L'homme qui survécut au peloton d'exécution

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Wenceslao Moguel, "El Fusilado", est la seule personne connue à avoir survécu à un peloton d'exécution. Ce soldat de Pancho Villa fut arrêté en 1915 et condamné à mort à 17 ans sans jugement : il reçut 8 ou 9 balles en différents endroits, et un "coup de grâce" en plein visage. Il survécut miraculeusement et mourut en 1976.


Commentaires préférés (3)

Pour le contexte, il s'agissait d'un soldat révolutionnaire capturé par les forces constitutionnaliste.

Un résistant français a également miraculeusement survécu à une exécution pendant la Seconde Guerre mondiale. Les prisonniers attachés deux par deux ne recevaient pas les balles à la même seconde et son compagnon d’infortune l’a entraîné dans sa chute en mourant. L’officier allemand chargé du coup de grâce a manqué son but ou à négligé De lui tirer dessus car son visage était déjà couvert de sang de son voisin. Il a attendu le départ des Allemands et s’est sauvé.


Tous les commentaires (11)

Pour le contexte, il s'agissait d'un soldat révolutionnaire capturé par les forces constitutionnaliste.

"-J'en ai rien à f@/"re de vos balles de merde!!!"
(une ptite ref?)

Quand ça veut pas, ça veut pas. Le coup de grâce n'en fut pas un. Ça veut pas j'vous dit.

a écrit : "-J'en ai rien à f@/"re de vos balles de merde!!!"
(une ptite ref?)
Scarface?

a écrit : Scarface? C'est ça, t'as gagné un pistolet mitrailleur en chocolat. :)

a écrit : "-J'en ai rien à f@/"re de vos balles de merde!!!"
(une ptite ref?)
Les yeux chico ils ne mentent jamais

Je l'inviterais bien a boire quelques verres d'eau et a marcher dans le jardin pour arroser les plantes.

Un résistant français a également miraculeusement survécu à une exécution pendant la Seconde Guerre mondiale. Les prisonniers attachés deux par deux ne recevaient pas les balles à la même seconde et son compagnon d’infortune l’a entraîné dans sa chute en mourant. L’officier allemand chargé du coup de grâce a manqué son but ou à négligé De lui tirer dessus car son visage était déjà couvert de sang de son voisin. Il a attendu le départ des Allemands et s’est sauvé.

Il n'y a pas aussi l'histoire d'un condamné à mort en France, qui echappa successivement à la guillotine puis aux balles ?

a écrit : Un résistant français a également miraculeusement survécu à une exécution pendant la Seconde Guerre mondiale. Les prisonniers attachés deux par deux ne recevaient pas les balles à la même seconde et son compagnon d’infortune l’a entraîné dans sa chute en mourant. L’officier allemand chargé du coup de grâce a manqué son but ou à négligé De lui tirer dessus car son visage était déjà couvert de sang de son voisin. Il a attendu le départ des Allemands et s’est sauvé. Afficher tout J'ai déjà entendu parler de ce genre de pratique, mais il n'y avait pas de coup de grâce, le but était simplement d'économiser une cartouche. "Deux pour le prix d'une"

Et tu as raison sur un point, c'est encore pire parce que ce que tu dis, c'était fait exprès.
On attache deux condamnés, on en tue un, on balance le tout à la flotte et le second meurt noyé entrainé par le corps du premier.

La monstruosité, c'est comme la connerie, elle n'a aucune limites!

Anecdote dans l'anecdote:
Dans un peloton d'exécution réglementaire, il y a toujours un soldat qui tirera avec une cartouche à blanc, mais personne sait lequel.
Ca permet a chaque soldat de se dire "C'est peut être moi qui ai tiré à blanc"
C'est moins dur pour eux, y parait...