La recherche sur la dépendance à l'alcool se penche sérieusement sur le mâle drosophile. En effet, éconduit sexuellement, il a un faible taux de neuropeptide F et se saoulera en compensation. Au contraire, après accouplement, il présente des taux plus élevés et ne se dirigera pas vers l'alcool.
Un neurotransmetteur similaire, le neuropeptide Y (NPY), est présent chez les humains. Nous savons déjà que les NPY sont réduits chez les personnes dépressives et que le taux augmente après prise d'anti-dépresseurs. La dépression prédispose les personnes à la consommation d'alcool ou de drogues. Voilà pourquoi l'étude des drosophiles pourrait aider à trouver des traitements à la dépendance.
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Si j’ouvre une bouteille de whisky, même du très bon voire du cher (type un cadeau), je peux la finir en deux, trois heures sans soucis. C’est dommage pour le côté dégustation mais impossible de me dire je n’en bois qu’un. Par contre aucun soucis pour me dire je n’en bois pas du tout. Cela ne me paraît pas être un besoin vital (pas encore en tout cas).
En vrai mes motivations premières c’est que les entraînements de sport du lendemain montrent directement des résultats moins performants et ça m’énerve ;).
Bref faut faire attention comme tu le dis et le plus tôt possible car l’alcoolisme mondain comme on l’appelle peut vite dériver.
Je nous croyais hors sujet mais pas du tout ;)
Moi perso c'est alcool H24, on peut raisonablement dire que je suis intoxiqué, je suis jamais bourré, mais si j'ai pas ma dose dans le sang, même pas je passe un coup de fil.
Et ca vient de loin! Mes premiers taf, il me fallait ma gourde remplie de bière! Mai j'ai toujours su gérer ma conso, sauf une fois où on m'a filé de l'alcool blanc (de pharmacie, ca m'a couté une bagnole)
On est tous différents, mais je me dis que quand on gère sa vie, c'est déjà pas mal. Alcool où pas.
Je vais peut être sortir une mauvaise excuse, mais on est pas tous aptes à encaisser ce monde moderne, ceux qui ne prennent rien et qui me jugent, parce que leur vie est parfaite, beh... ils ont de la chance! Mais j'en ai jamais connu. HIHI ^^
Bon vous avez finis les 3 Pieds Nickelés ! On est pas sur le forum des A. A. ^^
Je ne juge pas, jamais. J'ai aussi été confronté à l'alcoolisme volontaire et assumé. De moi même et de trop nombreux proches (mais qui ne l'a pas été ?).
Nous ne somme pas des drosophiles, au lieu de s'échouer contre un comptoir on peut aller essayer une autre histoire, ailleurs, un autre sujet /palliatif.
De toute façon quoi vous dire d'autre que de toutes façons c'est vous qui payez.
J'apprécie beaucoup de vous lire. Merci à vous.
Je vis le même problème que toi : la totale abstinence, "facile" tandis que l'abstinence partielle, beaucoup moins. Pourtant, je ne pense pas que l'abstinence totale soit pertinente car la frustration risque d'en faire craquer plus d'un.e. Alors que définir dès le départ un jour de "relâchement" efface cette frustration. Faut juste bien le respecter. J'en suis là aujourd'hui et, à force, je m'y plutôt suis bien fait. La suite est plus difficile...
Désolé, mais c'est toi qui a commencé! ^^
C'est pas méchant hein mais je sens que t'as aussi le coude leste ;)
Nous ne sommes pas tous égaux face à l'alcool selon notre génétique. L'alcool (éthanol) passe par plusieurs phases avant d'être évacué du corps, 2 phases de transformation avant de pouvoir être éliminé. Je n'ai plus les mots exacts en tête mais en gros on a 2 types de protéines (ou une autre catégorie je ne sais plus) qui dégradent l'éthanol, et génétiquement, nous n'avons pas forcément les 2 qui fonctionnent bien donc 4 possibilités :
- aucune protéine ne fonctionne bien, comme beaucoup en Asie, l'alcool monte vite et s'élimine lentement.
- les 2 fonctionnent bien donc l'alcool monte tranquillement et s'élimine vite.
- la 1e ne fonctionne pas bien mais la 2e oui, donc l'alcool monte vite et s'élimine vite.
- la 1e fonctionne mais pas la 2e, donc l'alcool monte lentement mais s'élimine lentement également.
La 1e possibilité est répandue en Asie, et le fameux flush (joues rouges) des japonais et leur non tenue face à l'alcool en est la conséquence. Je ne suis pas d'origine asiatique mais je fais vraisemblablement partie de cette catégorie.
Vous, vous êtes plutôt dans la 2e catégorie. Fréquente en Europe de l'ouest.
Et selon les études, faire partie de la 1e catégorie protège relativement bien de l'alcoolisme puisque ces personnes "ne tiennent pas l'alcool" et le supportent même mal, alors que faire partie de la 2e le favorise puisque ces personnes "tiennent bien l'alcool" et le supportent bien.
Personnellement si je suis à jeun, un verre me met déjà bien pompette. Si je mange... 2... et je peux pas aller au-delà sauf en attendant beaucoup au risque d'être complètement retournée et malade.
Parfois j'aimerais tenir plus, et en même temps je me dis c'est pas plus mal, je bois pas beaucoup et je coûte pas cher en soirée ^^
Il me semble que j'avais appris ça grâce à une vidéo de Science Étonnante mais je ne suis pas sûre.
Force à vous en tous cas !
Élevé au vapeur de fermentation de fruits.
Puis le temp passant beaucoup de ton entourage meurt d'un "cancer du foie" et puis c'est ton tour, ton corps te propose un choix. Alors je soulage le foie au détriment des poumons mais toujours pour le bien être de mon cerveau.
Mais je n'aime pas trop me dévoiler, encore moins sur le net.
N'as-tu pas de quoi t'occuper l'esprit autour de chez toi ? J'ai cru comprendre que tu vivais plutôt isolé non ?
Je ne comprend pas le sens de ton propos dsl.
J'ai une question pour les plus scientifiques d'entre vous, @Tybs, @Lflfelf, @sleeperstyle, @Nico, etc.
Les calories sont calculées à partir des protéines, lipides et glucides contenus dans les aliments. Or, dans les alcools forts, tels les whiskys, rhums, etc., toutes ces valeurs sont à zéro, comme pour l'eau.
Comment se fait-il que l'alcool (l'ethanol) soit si calorique ?
Par contre j’avoue ne pas comprendre pourquoi certains sites internet parlent du pastis ou du whisky comme des alcools très caloriques et sucrés car après un Pastis ou un whisky mon taux de sucre n’a pas bougé d’un iota.
Et les alcooliques sont généralement maigres d’ailleurs.
Intéressant cette histoire de taux de sucre avec ou sans alcool. Il faudrait que je teste aussi. J'ai plus qu'à acheter un glucomètre... ;)