercherais à leur donner la meilleure éducation possible. Je considérerais ceci comme le meilleur investissement que je puisse faire...
Les écoles publiques font d'énormes progrès, c'est indéniable. Mais voilà, si j'ai le choix entre des classes de 10 élèves ou de 20 (en Suisse, je sais qu'en France, c'est encore une autre histoire), bah je n'hésite pas trop longtemps. Ce qui me ferait réfléchir à deux fois serait plutôt le fait que ce sont des pensionnats mais apparemment, ils sont aussi pensés pour permettre un contact avec les parents, du peu que j'ai vu...
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Bien sûr que l'immense majorité des parents aimeraient donner le meilleur enseignement scolaire possible à leurs enfants.

Ce qui me choque dans le cas décrit dans cette anecdote, c'est que le compte en banque de papa et maman, est l'un des critères importants pour pouvoir y accéder, tout comme celui d'être "le fils ou la fille de".
Est-ce que ces deux critères sont la garantie que votre fils ou votre fille, sera dans le futur, un crack de la finance, du commerce international ou de je-ne-sais-quoi ?
Bien sûr que non !

" À l'autre extrémité " (voilà pourquoi je l'ai écrit en introduction), il y aura des enfants avec des capacités d'apprentissage hors du commun.... Mais qui ne pourront jamais caresser l'espoir d'entrer dans un école élémentaire, élitiste ou communale que ce soit, car papa et maman n'ont pas même les ressources financières pour leur payer un cahier, quelques stylos et une boîte de crayons de couleurs.

Me revient continuellement à l'esprit, depuis ce matin, l'injuste histoire de Adhara, une jeune Mexicaine de 11 ans, au QI hors du commun. (162, plus que Einstein ou Stephen Hawking )
Ses parents n'ont pas "des mille et des cents" pour pouvoir lui payer des études universitaires aux États-Unis et s'y établir, bien qu'elle a tout le potentiel pour obtenir un diplôme dans le domaine de l'Astrophysique, car son but est de devenir astronaute.

Est-il donc si difficile de comprendre que pour tout l'argent que vous possédez et l'illustre nom de famille que vous portez, ceci ne fera pas pour autant de votre progéniture, le ou la génie qui marquera le 21eme siècle.
Voilà ce à quoi, je voulais arriver.

a écrit : Bien sûr que l'immense majorité des parents aimeraient donner le meilleur enseignement scolaire possible à leurs enfants.

Ce qui me choque dans le cas décrit dans cette anecdote, c'est que le compte en banque de papa et maman, est l'un des critères importants pour pouvoir y accéder, tout c
omme celui d'être "le fils ou la fille de".
Est-ce que ces deux critères sont la garantie que votre fils ou votre fille, sera dans le futur, un crack de la finance, du commerce international ou de je-ne-sais-quoi ?
Bien sûr que non !

" À l'autre extrémité " (voilà pourquoi je l'ai écrit en introduction), il y aura des enfants avec des capacités d'apprentissage hors du commun.... Mais qui ne pourront jamais caresser l'espoir d'entrer dans un école élémentaire, élitiste ou communale que ce soit, car papa et maman n'ont pas même les ressources financières pour leur payer un cahier, quelques stylos et une boîte de crayons de couleurs.

Me revient continuellement à l'esprit, depuis ce matin, l'injuste histoire de Adhara, une jeune Mexicaine de 11 ans, au QI hors du commun. (162, plus que Einstein ou Stephen Hawking )
Ses parents n'ont pas "des mille et des cents" pour pouvoir lui payer des études universitaires aux États-Unis et s'y établir, bien qu'elle a tout le potentiel pour obtenir un diplôme dans le domaine de l'Astrophysique, car son but est de devenir astronaute.

