Un genre musical à la gloire des narcotrafiquants

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Le narcocorrido est un nouveau genre musical mexicain très particulier puisqu'il vante les mérites des narcotrafiquants. Les chanteurs de ces véritables tubes (certains CD se sont vendus à plus de 2 millions d'exemplaires dans le pays) sont parfois mandatés par les trafiquants eux-mêmes. L'Etat mexicain interdit aux radios de faire passer ces chansons, mais cela n'empêche pas leur succès.

Parmi les groupes les plus célèbres on peut évoquer "Huracanes del Norte" ou le compositeur Teodoro Bello.


Tous les commentaires (33)

En même temps il y a un vraie commerce sur les narcotrafiquants en Colombie c'est assez incroyable. Beaucoup de touriste payent et assez cher en plus pour avoir des visite guidée avec les anciens copain de pablo. Ils signent des autographes comme de vraie rock star et racontent leurs crimes sans aucune émotions... J'ai même appris récemment qu'on pouvais se payer un week-end chez les farc. Je trouvent cela vraiement très étranges. M'enfin l'espèce humaine est complexe la preuve en ai.

a écrit : Je trouve ton commentaire vraiment peu intéressant dans la mesure où il est, en mon sens, totalement faux.

L'anecdote parle de groupe qui sont pour certains financés par des cartels. Franchement j'ai beau chercher mais je ne vois aucun groupe de rap en France qui vendent des millions, et même des
milliers, de disques tout en étant financé par les barons de la drogue.

Alors certes beaucoup de rappers parlent de drogue mais pour faire une analogie c'est aussi le cas de groupe de rock connus avec des titres comme "Lost" de Noir Désir, "Cocaïne" de Clapton ou bien même "Hotel California" d'Eagles. Faire une généralité c'est pas très beau et ça me fait mal au cœur de voir les mêmes propos et clichés véhiculé sur le rap français.

La plupart n'y connaissent rien et ne font que mettre en avant les groupes connus qui ne sont pas forcément les plus sympathiques et surtout médiatisés. Parce que le rap c'est aussi ce côté "système D" qui est adopté par beaucoup.

Au collège je n'aimais pas le rap, je ne trouvais aucun intérêt dans ce que je pouvais y entendre et pour cause, le seul que je connaissais passé à la radio et n'était pas des plus intéressants.

Finalement vers l'âge de 14 ans je suis tombé sur un vieux CD de mon père "L'école du micro d'argent" d'IAM et sur la musique "un cri court dans la nuit". Les connaisseurs approuveront c'est un morceau qui prend au titre. Et là je me suis dis "wouah pu**** je connaissais pas ça.
Puis petit à petit j'ai écouté IAM ainsi que les carrières solo d'Akhenaton et Shurik'n. J'ai poursuivi avec MC Solaar, NTM... Et j'aimais mais je me disais tour de même, ouais finalement le rap français j'adore, mais c'était celui d'illusions y a 20 ans.

Finalement au fil des ans j'ai découvert des artistes, des poètes, à la plume inspirée, à l'instru variée et aux propos acérés. On peut les nommer il y en a plein :
Lucio Bukowski, Demi Portion, Hugo TSR, Davodka, Scylla, Inglorious Bastards, Oxmo Puccino, Dooz Kawa, Faycal et j'en oublie sans doute plein.. (je ne cite là que les moins médiatisés j'adore Orelsan ou big Flo et Oli qui s'améliorent de sons en sons je trouve)

Donc par pitié arrêtez avec vos clichés. Le rap parle de drogue ? Bah ouais mais c'est pas tout le temps pour en faire l'apologie. Écoutez la disco d'Hugo TSR il passe son temps à kicker sur la morosité qu'il ressent dans le 18ème en raison de pauvreté drogue et alcool, pareil pour Davodka.

A bons entendeurs
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Un vieux CD de mon père... L'école du micro d'argent...
Je viens de prendre 20 piges dans la tronche :)

a écrit : Je trouve ton commentaire vraiment peu intéressant dans la mesure où il est, en mon sens, totalement faux.

L'anecdote parle de groupe qui sont pour certains financés par des cartels. Franchement j'ai beau chercher mais je ne vois aucun groupe de rap en France qui vendent des millions, et même des
milliers, de disques tout en étant financé par les barons de la drogue.

Alors certes beaucoup de rappers parlent de drogue mais pour faire une analogie c'est aussi le cas de groupe de rock connus avec des titres comme "Lost" de Noir Désir, "Cocaïne" de Clapton ou bien même "Hotel California" d'Eagles. Faire une généralité c'est pas très beau et ça me fait mal au cœur de voir les mêmes propos et clichés véhiculé sur le rap français.

