Le Grand Bleu a 3 versions différentes

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En 1988, le Grand Bleu de Luc Besson est sorti en trois versions. Une courte de 132 minutes, une longue de 168 minutes et enfin une version avec une fin heureuse, destinée aux Etats-Unis, dans laquelle on peut voir Jacques Mayol remonter à la surface et jouer avec un dauphin (ce qui est l'affiche du film).


Tous les commentaires (98)

Jacques mayol ne meurt pas dans le film. C'est Enzo Mollinari (Jean Reno) qui poussé par l'envie de descendre plus bas que son ami et rival ne respecte pas les paliers et succombe à la pression de l'eau.
L'affiche du film est un rappel de la scène où Jacques Mayol fuit le lit conjugal qu'il partage avec rosanna arquette pour aller jouer avec ce dauphin dans l'océan...
Ce film est tiré d'une histoire vraie si ce n'est qu'Enzo Mollinari s'appelle en vrai Enzo Maiorca...

a écrit : Je ne comprend pas pourquoi les happy ends vous horripilent autant... Faut-il absolument qu'une histoire finisse tragiquement pour devenir un chef d'œuvre ? Non mais le minimum c'est de respecter l'oeuvre originale!

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Je vois pas l'intérêt de la fin s'il remonte à la surface...
Est ce qu'on peut appeler ça une fin d'ailleurs?

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a écrit : Les États Unis n'ont pas que des Happy end, il suffit de voir comment se termine "la ligne verte" ça en dit long... Pour le héros il dit qu'il préfère mourir que s'enfuir , n'en pouvant plus de toute la souffrance qu'il ressent . Donc en un sens il y as une part heureuse car il arrêté de souffrir .

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a écrit : Les États Unis n'ont pas que des Happy end, il suffit de voir comment se termine "la ligne verte" ça en dit long... Mouai enfin c'est pas la plus triste des fins non plus, c'est finalement le prisonnier qui choisit son destin dans ce film.

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a écrit : Les États Unis n'ont pas que des Happy end, il suffit de voir comment se termine "la ligne verte" ça en dit long... Le film La Ligne Verte se terminer relativement bien comparé à la fin imaginée par Stephen King dans son livre! Je crois ne jamais autant avoir pleuré en lisant

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a écrit : Oui mais, la ligne verte est d'après le roman de Stephen King . Moins évident que celui ci accepte qu'une modification soit apportée à son œuvre . Et c'est pourtant ce qui c'est passé... Si vous souhaitez de la vraie fin triste à se jeter par une fenêtre : essayez The Mist (de Frank Darabont, adaptation encore une fois de Stephen King) c'est juste monstrueux. King à d'ailleurs dit qu'il aurait écrit sa nouvelle avec la même fin que dans le film s'il y avait pensé !

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a écrit : Alala les états-unis et leurs happy end. Une fin exprès pour eux histoire de pas choquer S'il n'y avait qu'eux.
Il existe une fin heureuse pour le lac des cygnes. En revanche, impossible de me souvenir si ce fut une version créée pour Paris ou Londres

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a écrit : L'affiche me fait toujours rire. Je ne sais pas si c'est d'origine mais sur la mienne il a écrit "N'y allez pas, ce film dure 3 heures". Mais c'est bien la scène avec le dauphin dessus! Ça c'est un troll de Luc Besson. On lui avait couper les budget en dusant que son film ennuierais les gens et ne marcherait pas.... quant le film a eut un succés incroyable il s'est alors permit de sortir la version longue avec cette affiche de promotion :'D

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ça ne date pas d'hier et pas seulement pour les américains

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a écrit : Les États Unis n'ont pas que des Happy end, il suffit de voir comment se termine "la ligne verte" ça en dit long... Si le film fini mal il y a deux options
1) histoire vraie
2) coproduction coréalisation avec un autre pays

a écrit : Oui mais, la ligne verte est d'après le roman de Stephen King . Moins évident que celui ci accepte qu'une modification soit apportée à son œuvre . Sauf que si les americains tenaient tant a leur happy end les films de Stephen King ne seraient pas beaucoup repris par le cinema.

Sur un autre sujet... c'edst incroyable la quantite d'anti americanisme!
Le nombre de critiques souvent sans fondement et vraissemblablement ecrites par des gens qui n'y ont jamais mis les pieds...

Le franchouillard nombriliste qui pense encore que son pays est parfait et irreprochable... STOP! vous etes les seuls a le penser.

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a écrit : Petites natures ces ricains! Gros arrogants ces français

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a écrit : L'ironie était plutôt dans le fait qu'il faille toujours s'adapter aux américains et à leur façon de penser.
Sinon effectivement et heureusement tous les films ne se finissent pas bien.
Personne n'oblige personne de suivre les amériains. A la fin c'est les français qui se sentent devoir les suivre, pas le contraire.

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a écrit : Certes mais à hollywood on veux faire de l'argent et généralement on opte pour la "happy end" parce que ça plaît au plus grand nombre et donc ça fait gagner plus d'argent. Ca fait de l'argent car d'abord ca plait.
Ils s'adaptent a la demande.
En France, le cinema est suventionné donc on s'en fout si le film fait un carton au box office... du coup beaucoup de navets et des films qui ne s'exportent pas au contraire du cinema americain.

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a écrit : Dans la ligne vert il y a un happy end, le noir meurt le blanc vie sa c'est un happy end américain N'importe quoi!

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a écrit : Ça change pas le problèmes les Happy end c'est aussi dans les livres, et Stephen king est américain. Tu n'as pas dû lire beaucoup de Stephen King, toi!

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