Est-il donc si difficile de comprendre que pour tout l'argent que vous possédez et l'illustre nom de famille que vous portez, ceci ne fera pas pour autant de votre progéniture, le ou la génie qui marquera le 21eme siècle.
Voilà ce à quoi, je voulais arriver.
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en fait, il y a un juste milieu, ce n'est pas l'argent qui fera réussir, mais ca y contribue.
Un gosse de riche pourra rester égal à lui-même même si on lui paye la meilleure éducation de la galaxie, comme D. Trump qui est persuadé d'être le centre de l'univers alors que ce clown a fait faillite trois fois, mais effectivement, un gosse pauvre plein de promesses ne pourra pas s'élever sans une éducation minimum, sans avoir un minimum de soutien des adultes.

J'ai un exemple fictif que j'aime bien, Malcolm, c'est un génie, dans le dernier épisode, sa famille lui explique que vu qu'ils sont modestes, il va devoir en chier deux fois plus que les autres et qu'il deviendra président...
-Regarde moi dans les yeux et dis moi que tu t'en sens pas capable!
-Heuuu ...
Mais lui, il a recu une éducation correcte, pas élitiste, juste correcte et effectivement, des gens qui n'ont pas eu cette chance, il y en a certainement beaucoup.

Pour en revenir à ton point de vue, ce n'est pas pour rien que les riches des pays pauvres envoient leurs gosses étudier en Suisse, Kim Jong Un a étudié en Suisse, et dans le genre, pardonnez l'expression, FDP complètement déconnecté de son peuple qu'il maintient dans l'esclavage et la terreur, ce type prouve qu'une haute éducation ne fait pas tout. Ca ouvre juste des portes (le fameux réseau, comme dit plus haut, très juste!!!)
J'aimerai pas être à sa place en tout cas. ^^

Un jour, mon père m'a engueulé, j'étais au lycée, il m'a dit: Mais si tu te sortais un peu les doigts, tu pourrais faire ce que tu veux!
J'avais pas de répartie à l'époque (mais je courrais plus vite que lui^^), mais si j'en avais eu suffisamment pour lui tenir tête, je lui aurai répondu: Beh tout va bien, je veux rien foutre! (et c'est la vérité ;) )

L'éducation, c'est important, mais on vis dans un monde injuste, quand je vois des gosses dans des pays pauvres qui se tapent 4 heures de marche par jour pour aller à l'école, je dis: respect!!!, moi j'y allais contraint et forcé, avec du recul, c'est nul. ^^

PS 1) Pourquoi ca s'appelle un "institut"?
PS 2) Pourquoi ce coup de gueule? Je sens que t'en a gros sur le cœur, me trompes-je?

a écrit : Bien sûr que l'immense majorité des parents aimeraient donner le meilleur enseignement scolaire possible à leurs enfants.

Ce qui me choque dans le cas décrit dans cette anecdote, c'est que le compte en banque de papa et maman, est l'un des critères importants pour pouvoir y accéder, tout c
omme celui d'être "le fils ou la fille de".
Est-ce que ces deux critères sont la garantie que votre fils ou votre fille, sera dans le futur, un crack de la finance, du commerce international ou de je-ne-sais-quoi ?
Bien sûr que non !

" À l'autre extrémité " (voilà pourquoi je l'ai écrit en introduction), il y aura des enfants avec des capacités d'apprentissage hors du commun.... Mais qui ne pourront jamais caresser l'espoir d'entrer dans un école élémentaire, élitiste ou communale que ce soit, car papa et maman n'ont pas même les ressources financières pour leur payer un cahier, quelques stylos et une boîte de crayons de couleurs.

Me revient continuellement à l'esprit, depuis ce matin, l'injuste histoire de Adhara, une jeune Mexicaine de 11 ans, au QI hors du commun. (162, plus que Einstein ou Stephen Hawking )
Ses parents n'ont pas "des mille et des cents" pour pouvoir lui payer des études universitaires aux États-Unis et s'y établir, bien qu'elle a tout le potentiel pour obtenir un diplôme dans le domaine de l'Astrophysique, car son but est de devenir astronaute.

