Pour permettre aux astronautes de boire leur café dans l'espace, la NASA a conçu une tasse "capillaire". En microgravité, les liquides ont tendance à coller aux parois sous l'effet de la tension de surface, ou à s'échapper du récipient. La forme particulière de la tasse capillaire permet d'exploiter la tension de surface pour accumuler le liquide à une extrémité en forme de bec verseur : le liquide s'écoule alors à l'extérieur, comme s'il était aspiré par une paille.
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Génial!! Après la machine à café, le mug adapté à l'apesenteur.
Maintenant, il faut se mettre d'accord sur la qualité du café. ,,☕ et négocier le morceau de chocolat qui va avec!!
Il n'y a donc que le café qui pose problème? les astronautes ne boivent pas d'eau?
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Génial!! Après la machine à café, le mug adapté à l'apesenteur.
Maintenant, il faut se mettre d'accord sur la qualité du café. ,,☕ et négocier le morceau de chocolat qui va avec!!
Tout ça pour mettre du Starbucks dedans… 
Il n'y a donc que le café qui pose problème? les astronautes ne boivent pas d'eau?
On dirait un vase pour uriner
Sympa l'anecdote
L'utilisation du terme microgravité est incorrecte. En effet, même à cette altitude, la force de gravité y est encore très présente.
Le bon terme est apesanteur/impesanteur.
L'apesanteur n'existe pas.
C'est d'ailleurs étonnant que la source Science et avenir fasse plusieurs fois l'erreur.
Je complète le propos de Tybs. Dans l’ISS, on parle souvent d’apesanteur (a-pesanteur avec ‘a’ comme ‘privatif’, cad ‘sans pesanteur) mais ce terme est techniquement faux : la gravité terrestre y est encore forte, environ 90 % de celle au sol (a 400 km de la terre). Les astronautes flottent parce que la station et tout ce qu’elle contient sont en chute libre permanente autour de la Terre, ce qui donne la sensation de ne plus peser. Le terme impesanteur est plus correct : il désigne l’absence de ressenti du poids, même si la gravité existe toujours. Cependant, le terme scientifique le plus exact est microgravité, utilisé par la NASA et l’ESA. Il décrit un environnement où la gravité ressentie est extrêmement faible, en raison de petites forces résiduelles comme les vibrations ou les corrections d’orbite. En résumé, dans l’ISS, il n’y a pas absence de gravité mais une gravité presque annulée par la chute libre, ce qui provoque la sensation de flottement.
(préparons-nous à répondre aux gens qui vont dire : pourquoi chute libre ?)
cnes.fr/dossiers/impesanteur#:~:text=On%20parle%20plut%C3%B4t%20de%20micropesanteur,faible%2C%20mais%20pas%20totalement%20nulle.&text=On%20parle%20parfois%20aussi%20de,une%20tr%C3%A8s%20faible%20force%20gravitationnelle.
Dans l’ISS il y a un effet centrifuge (ou vulgairement une force fictive centrifuge).
Dans le référentiel terrestre, juste de la gravité et une chute libre.
La station se rapproche bien du sol mais c’est le sol arrondi qui se « dérobe » sous elle. C’est pareil avec la Lune. Ou la Terre et le Soleil.
Dans le référentiel terrestre non-inertiel, on a besoin de la force centrifuge pour contrebalancer la gravité et noter gravité+force centrifuge=O.
Et en relativité générale, la gravité est une force inertielle au même titre que que la force centrifuge. Les corps en orbite suivent des géodésiques de l'espace-temps courbe.
La Terre est un référentiel inertiel si et seulement si tu ne considères pas sa rotation. Et pas besoin de prendre en compte sa rotation pour analyser le mouvement de l’ISS et calculer le PFD des astronautes.
Le référentiel ISS est non inertiel car justement elle tourne autour de la Terre et ne suit pas une ligne droite.
En RG la gravité n’est certainement pas une force….(ou une force d’inertie apparente mais pas une force)
Si on envisage le cas d'un satellite géostationnaire pour simplifier, on peut s'expliquer son immobilité apparente par le fait que ses masses et vitesse tangentielle donc inertie tendent à le faire échapper son orbite et que c'est la gravité qui le fait chuter perpétuellement et le maintien à l'équilibre.
Inversement, on peut s'expliquer son immobilité apparente par le fait que sa masse accélérée par la force centrifuge est contrebalancée par la force d'attraction gravitationnelle.
Et si on envisage la gravité comme une courbure de l'espace temps, on peut s'expliquer que le satellite se retrouve juste au point d'équilibre sur sa géodésique.