La plupart n'y connaissent rien et ne font que mettre en avant les groupes connus qui ne sont pas forcément les plus sympathiques et surtout médiatisés. Parce que le rap c'est aussi ce côté "système D" qui est adopté par beaucoup.

Au collège je n'aimais pas le rap, je ne trouvais aucun intérêt dans ce que je pouvais y entendre et pour cause, le seul que je connaissais passé à la radio et n'était pas des plus intéressants.

Finalement vers l'âge de 14 ans je suis tombé sur un vieux CD de mon père "L'école du micro d'argent" d'IAM et sur la musique "un cri court dans la nuit". Les connaisseurs approuveront c'est un morceau qui prend au titre. Et là je me suis dis "wouah pu**** je connaissais pas ça.
Puis petit à petit j'ai écouté IAM ainsi que les carrières solo d'Akhenaton et Shurik'n. J'ai poursuivi avec MC Solaar, NTM... Et j'aimais mais je me disais tour de même, ouais finalement le rap français j'adore, mais c'était celui d'illusions y a 20 ans.

Finalement au fil des ans j'ai découvert des artistes, des poètes, à la plume inspirée, à l'instru variée et aux propos acérés. On peut les nommer il y en a plein :
Lucio Bukowski, Demi Portion, Hugo TSR, Davodka, Scylla, Inglorious Bastards, Oxmo Puccino, Dooz Kawa, Faycal et j'en oublie sans doute plein.. (je ne cite là que les moins médiatisés j'adore Orelsan ou big Flo et Oli qui s'améliorent de sons en sons je trouve)

Donc par pitié arrêtez avec vos clichés. Le rap parle de drogue ? Bah ouais mais c'est pas tout le temps pour en faire l'apologie. Écoutez la disco d'Hugo TSR il passe son temps à kicker sur la morosité qu'il ressent dans le 18ème en raison de pauvreté drogue et alcool, pareil pour Davodka.

A bons entendeurs
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Merci pour ce commentaire très documenté qui donne envie d'en savoir plus.
J'avoue que jusque-là le rap ne m'inspirait pas grand-chose de positif.

a écrit : Je trouve ton commentaire vraiment peu intéressant dans la mesure où il est, en mon sens, totalement faux.

L'anecdote parle de groupe qui sont pour certains financés par des cartels. Franchement j'ai beau chercher mais je ne vois aucun groupe de rap en France qui vendent des millions, et même des
milliers, de disques tout en étant financé par les barons de la drogue.

Alors certes beaucoup de rappers parlent de drogue mais pour faire une analogie c'est aussi le cas de groupe de rock connus avec des titres comme "Lost" de Noir Désir, "Cocaïne" de Clapton ou bien même "Hotel California" d'Eagles. Faire une généralité c'est pas très beau et ça me fait mal au cœur de voir les mêmes propos et clichés véhiculé sur le rap français.

La plupart n'y connaissent rien et ne font que mettre en avant les groupes connus qui ne sont pas forcément les plus sympathiques et surtout médiatisés. Parce que le rap c'est aussi ce côté "système D" qui est adopté par beaucoup.

Au collège je n'aimais pas le rap, je ne trouvais aucun intérêt dans ce que je pouvais y entendre et pour cause, le seul que je connaissais passé à la radio et n'était pas des plus intéressants.

Finalement vers l'âge de 14 ans je suis tombé sur un vieux CD de mon père "L'école du micro d'argent" d'IAM et sur la musique "un cri court dans la nuit". Les connaisseurs approuveront c'est un morceau qui prend au titre. Et là je me suis dis "wouah pu**** je connaissais pas ça.
Puis petit à petit j'ai écouté IAM ainsi que les carrières solo d'Akhenaton et Shurik'n. J'ai poursuivi avec MC Solaar, NTM... Et j'aimais mais je me disais tour de même, ouais finalement le rap français j'adore, mais c'était celui d'illusions y a 20 ans.

Finalement au fil des ans j'ai découvert des artistes, des poètes, à la plume inspirée, à l'instru variée et aux propos acérés. On peut les nommer il y en a plein :
Lucio Bukowski, Demi Portion, Hugo TSR, Davodka, Scylla, Inglorious Bastards, Oxmo Puccino, Dooz Kawa, Faycal et j'en oublie sans doute plein.. (je ne cite là que les moins médiatisés j'adore Orelsan ou big Flo et Oli qui s'améliorent de sons en sons je trouve)

Donc par pitié arrêtez avec vos clichés. Le rap parle de drogue ? Bah ouais mais c'est pas tout le temps pour en faire l'apologie. Écoutez la disco d'Hugo TSR il passe son temps à kicker sur la morosité qu'il ressent dans le 18ème en raison de pauvreté drogue et alcool, pareil pour Davodka.