Est-il donc si difficile de comprendre que pour tout l'argent que vous possédez et l'illustre nom de famille que vous portez, ceci ne fera pas pour autant de votre progéniture, le ou la génie qui marquera le 21eme siècle.
Voilà ce à quoi, je voulais arriver.
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Tu as oublié de citer comme injustice les victimes de la famine et qui auraient aussi peut-être été de bons élèves s'ils avaient eu non seulement accès à l'école mais aussi à la nourriture. La vie des pauvres est vraiment difficile et c'est trop injuste.

a écrit : Bien sûr que l'immense majorité des parents aimeraient donner le meilleur enseignement scolaire possible à leurs enfants.

Ce qui me choque dans le cas décrit dans cette anecdote, c'est que le compte en banque de papa et maman, est l'un des critères importants pour pouvoir y accéder, tout c
omme celui d'être "le fils ou la fille de".
Est-ce que ces deux critères sont la garantie que votre fils ou votre fille, sera dans le futur, un crack de la finance, du commerce international ou de je-ne-sais-quoi ?
Bien sûr que non !

" À l'autre extrémité " (voilà pourquoi je l'ai écrit en introduction), il y aura des enfants avec des capacités d'apprentissage hors du commun.... Mais qui ne pourront jamais caresser l'espoir d'entrer dans un école élémentaire, élitiste ou communale que ce soit, car papa et maman n'ont pas même les ressources financières pour leur payer un cahier, quelques stylos et une boîte de crayons de couleurs.

Me revient continuellement à l'esprit, depuis ce matin, l'injuste histoire de Adhara, une jeune Mexicaine de 11 ans, au QI hors du commun. (162, plus que Einstein ou Stephen Hawking )
Ses parents n'ont pas "des mille et des cents" pour pouvoir lui payer des études universitaires aux États-Unis et s'y établir, bien qu'elle a tout le potentiel pour obtenir un diplôme dans le domaine de l'Astrophysique, car son but est de devenir astronaute.

Est-il donc si difficile de comprendre que pour tout l'argent que vous possédez et l'illustre nom de famille que vous portez, ceci ne fera pas pour autant de votre progéniture, le ou la génie qui marquera le 21eme siècle.
Voilà ce à quoi, je voulais arriver.
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Comme j'ai compris les choses, l'Institut propose bien plus qu'une "simple" scolarisation ; ceci devrait répondre à @nicolasoupa par la même occasion...
Le premier commentaire a souligné qu'un enseignement en musique pour tous les instruments d'une formation symphonique est proposé. Rien que ceci fait que l'Institut est une école mais aussi un conservatoire.
Et puis, en allant sur leur page internet, on en voit encore bien davantage: il y a une saison de concerts sur place.

Regarde aussi sur leur page internet et notamment les offres d'emploi:
Recherche:
- professeur de khmer / swahili / hébreu / thaïlandais...
De plus, les élèves vivent en pensionnat... mais les enseignants (et leur famille) aussi et eux n'ont logiquement pas à payer.

J'en oublie tout le reste, notamment au niveau des activités sportives... Cet institut concentre tout ce qui serait du domaine de l'extrascolaire pour nous autres, c'est aussi une institution culturelle et multiculturelle, j'aurais presque tendance à parler d'un genre de modèle réduit d'une société avec une plus grande ouverture sur le monde.

Le prix s'explique donc par cette grande concentration de savoirs et d'activités.

Maintenant, si l'on se situe dans les classes plus modestes, faut pas non plus dramatiser: nos enfants peuvent aussi prendre des cours au conservatoire de musique ou des cours de langue s'ils le souhaitent et sans que ça nous coûte un bras - bon, pour le swahili, faudra bien creuser j'imagine ^^

Alors oui, l'histoire que tu mentionnes est dramatique... Par contre, les parents n'ont pas des mille et cents mais dans ce type de cas, l'Etat devrait se mouiller un peu, cette famille bénéficie-t'elle d'un soutien?
Certes, un soutien étatique ne peut concerner que des cas exceptionnels et c'est là tout le malheur au final: que la plus simple éducation soit hors de portée de certains. On en revient à mon précédent commentaire.

a écrit : À l'autre "extrémité"...

