Bien que seulement 3% des lycéennes sportives américaines soient les fameuses pom-pom girls, cette activité représente près de 65% des blessures graves en sport scolaire féminin. Figures acrobatiques et pyramides en font l'une des disciplines les plus risquées pour les élèves.
Cette pratique, née à la fin du XIXᵉ siècle pour encourager les équipes sportives, s'est féminisée après les années 1920. Les exigences physiques extrêmes et les figures aériennes spectaculaires sont à l'origine de nombreuses blessures graves, souvent liées aux impacts ou aux chutes.
Une étude a révélé qu'entre 1982 et 2007, 103 blessures mortelles, invalidantes ou graves ont été enregistrées parmi les athlètes féminines des écoles secondaires, la grande majorité (67) étant survenues dans le domaine des pom-pom girls.
Commentaires préférés (3)
Les cheerleaders étaient uniquement des hommes durant les premières décennies de l’activité. Si la première femme a été acceptée en 1923, l’activité est pourtant restée quasi entièrement masculine jusqu’au départ des hommes pour la 2e guerre mondiale.
Dommage de parler de "pompom girls" dans une anecdote pareil. Il s'agit plutôt de "cheerleading" qui veut littéralement dire "encouragement sportif" et qui est la discipline à part entière avec danse et accrobaties pratiquée par des hommes et des femmes.
"Pompom girl" pour désigner ceux qui pratiquent le cheerleading, c'est une vision un peu étriquée de la discipline.
Pour les JO d'été, il me semble que c'est la pratique du BMX qui engendre le plus de blessures.
Tous les commentaires (28)
Sélection naturelle?
Les cheerleaders étaient uniquement des hommes durant les premières décennies de l’activité. Si la première femme a été acceptée en 1923, l’activité est pourtant restée quasi entièrement masculine jusqu’au départ des hommes pour la 2e guerre mondiale.
Dommage de parler de "pompom girls" dans une anecdote pareil. Il s'agit plutôt de "cheerleading" qui veut littéralement dire "encouragement sportif" et qui est la discipline à part entière avec danse et accrobaties pratiquée par des hommes et des femmes.
"Pompom girl" pour désigner ceux qui pratiquent le cheerleading, c'est une vision un peu étriquée de la discipline.
Pour les JO d'été, il me semble que c'est la pratique du BMX qui engendre le plus de blessures.
Après, je te rejoins sur le fond, sachant qu'il me semble qu'on ne voit quasiment plus de pompons dans cette discipline.
Je ne sais pas si ça évolué depuis les années 2000, je l'espère.
Mais sinon les blessures sont causées durant les activités de cheerleading avec acrobaties. L’activité avec pompons parfois appelé danse pompoms est « seulement » une discipline de danse.
En cherchant rapidement sur WKP (pas trouvé d'explication), j'ai vu qu'on pouvait utiliser "meneuse de claques". c'est bien, c'est français mais complétement incompréhensible. Cela vient probablement de l'expression "faire la claque" qui signifie Être payé pour applaudir en premier et entrainer les autres spectateurs... expression elle-même inconnue ^^
Un manque d’encadrement contrairement aux activités sportives officielles ?
Le cheerleading est une discipline sportive à part entière, différente de ce qu'on appelle improprement "pom-pom girl". Elle inclue notamment des chorégraphies, des portés et des acrobaties. Aujourd'hui, la pratique est très encadrée mais il y a bien sûr des risques de chutes ou de blessures musculaires. La majorité des pratiquants sont féminins mais il y a des catégories mixtes. En France elle est rattachée à la fédération française de football américain.
Pom-pom serait donc une onomatopée ?!
Ça me rappelle la série heroes => « save the cheerleader ! »
Dans le premier cas, ta défense est je trouve un peu maladroite. J'aurais personnellement plutôt défendu le droit à l'humour, même décalé, plutôt que le fond du commentaire.
Dans le second cas, Latour fait référence (de manière volontairement polémique, j'en suis quasi-persuadé) au stéréotype de la pompom girl assez idiote qu'on voit régulièrement dans les films... ce qui répondra à ton interrogation normalement.
injep.fr/tableau_bord/les-chiffres-cles-du-sport-2023-pratiques-sportives-et-sante/
Top 3 Taux de blessure par discipline (plus sur le lien):
1. Rugby
2. Trail / handball
3. Football
Au cours de l'année, 14 % des sportifs réguliers de 15 ans ou plus se sont blessés (fracture, entorse, claquage, tendinite, malaise, etc.) pendant la pratique.
Cheer acclamation
Leader chef
Ça donnerait plutôt chef des acclamations.