A bons entendeurs
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Tu as oublier le meilleur kery james.....
Youssoufa, medine, tiers-monde, brav etc...

a écrit : Tu compares donc nos trafics dont le rap français parle souvent aux trafics mexicains, responsables chaque année de milliers de morts et qui commercialisent leurs droguent à l'international ? Ok ok, c'est comme le rap français alors !

www.lemonde.fr/international/article/2017/05/10/apres-l
a-syrie-la-guerre-des-cartels-au-mexique-est-le-conflit-en-cours-le-plus-mortel_5125155_3210.html Afficher tout
Nos trafics tuent beaucoup aussi tu sais. Et la drogue mexicaine ne serait pas un si gros problème sans les revendeurs… en France par exemple.
Donc si, faire l'appologie de la drogue dans le rap et comparable.

a écrit : Je trouve ton commentaire vraiment peu intéressant dans la mesure où il est, en mon sens, totalement faux.

L'anecdote parle de groupe qui sont pour certains financés par des cartels. Franchement j'ai beau chercher mais je ne vois aucun groupe de rap en France qui vendent des millions, et même des
milliers, de disques tout en étant financé par les barons de la drogue.

Alors certes beaucoup de rappers parlent de drogue mais pour faire une analogie c'est aussi le cas de groupe de rock connus avec des titres comme "Lost" de Noir Désir, "Cocaïne" de Clapton ou bien même "Hotel California" d'Eagles. Faire une généralité c'est pas très beau et ça me fait mal au cœur de voir les mêmes propos et clichés véhiculé sur le rap français.

La plupart n'y connaissent rien et ne font que mettre en avant les groupes connus qui ne sont pas forcément les plus sympathiques et surtout médiatisés. Parce que le rap c'est aussi ce côté "système D" qui est adopté par beaucoup.

Au collège je n'aimais pas le rap, je ne trouvais aucun intérêt dans ce que je pouvais y entendre et pour cause, le seul que je connaissais passé à la radio et n'était pas des plus intéressants.

Finalement vers l'âge de 14 ans je suis tombé sur un vieux CD de mon père "L'école du micro d'argent" d'IAM et sur la musique "un cri court dans la nuit". Les connaisseurs approuveront c'est un morceau qui prend au titre. Et là je me suis dis "wouah pu**** je connaissais pas ça.
Puis petit à petit j'ai écouté IAM ainsi que les carrières solo d'Akhenaton et Shurik'n. J'ai poursuivi avec MC Solaar, NTM... Et j'aimais mais je me disais tour de même, ouais finalement le rap français j'adore, mais c'était celui d'illusions y a 20 ans.

Finalement au fil des ans j'ai découvert des artistes, des poètes, à la plume inspirée, à l'instru variée et aux propos acérés. On peut les nommer il y en a plein :
Lucio Bukowski, Demi Portion, Hugo TSR, Davodka, Scylla, Inglorious Bastards, Oxmo Puccino, Dooz Kawa, Faycal et j'en oublie sans doute plein.. (je ne cite là que les moins médiatisés j'adore Orelsan ou big Flo et Oli qui s'améliorent de sons en sons je trouve)

Donc par pitié arrêtez avec vos clichés. Le rap parle de drogue ? Bah ouais mais c'est pas tout le temps pour en faire l'apologie. Écoutez la disco d'Hugo TSR il passe son temps à kicker sur la morosité qu'il ressent dans le 18ème en raison de pauvreté drogue et alcool, pareil pour Davodka.

A bons entendeurs
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Naïf ou stupide ?
Beaucoup de rappeurs font l'apologie de la violence et de la drogue
Je peux t'en citer enormement
Ca fait de la main d'oeuvre prolétaire pour les barons de la drogue français au moins

a écrit : Naïf ou stupide ?
Beaucoup de rappeurs font l'apologie de la violence et de la drogue
Je peux t'en citer enormement
Ca fait de la main d'oeuvre prolétaire pour les barons de la drogue français au moins
Saut que Garimors oppose, à juste titre, les rappeurs faisant l'apologie de la drogue, des armes et d'autres vices (Kaaris et tous les autres) et les rappeurs amoureux de leur art (l'Animalerie (Anton Serra, Lucio Bukowski,... ), Robse, Dooz Kawa, ...) qui n'ont pas oublié, et qui partagent dans leur musique, les véritables valeurs du rap : "sincérité, respect, passion" (comme le dit le groupe Bhale Bacce Crew).

