Si l'on parle beaucoup de la Corée du Nord, il existe un autre pays fermé : l'Érythrée. Ce pays africain est dirigé par le président Afeworki depuis son indépendance en 1993. Un service militaire est imposé à tous les citoyens de 17 à 50 ans, qui en pratique correspond à des travaux forcés. Le pays est régulièrement en dernière place du classement de Reporters Sans Frontières sur la liberté de la presse, et 20% des habitants auraient fui le pays sur les 10 dernières années.
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Peut-on vraiment appeler ça un président ?
Un président de plus, Corée pas m'Erythrée d'être au pouvoir!
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Peut-on vraiment appeler ça un président ?
Un président de plus, Corée pas m'Erythrée d'être au pouvoir!
Peut t'on appeler sa un pays? C'est plutôt un goulag géant auto-proclamer
Bonjour l'ambiance ! Tu passe plus d'un tiers de ta vie au Service Militaire, ça doit te lassé à force... (Même si ils n'ont pas vraiment le choix)
Juste comme ça: le radical Erythro- signifie sang... Coïncidence? ;)
Déjà que l'Afrique n'a pas beaucoup de moyen alors en faire un pays fermé...
On est tellement peu informé sur ce pays que ca fait l'objet d'une anecdote, c'est fou quand meme!!
La population doit être irrité par cette situation
Tellement fermé que j'en ai jamais entendu parlé
Signalons au passage le calvaire qu'endurent dans le Sinaï une partie des 20% qui quittent le pays.. Torture, rançonnage, meurtre, esclavage, etc..
Pour ceux que ça intéresse: www.lemonde.fr/afrique/visuel/2014/10/13/voyage-en-barbarie-dans-le-desert-du-sinai_4501271_3212.html
Pour que les média en parle si peut, ils ne doivent rien avoir d'intéressant ni arme ni pétrole ni mine de quoi que ce soit
Beaucoup de ceux qui ont fui finissent tués en Lybie ou lors de la traversée vers l'Italie.
D'un autre côté pas mal sont dans des camps israéliens que les journalistes comparent aux camps de concentrations où on leur y confisque leurs papiers et les coupe de tout en les empêchant de continuer leur voyage ou de demander du travail.
Israël est régulièrement condamné pour ces actes mais disent qu'ils ne reconnaissent pas ces personnes comme réfugiés politiques et qu'elles sont libres de retourner dans leur merveilleux pays.