Le syndrome de la schtroumpfette décrit comment dans les arts et les médias, l'unique personnage féminin dans une communauté masculine tend à être stéréotypé et défini par son seul genre. Ce syndrome est récurrent dans le cinéma et la télévision.
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Le syndrome de la schtroumpfette décrit comment dans les arts et les médias, l'unique personnage féminin dans une communauté masculine tend à être stéréotypé et défini par son seul genre. Ce syndrome est récurrent dans le cinéma et la télévision.
Commentaires préférés (3)
Quand on me dit : « Regarde les jouets pour filles, ils sont stéréotypés. Les barbies donnent une image totalement clichée de la femme… » Je vous répondrais d’aller donc voir les jouets pour garçons : avec un batman ultramusclé ou un action man viril qui n’a jamais mal.
On s’offusque des filles super sexy dans les pubs, mais jamais des mecs ultras musclés dans les pubs pour parfum. C’est exactement la même chose.
Bref, c’est un faux problème. Si les personnages au cinéma sont stéréotypés, c’est dans les deux sens et cela permet au public de s’identifier facilement avec des traits de caractère grossiers : je veux être sexy comme elle, je veux être musclé comme lui, je veux être intelligente comme elle, je veux être malin comme lui, etc.
Si vous voulez des personnages complexes non stéréotypés, allez donc voir des films d’auteur suédois.
Je pense que beaucoup d'entre vous font beaucoup d’interprétation erroné sur le sens de anecdote. Elle ne dit pas que les personnages de femmes fortes n'existent pas où que avoir des amis homme fait que l'on rejette les femmes. Elle met l'accent sur un cliché de narration très utilisé notamment dans les fictions pour enfant : le fait que "être juste une fille" est un stéréotype que l'on associe souvent à des personnage féminin, au point qu'elle ne se définissent que par ça quelque fois.
Prenons l’exemple des Schtroumpfs, comme anecdotes.
On nous présente toute une flopée de personnages au caractère et aux personnalité variés :
- Schtroumpfs farceur : un rigolo qui aime faire des blague.
- Schtroumpfs costaud : il est fort, aime faire de la gonflette et du sport
- Schtroumpfs à lunette : prétentieux et imbu de lui même
- le Grand Schtroumpfs : le vieux sage, réfléchit, chef des Schtroumpfs
- la Schtroumpfette : la fille
Et c'est LÀ qu'on met le doigt sur le problème ; "la fille du groupe". Là où tout les autres Schtroumpfs se caractérisent par un trait de personnalité, leur hobbie, leur rèves... la Schtroumpfette ne se définie juste par le fait que c'est une fille. Elle agit comme une fille et n'a que des hobbies lié aux genre féminin, genre s'occuper des fleurs, ou de bébé Schtroumpfs. Insinuant le fait qu'une fille ne peux pas avoir d'autre trait de personnalité (je ne dit pas que les auteurs le pense réellement, c'est juste une cliché très ancré dont il est dur de s'en détacher). Et des fictions utilisant ce stéréotype, on en trouve des dizaines, je suis sure que tout le monde ici peux m'en citer au moins 5 où 6 de tête, comme ça.
Évidement, aujourd'hui on tente de casser ses cliché, de rendre les personnage féminins plus profond. L'égalité des sexes, ce n'est pas qu'une histoire de lois et de droit, c'est aussi le représentation dans les fictions et la culture populaire.
Ton agressivité et ton absence de remise en question sur tes quelques commentaires, qui dénotent clairement de tes habitudes, montrent que ta réflexion sur le sujet n'est que partielle, et/ou de mauvaise foi.
M'enfin, c'est une évidence que la femme est cantonnée à son statut de femme dans énormément de cas dans notre société ! Et je ne parle pas du reste du monde...
Et attention, si elle cherche le dépassement de fonction, y'a une flopée de beaux penseurs, hommes et femmes d'ailleurs, qui seront là pour la lyncher en place publique, la traitant de "femen" ou autres qualificatifs stigmatisants.
Dès lors, l'effet de masse et la méconnaissance du problème par les tiers prend la relève.
Alors qu'au départ, c'est juste une femme qui veut faire un truc, comme tout le monde...
Tous les commentaires (96)
Assertion militante, ne venant que d'une frange de sociologues activistes
La théorie du genre n'est qu'une théorie de l'ultra gauche boboïste, elle est contestée par une majorité de philosophes et sociologues
"Complaining about a problem without proposing a solution is called whining"
Theodore Roosevelt.
On avait eu le même cas en 2016 avec Wonderwoman...