18 millions d'enfants n'ont pas accès à l'enseignement scolaire basique, dans les 10 Pays/États/Nations où le taux de non scolarisation est le plus élevé au monde.
En tête : le Libéria, où les 2/3 des enfants n'ont pas accès à la scolari
té.

Vous êtes tous et toutes allés à l'école et au collège, où ne vous a pas échappé le fait qu'il y a les cracks, ceux du lot de la moyenne... Et les cancres.
... Et je n'ai aucun doute qu'au Libéria, au Soudan du Sud, en Afghanistan, au Niger, etc... Le même schéma se présente/présenterait, ....s'ils en avaient la possibilité.

Pardon, mais combien de ces 18 millions d'enfants seraient enchantés de pouvoir aller "user leur fond de culotte" sur les bancs d'une classe, si seulement leurs parents possédaient ne serait-ce qu'un centième ou millième de cet somme de 100 à 132 000 € annuels, pour leur payer des études élémentaires ou supérieures.

Je n'ai d'ailleurs aucun doute que dans ces pays du Tiers Monde, il y a aussi leur lot de cancres, de "la moyenne" ....et de cracks, qui ont autant, -voire plus ! - à offrir à leur pays où au monde, que ces "fils et filles de", supposément bien formés, grâce au compte en banque de papa ou/et maman.

(Désolé pour ce "coup de gueule".)
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Bienvenue dans la découverte du Darwinisme social...

a écrit : Comment ne pas être d'accord... mais dans le même temps, de quelle manière cela concerne-t-il cet institut?

On parles certes d'écoles mais à ramener ça à la situation de certains pays, ça me laisse le même goût que quand on parle de faim dans le monde dès qu'une anecdote mentionne certaines
sommes d'argent.

Alors ok, l'état de l'éducation dans certains pays est catastrophique. Et pis quoi, on envoie de l'argent et... et quoi? Il se passe quoi derrière?
Les infrastructures, c'est une chose mais les enseignants, ça en est déjà une autre - ces pays disposent-ils de suffisamment d'enseignants qualifiés? - et puis il y a les plans de formation, encore une autre histoire. Parce que bon, si le premier volontaire peut faire son prêche sans aucun contrôle en étant subventionné, autant dire qu'on n'est pas sorti de la m...

Appliquer les plans occidentaux... mauvaise idée. J'avais étudié le cas du Bengale à l'époque de l'occupation britannique, l'instruction conférée par ces derniers n'était bonne qu'à former de parfaits fonctionnaires (sans parler du fait que les cours étaient en anglais) et n'était donc en rien adaptée au quotidien des populations locales et rurales. L'école doit être pensée par et pour les habitants du pays, pour les populations rurales, sans quoi les problèmes de manque d'éducation scolaire ne peuvent être résolus.

Pour ma part, si j'étais riche et que j'avais des enfants (accessoirement...), il ne fait aucun doute que je chercherais à leur donner la meilleure éducation possible. Je considérerais ceci comme le meilleur investissement que je puisse faire...
Les écoles publiques font d'énormes progrès, c'est indéniable. Mais voilà, si j'ai le choix entre des classes de 10 élèves ou de 20 (en Suisse, je sais qu'en France, c'est encore une autre histoire), bah je n'hésite pas trop longtemps. Ce qui me ferait réfléchir à deux fois serait plutôt le fait que ce sont des pensionnats mais apparemment, ils sont aussi pensés pour permettre un contact avec les parents, du peu que j'ai vu...
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Qu'est-ce que ces élèves connaîtront de la "vraie" vie ??? Rester entre soi ne permet pas vraiment les relations sociales avec la majorité des gens et conduit régulièrement à se sentir différent voire, en tant qu'enfant de dirigeants, supérieur au vulgus pecum... Si les "cracks" peuvent en avoir conscience, quid des "cancres"...

a écrit : Comme j'ai compris les choses, l'Institut propose bien plus qu'une "simple" scolarisation ; ceci devrait répondre à @nicolasoupa par la même occasion...
Le premier commentaire a souligné qu'un enseignement en musique pour tous les instruments d'une formation symphonique est prop
osé. Rien que ceci fait que l'Institut est une école mais aussi un conservatoire.
Et puis, en allant sur leur page internet, on en voit encore bien davantage: il y a une saison de concerts sur place.