Bizarrement ce sont ces derniers qu'on entend pas sur les ondes ...

Malheureusement, ce sont les rappeurs les plus popularisés qui donnent une image faussée du rap français.

J'espère que vous aurez l'occasion d'écouter les rappeurs cités par les commentaires précédents, et notamment ceux cités par Garimors, pour pouvoir changer votre point de vue sur le rap (français notamment)

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android

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Il y a également un épisode de la série The Shield qui en parle

a écrit : Je trouve ton commentaire vraiment peu intéressant dans la mesure où il est, en mon sens, totalement faux.

L'anecdote parle de groupe qui sont pour certains financés par des cartels. Franchement j'ai beau chercher mais je ne vois aucun groupe de rap en France qui vendent des millions, et même des
milliers, de disques tout en étant financé par les barons de la drogue.

Alors certes beaucoup de rappers parlent de drogue mais pour faire une analogie c'est aussi le cas de groupe de rock connus avec des titres comme "Lost" de Noir Désir, "Cocaïne" de Clapton ou bien même "Hotel California" d'Eagles. Faire une généralité c'est pas très beau et ça me fait mal au cœur de voir les mêmes propos et clichés véhiculé sur le rap français.

La plupart n'y connaissent rien et ne font que mettre en avant les groupes connus qui ne sont pas forcément les plus sympathiques et surtout médiatisés. Parce que le rap c'est aussi ce côté "système D" qui est adopté par beaucoup.

Au collège je n'aimais pas le rap, je ne trouvais aucun intérêt dans ce que je pouvais y entendre et pour cause, le seul que je connaissais passé à la radio et n'était pas des plus intéressants.

Finalement vers l'âge de 14 ans je suis tombé sur un vieux CD de mon père "L'école du micro d'argent" d'IAM et sur la musique "un cri court dans la nuit". Les connaisseurs approuveront c'est un morceau qui prend au titre. Et là je me suis dis "wouah pu**** je connaissais pas ça.
Puis petit à petit j'ai écouté IAM ainsi que les carrières solo d'Akhenaton et Shurik'n. J'ai poursuivi avec MC Solaar, NTM... Et j'aimais mais je me disais tour de même, ouais finalement le rap français j'adore, mais c'était celui d'illusions y a 20 ans.

Finalement au fil des ans j'ai découvert des artistes, des poètes, à la plume inspirée, à l'instru variée et aux propos acérés. On peut les nommer il y en a plein :
Lucio Bukowski, Demi Portion, Hugo TSR, Davodka, Scylla, Inglorious Bastards, Oxmo Puccino, Dooz Kawa, Faycal et j'en oublie sans doute plein.. (je ne cite là que les moins médiatisés j'adore Orelsan ou big Flo et Oli qui s'améliorent de sons en sons je trouve)

Donc par pitié arrêtez avec vos clichés. Le rap parle de drogue ? Bah ouais mais c'est pas tout le temps pour en faire l'apologie. Écoutez la disco d'Hugo TSR il passe son temps à kicker sur la morosité qu'il ressent dans le 18ème en raison de pauvreté drogue et alcool, pareil pour Davodka.

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N'oublie pas le rat luciano qui et une des plus belles plume du rap Fr. . .va écouter son solo mode de vie beton style . . .

En meme temps avec l'influence des cartels aux mexique c'est normal.. le mexicain le plus connu etant un narcotrafiquant

a écrit : Je trouve ton commentaire vraiment peu intéressant dans la mesure où il est, en mon sens, totalement faux.

L'anecdote parle de groupe qui sont pour certains financés par des cartels. Franchement j'ai beau chercher mais je ne vois aucun groupe de rap en France qui vendent des millions, et même des
milliers, de disques tout en étant financé par les barons de la drogue.

Alors certes beaucoup de rappers parlent de drogue mais pour faire une analogie c'est aussi le cas de groupe de rock connus avec des titres comme "Lost" de Noir Désir, "Cocaïne" de Clapton ou bien même "Hotel California" d'Eagles. Faire une généralité c'est pas très beau et ça me fait mal au cœur de voir les mêmes propos et clichés véhiculé sur le rap français.

La plupart n'y connaissent rien et ne font que mettre en avant les groupes connus qui ne sont pas forcément les plus sympathiques et surtout médiatisés. Parce que le rap c'est aussi ce côté "système D" qui est adopté par beaucoup.