Qu'on ne me dise pas que ce n'était pas un personnage fort et centrale. En plus, elle avait une stagiaire féminine. Du coup, c'était le mec le faire-valoir ?
Les personnages féminins que vous décrivez comme "fort" sont juste des femmes auxquelles on a appliqué des attributs dis masculin, une femme baraqué, bourré de testostérone. Je dis pas que ça dois être une femme fragile, mais comme le dis l'anecdote, les femmes sont souvent représenté selon les clichés véhiculés à la gente féminine ou alors elles sont masculanise. Il est dur de ne pas tomber dans le cliché je pense à l'écriture d'un personnage, surtout avec le public actuel (à l'affût).
Et je tiens à dire que je ne parle pas de théorie du genre etc, je n'y connais rien, mais bien de représentativité de la femme dans les médias narratifs
Pas besoin de regarder une fiction pour observer ce phénomène, beaucoup de masculinités se définissent par rejet du féminin. Un bon exemple sont les "bande de potes" (la ligue du lol en est presque la caricature) qui participent à la socialisation des hommes.
Quand on me dit : « Regarde les jouets pour filles, ils sont stéréotypés. Les barbies donnent une image totalement clichée de la femme… » Je vous répondrais d’aller donc voir les jouets pour garçons : avec un batman ultramusclé ou un action man viril qui n’a jamais mal.
On s’offusque des filles super sexy dans les pubs, mais jamais des mecs ultras musclés dans les pubs pour parfum. C’est exactement la même chose.
Bref, c’est un faux problème. Si les personnages au cinéma sont stéréotypés, c’est dans les deux sens et cela permet au public de s’identifier facilement avec des traits de caractère grossiers : je veux être sexy comme elle, je veux être musclé comme lui, je veux être intelligente comme elle, je veux être malin comme lui, etc.
Si vous voulez des personnages complexes non stéréotypés, allez donc voir des films d’auteur suédois.
Pour le reste, quand ma femme a fait sa chute d'hormones suite à sa grossesse et qu'elle pleurait très souvent à la moindre émotion, on aurait pu effectivement employer le terme "pleurer comme une femme". Ce n'est pas misogyne, c'est biologique et hormonale et cela ne dure qu'un temps.
Des bas de plafond, y en a partout, que ce soit homme/femme, blanc/noir, jeune/vieux
Faut arreter de chercher des explications partout.
La ligue du lol (et autres) c'est un dérivé équivalent au groupe de pimbêches du collège qu'on a tous connus qui cassait tout le monde et se focalisait sur les plus faibles/sensibles. Point.
Pour revenir à ce pseudo syndrome et le traitement qu'on en fait dans le cinéma. Je suis personnellement fana de film et n'ai pas attendu les Wonderwoman ou Captain marvel pour découvrir des femmes fortes et parfois plus "couillus" que d'autres héros.
Tout ca c'est de la blague et de la plainte pour nous pondre des soupes comme Ghostbuster ou Ocean 8 et venir pleurer apres car les films ont "moins bien marché que ceux avec des hommes blanc hétéros"...
Le même effet se voit avec l'apparition de Black Panther qui a exactement les mêmes problèmes tout en surfant sur un pseudo militantisme pro-noir en pronant le "premier" héros de couleur.
Blade ?
Je pense que beaucoup d'entre vous font beaucoup d’interprétation erroné sur le sens de anecdote. Elle ne dit pas que les personnages de femmes fortes n'existent pas où que avoir des amis homme fait que l'on rejette les femmes. Elle met l'accent sur un cliché de narration très utilisé notamment dans les fictions pour enfant : le fait que "être juste une fille" est un stéréotype que l'on associe souvent à des personnage féminin, au point qu'elle ne se définissent que par ça quelque fois.
Prenons l’exemple des Schtroumpfs, comme anecdotes.
On nous présente toute une flopée de personnages au caractère et aux personnalité variés :
- Schtroumpfs farceur : un rigolo qui aime faire des blague.
- Schtroumpfs costaud : il est fort, aime faire de la gonflette et du sport
- Schtroumpfs à lunette : prétentieux et imbu de lui même
- le Grand Schtroumpfs : le vieux sage, réfléchit, chef des Schtroumpfs
- la Schtroumpfette : la fille
Et c'est LÀ qu'on met le doigt sur le problème ; "la fille du groupe". Là où tout les autres Schtroumpfs se caractérisent par un trait de personnalité, leur hobbie, leur rèves... la Schtroumpfette ne se définie juste par le fait que c'est une fille. Elle agit comme une fille et n'a que des hobbies lié aux genre féminin, genre s'occuper des fleurs, ou de bébé Schtroumpfs. Insinuant le fait qu'une fille ne peux pas avoir d'autre trait de personnalité (je ne dit pas que les auteurs le pense réellement, c'est juste une cliché très ancré dont il est dur de s'en détacher). Et des fictions utilisant ce stéréotype, on en trouve des dizaines, je suis sure que tout le monde ici peux m'en citer au moins 5 où 6 de tête, comme ça.