Regarde aussi sur leur page internet et notamment les offres d'emploi:
Recherche:
- professeur de khmer / swahili / hébreu / thaïlandais...
De plus, les élèves vivent en pensionnat... mais les enseignants (et leur famille) aussi et eux n'ont logiquement pas à payer.

J'en oublie tout le reste, notamment au niveau des activités sportives... Cet institut concentre tout ce qui serait du domaine de l'extrascolaire pour nous autres, c'est aussi une institution culturelle et multiculturelle, j'aurais presque tendance à parler d'un genre de modèle réduit d'une société avec une plus grande ouverture sur le monde.

Le prix s'explique donc par cette grande concentration de savoirs et d'activités.

Maintenant, si l'on se situe dans les classes plus modestes, faut pas non plus dramatiser: nos enfants peuvent aussi prendre des cours au conservatoire de musique ou des cours de langue s'ils le souhaitent et sans que ça nous coûte un bras - bon, pour le swahili, faudra bien creuser j'imagine ^^

Alors oui, l'histoire que tu mentionnes est dramatique... Par contre, les parents n'ont pas des mille et cents mais dans ce type de cas, l'Etat devrait se mouiller un peu, cette famille bénéficie-t'elle d'un soutien?
Certes, un soutien étatique ne peut concerner que des cas exceptionnels et c'est là tout le malheur au final: que la plus simple éducation soit hors de portée de certains. On en revient à mon précédent commentaire.
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Cet institut ouvre sur le monde... des riches (du moins, de leurs équivalents). Les élèves étudieront des civilisations différentes, mais ne les vivront jamais. Ils ne sauront jamais ce qu'éprouvent les personnes qui sont à l'autre bout de la chaîne sociale, mais ils les dirigeront. Ils ne connaîtront réellement (pour la grande majorité) que ce qu'ils vivront entre eux, sans savoir comment vit le reste du monde. Donc, niveau ouverture d'esprit, je considère cela un peu limite, quand même...

Pour ce qui se pose la question de pourquoi on mes ses enfants la-bas, ce n’est pas que pour l’éducation mais c’est surtout pour les contacts le réseaux et aussi pour les alumni de l’école. Au Rosey il forme une communauté très soudée et l’école fait des événements avec de grand artiste pour faire revenir ses alumni et se mettre en contact les in les autres.

a écrit : Qu'est-ce que ces élèves connaîtront de la "vraie" vie ??? Rester entre soi ne permet pas vraiment les relations sociales avec la majorité des gens et conduit régulièrement à se sentir différent voire, en tant qu'enfant de dirigeants, supérieur au vulgus pecum... Si les "cracks" peuvent en avoir conscience, quid des "cancres"... Afficher tout Concernant la dernière phrase, il faut considérer qu'on sort justement d'un contexte avec un tiers de bons, un tiers de moyens et un tiers de mauvais par classe - la fameuse constante macabre qui a fait l'objet d'une anecdote.
Cette constante est induite par un système scolaire compétitif à base de comparaison de résultats des uns avec les autres et rien ne dit qu'ils fonctionnent effectivement de cette manière dans cet institut. Je pencherais justement pour un système éducatif bien plus moderne où les résultats sont sont anonymes et surtout, au service des apprentissages.

Et donc, il y aura toujours des enfants mal intégrés comme Alain-Fabien Delon, expulsé après une année pour son comportement mais je suppose que globalement, cette constante sera bien moins présente.

a écrit : Cet institut ouvre sur le monde... des riches (du moins, de leurs équivalents). Les élèves étudieront des civilisations différentes, mais ne les vivront jamais. Ils ne sauront jamais ce qu'éprouvent les personnes qui sont à l'autre bout de la chaîne sociale, mais ils les dirigeront. Ils ne connaîtront réellement (pour la grande majorité) que ce qu'ils vivront entre eux, sans savoir comment vit le reste du monde. Donc, niveau ouverture d'esprit, je considère cela un peu limite, quand même... Afficher tout Et à ce sujet, oui, mais...

