En comparaison, au mont Blanc, il neige entre quatre et 6 m chaque année. Pour l’Everest, c’est un à 2 m par an, car le climat est beaucoup plus sec que dans les Alpes et encore plus que sur les côtes du Pacifique. Le mont Baker est à une petite centaine de kilomètres du Pacifique, au point de confrontation entre l’air chaud et humide du Pacifique et les pentes froides de la chaîne des Cascades. L’air chaud et humide du Pacifique est forcé de s’élever pour passer la chaîne de montagne, il perd 1° tous les 100 m d’altitude, d’où la condensation, les pluies, la neige. 

D’ailleurs, avec autant de neige, les refuges, comme ceux qu’on connaît dans les Alpes, pourraient difficilement résister a la pression de la neige, sans parler des difficultés d’accès. De ce fait, ils construisent surtout à des basses altitude et accèdent en hélicoptère et localement ils creusent. Ou alors ils construisent des refuges souterrains, comme au Canada.

En comparaison, au mont Blanc, il neige entre quatre et 6 m chaque année. Pour l’Everest, c’est un à 2 m par an, car le climat est beaucoup plus sec que dans les Alpes et encore plus que sur les côtes du Pacifique. Le mont Baker est à une petite centaine de kilomètres du Pacifique, au point de confrontation entre l’air chaud et humide du Pacifique et les pentes froides de la chaîne des Cascades. L’air chaud et humide du Pacifique est forcé de s’élever pour passer la chaîne de montagne, il perd 1° tous les 100 m d’altitude, d’où la condensation, les pluies, la neige. 

D’ailleurs, avec autant de neige, les refuges, comme ceux qu’on connaît dans les Alpes, pourraient difficilement résister a la pression de la neige, sans parler des difficultés d’accès. De ce fait, ils construisent surtout à des basses altitude et accèdent en hélicoptère et localement ils creusent. Ou alors ils construisent des refuges souterrains, comme au Canada.

La région autour du mont yotei sur Hokkaido est pas mal aussi, et connue pour ça.