Au collège je n'aimais pas le rap, je ne trouvais aucun intérêt dans ce que je pouvais y entendre et pour cause, le seul que je connaissais passé à la radio et n'était pas des plus intéressants.

Finalement vers l'âge de 14 ans je suis tombé sur un vieux CD de mon père "L'école du micro d'argent" d'IAM et sur la musique "un cri court dans la nuit". Les connaisseurs approuveront c'est un morceau qui prend au titre. Et là je me suis dis "wouah pu**** je connaissais pas ça.
Puis petit à petit j'ai écouté IAM ainsi que les carrières solo d'Akhenaton et Shurik'n. J'ai poursuivi avec MC Solaar, NTM... Et j'aimais mais je me disais tour de même, ouais finalement le rap français j'adore, mais c'était celui d'illusions y a 20 ans.

Finalement au fil des ans j'ai découvert des artistes, des poètes, à la plume inspirée, à l'instru variée et aux propos acérés. On peut les nommer il y en a plein :
Lucio Bukowski, Demi Portion, Hugo TSR, Davodka, Scylla, Inglorious Bastards, Oxmo Puccino, Dooz Kawa, Faycal et j'en oublie sans doute plein.. (je ne cite là que les moins médiatisés j'adore Orelsan ou big Flo et Oli qui s'améliorent de sons en sons je trouve)

Donc par pitié arrêtez avec vos clichés. Le rap parle de drogue ? Bah ouais mais c'est pas tout le temps pour en faire l'apologie. Écoutez la disco d'Hugo TSR il passe son temps à kicker sur la morosité qu'il ressent dans le 18ème en raison de pauvreté drogue et alcool, pareil pour Davodka.

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Merci pour ce commentaire et ces sublimes références !

a écrit : Je trouve ton commentaire vraiment peu intéressant dans la mesure où il est, en mon sens, totalement faux.

L'anecdote parle de groupe qui sont pour certains financés par des cartels. Franchement j'ai beau chercher mais je ne vois aucun groupe de rap en France qui vendent des millions, et même des
milliers, de disques tout en étant financé par les barons de la drogue.

Alors certes beaucoup de rappers parlent de drogue mais pour faire une analogie c'est aussi le cas de groupe de rock connus avec des titres comme "Lost" de Noir Désir, "Cocaïne" de Clapton ou bien même "Hotel California" d'Eagles. Faire une généralité c'est pas très beau et ça me fait mal au cœur de voir les mêmes propos et clichés véhiculé sur le rap français.

La plupart n'y connaissent rien et ne font que mettre en avant les groupes connus qui ne sont pas forcément les plus sympathiques et surtout médiatisés. Parce que le rap c'est aussi ce côté "système D" qui est adopté par beaucoup.

Au collège je n'aimais pas le rap, je ne trouvais aucun intérêt dans ce que je pouvais y entendre et pour cause, le seul que je connaissais passé à la radio et n'était pas des plus intéressants.

Finalement vers l'âge de 14 ans je suis tombé sur un vieux CD de mon père "L'école du micro d'argent" d'IAM et sur la musique "un cri court dans la nuit". Les connaisseurs approuveront c'est un morceau qui prend au titre. Et là je me suis dis "wouah pu**** je connaissais pas ça.
Puis petit à petit j'ai écouté IAM ainsi que les carrières solo d'Akhenaton et Shurik'n. J'ai poursuivi avec MC Solaar, NTM... Et j'aimais mais je me disais tour de même, ouais finalement le rap français j'adore, mais c'était celui d'illusions y a 20 ans.

Finalement au fil des ans j'ai découvert des artistes, des poètes, à la plume inspirée, à l'instru variée et aux propos acérés. On peut les nommer il y en a plein :
Lucio Bukowski, Demi Portion, Hugo TSR, Davodka, Scylla, Inglorious Bastards, Oxmo Puccino, Dooz Kawa, Faycal et j'en oublie sans doute plein.. (je ne cite là que les moins médiatisés j'adore Orelsan ou big Flo et Oli qui s'améliorent de sons en sons je trouve)

Donc par pitié arrêtez avec vos clichés. Le rap parle de drogue ? Bah ouais mais c'est pas tout le temps pour en faire l'apologie. Écoutez la disco d'Hugo TSR il passe son temps à kicker sur la morosité qu'il ressent dans le 18ème en raison de pauvreté drogue et alcool, pareil pour Davodka.

A bons entendeurs
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Merci !