Évidement, aujourd'hui on tente de casser ses cliché, de rendre les personnage féminins plus profond. L'égalité des sexes, ce n'est pas qu'une histoire de lois et de droit, c'est aussi le représentation dans les fictions et la culture populaire.
Les exemples sont tous plus mauvais les uns que les autres sur wiki...
Genre Gamora qui selon l'auteur ne se définit que parce qu'elle est une femme (et non pas une assassin, fille favorite de Thanos voulant lutter contre son père et qui en plus à sa propre histoire).
Si la schtroumpfette n’a pas de caractéristique propre type farceuse, costaude, etc., c’est parce qu’elle est issue d’une expérience de Gargamel et n’est pas un vrai Schtroumpf (Source wiki : Il décide de créer une Schtroumpfette, capable de séduire les Schtroumpfs et de semer la zizanie parmi eux. Il la fabrique en argile puis la plonge dans une préparation qui lui donne vie. »).
Sa caractéristique de femme est donc le but de sa création et bien entendu son trait de caractère principal étant donné qu’elle est destinée à séduire les Schtroumpfs. Il ne s’agit donc certainement pas d’un stéréotype ou une femme est réduite à son état de femme. Il s’agit du cœur même de l’arc narratif de ce personnage d’être justement une femme. Pour savoir cela, il aurait fallu s'intéresser à l'histoire et aux motivations de Peyo avant de dire des âneries.
Encore une fois, vous cherchez un problème qui n’existe pas.
Les auteurs, artistes, imaginatifs et autres créateurs n'ont pas attendus les "chiennes de garde 2.0" (puisqu'elles se nomment elle meme ainsi) pour venir casser l'image de la femme au foyer.
Des traces on en trouve dans toutes les cultures, à toutes les époques.
Moi ce qui m'attriste et je l'ai mis dans mes deux commentaires, c'est qu'en fait quand on gratte un peu c'est juste la carotte pour faire acheter par des pseudos adhérent.e.s à des pseudos causes, des pseudos objets de médias militant.e.s (films, revues, mode...)
Et j'utilise volontairement l'écriture inclusive qui résume à elle seule toute la débilité des actions contemporaines pour défendre ces causes.
"je connais énormément de femmes courageuses et d'hommes sensibles" votre vécu personnel n'a pas valeur d'argument pour une démonstration générale.
"volonté de voir des problèmes partout ou justement il n'y en a pas" mettre en lumière la socialisation genrée c'est révéler comment la moitié de la population doit subir des mécanismes d'oppression, pourquoi la masculinité la plus répandue est toxique. Cela engendre de lourdes conséquences politiques, sociales et sociétales
En lisant votre dernier paragraphe j'espère que vous avez au moins soutenu votre femme.
Vous voyez les pires d'un côté mais il y a en aussi en face une idéologie qui voudrait renvoyer la femme au rôle de mère boniche du foyer. Si il faut critiquer ces militants qui vont trop loin dans leur cause, ne vous faites pas manipuler par ceux qui cachent leur idéologie sous couvert de combattre les fémininazi, SJW, etc.
Selon moi c'est vraiment de la poudre aux yeux tout ça. Lutter contre l'image de la femme au cinéma ou dans la culture en général... Alors oui c'est vendeur de dire on est les premiers à mettre une femme ou un noir (à quand la première femme noire) super héro. Ok c'est un fait c'est moche c'est surfer sur un mouvement plus important et plus sérieux que les films de super héro.
Mais tout de même, il n'y a pas des causes féministes plus importante que de savoir si Wonder Woman est la première "vraie" héroïne féminine ou si Xena et Buffy étaient là avant ? Au hasard je dirai le harcèlement moral, le harcèlement sexuel, l'égalité des salaires. Non parce que ça on en parle depuis des décennies et j'ai toujours pas l'impression que ça avance cette histoire.
Cette anecdote me fait le même effet que quand j'entends un homme dire "ah mais si les femmes veulent l'égalité faut arrêter la galanterie". J'ai envie de répondre : "Non mais on s'en fout que tu tiennes la porte aux femmes, elles en ont marre de se faire harceler, on peut commencer par ça ? On traitera ton problème de porte juste après".