Le plan de formation comprend une assemblée de toute l'école avant le dîner (on est en Suisse, je parle donc du repas de midi) qui sert d'instant de réflexion, de débat etc., le tout portant notamment sur des thèmes sociétaux.

Et puis, je copie leur site dans la partie intitulée Service à la communauté:

" Les Roséens sont privilégiés. Ils sont appelés à partager avec les autres, à leur offrir du temps, de l’imagination, de l’énergie. Des actions locales et des voyages à but humanitaire parmi les pays les plus pauvres font partie de leur éducation humaniste. "

Il y a donc bel et bien une forte sensibilisation à ces sujets. Est-ce que ça vaut le fait de passer ses études aux côtés d'élèves dont les parents n'ont pas de quoi payer le loyer, je ne peux pas dire...

Pour moi finalement, le sujet le plus sensible serait le cas justement de ces pays mentionnés par Epoxy, où l'élite préfère envoyer ses enfants à l'autre bout du monde, dans un contexte complètement étranger à la situation locale.
Mais en même temps, crois-tu qu'un représentant libérien, saoudien et j'en passe aurait droit à une éducation humaniste qui les sensibiliserait à ces thèmes sociétaux dans leur propre pays?
Mon avis: dans leur pays, l'éducation dont ils bénéficieraient serait encore largement plus déconnectée du quotidien des gens des classes moyennes ou pauvres car bien évidemment, ils ne fréquenteraient pas l'école publique, en admettant qu'il y en ait une.

La Suisse a cet avantage d'avoir une forte tradition humanitaire, laquelle touche donc également ces écoles pour les riches.

a écrit : Et à ce sujet, oui, mais...

Le plan de formation comprend une assemblée de toute l'école avant le dîner (on est en Suisse, je parle donc du repas de midi) qui sert d'instant de réflexion, de débat etc., le tout portant notamment sur des thèmes sociétaux.

Et puis, je copie leur site
dans la partie intitulée Service à la communauté:

" Les Roséens sont privilégiés. Ils sont appelés à partager avec les autres, à leur offrir du temps, de l’imagination, de l’énergie. Des actions locales et des voyages à but humanitaire parmi les pays les plus pauvres font partie de leur éducation humaniste. "

Il y a donc bel et bien une forte sensibilisation à ces sujets. Est-ce que ça vaut le fait de passer ses études aux côtés d'élèves dont les parents n'ont pas de quoi payer le loyer, je ne peux pas dire...

Pour moi finalement, le sujet le plus sensible serait le cas justement de ces pays mentionnés par Epoxy, où l'élite préfère envoyer ses enfants à l'autre bout du monde, dans un contexte complètement étranger à la situation locale.
Mais en même temps, crois-tu qu'un représentant libérien, saoudien et j'en passe aurait droit à une éducation humaniste qui les sensibiliserait à ces thèmes sociétaux dans leur propre pays?
Mon avis: dans leur pays, l'éducation dont ils bénéficieraient serait encore largement plus déconnectée du quotidien des gens des classes moyennes ou pauvres car bien évidemment, ils ne fréquenteraient pas l'école publique, en admettant qu'il y en ait une.

La Suisse a cet avantage d'avoir une forte tradition humanitaire, laquelle touche donc également ces écoles pour les riches.
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Je t'avouerai ne pas savoir quoi en penser... J'abonde en ton sens pour tous les points que tu soulèves (même si la Suisse est quand-même un cadre des plus agréables).
Mais je pense voir tout en noir car je ne perçois que les actions des dirigeants qui sortent de ce genre d'écoles (comme Kim Jung Un, Donald Trump, etc...) qui n'ont apparemment rien compris à l'humanisme (à mon sens), ainsi que les propos régulièrement rabaissant et/ou irrespectueux de nos élites dirigeantes (politiques, entreprises, religions, associations, etc...).