NOmatters a écrit : Au moins j'aurais appris que l'origine du mot "folk" est scandinave et qu'elle veut dire "peuple".
Pour le reste, bien entendu, je savais déjà que les Elfes existaient. Volkswagen: voiture du peuple

J.Peyka a écrit : Volkswagen: voiture du peuple Est ce qu'une quatrième ou cinquième personne pourrait confirmer que volkwagen signifie voiture du peuple, j'ai encore un doute.

enzo2000 a écrit : Est ce qu'une quatrième ou cinquième personne pourrait confirmer que volkwagen signifie voiture du peuple, j'ai encore un doute. Il y a un syndrome pour ca ( celui qui redis ce que quelqu'un vient de lui apprendre en faisant semblant de le savoir de longue date, ou ici qui l'écris en faisant semblant de ne pas l'avoir lu pour faire intelligent ) ?
J'ai cherché sans trouver...et c'est récurent dans les commentaires, parfois aussi lors de conversations.
C'est rigolo !

Charles-ISA a écrit : Chez nous aussi sur le Bassin d’Arcachon nous avons un peuple caché : les ostréiculteurs.
Ils sont apparement gentils mais si vous vous égarez dans leur parc et que vous avez le malheur de piocher ne serait-ce qu’une seule des huîtres qui s’y trouvent et personne ne vous retrouve jamais. Bah! Légende urbaine, je n'y crois pas une seule seconde. Les huîtres, ça pousse sous les cargos, tout le monde le sait!

Sinon pour l'anecdote, je vois pas ce qu'il y a de drôle, il suffit de s'éloigner un peu des grands bassins de civilisation et de l'éclairage public H24 et de rester une nuit dans la forêt dans un endroit où on a de technologique et de rassurant que ce qu'on a dans les poches, ben je vous garantit que c'est flippant, la nature.
Y'a des yeux PARTOUT! Essayez, vous verrez.. ca grouille de... heuuu...

En fait, la vraie différence entre la ville et le monde sauvage, c'est que dans les pays industrialisés, si on se fait mordre où attaquer par la nature, de nos jours, c'est qu'on a marché sur une guêpe où la queue d'un chat, alors qu'en ville, un regard de travers, même en plein jour...
L'humain, c'est vachement dangereux comme animal, j'vous le dit!^^

Attention, traversée de trolls par temps de brouillard...

Charles-ISA a écrit : Chez nous aussi sur le Bassin d’Arcachon nous avons un peuple caché : les ostréiculteurs.
Ils sont apparement gentils mais si vous vous égarez dans leur parc et que vous avez le malheur de piocher ne serait-ce qu’une seule des huîtres qui s’y trouvent et personne ne vous retrouve jamais. Pareil chez moi : j'ai tranquillement récolté le contenu des potagers de mes voisins, et ils ont fini par mal le prendre... ils ne sont vraiment pas sympas...

Il ne faut pas être superstitieux : ça porte malheur

alfo29 a écrit : Il y a un syndrome pour ca ( celui qui redis ce que quelqu'un vient de lui apprendre en faisant semblant de le savoir de longue date, ou ici qui l'écris en faisant semblant de ne pas l'avoir lu pour faire intelligent ) ?
J'ai cherché sans trouver...et c'est récurent dans les commentaires, parfois aussi lors de conversations.
C'est rigolo ! Afficher tout Je pense surtout qu'il s'agit du syndrome du "gépalu les commentaires".

Souppalognon a écrit : Je pense surtout qu'il s'agit du syndrome du "gépalu les commentaires". Mouais.... j'ai déjà vu des textes entiers copiés/volés/collés; ça c'est plus le syndrome "jvoudraisbienmaisjpeuxpointetdoncjepiqueauxautres"...

Better safe than sorry comme le dit l’expression. Pourquoi prendre des risques inutiles ?

Charles-ISA a écrit : Chez nous aussi sur le Bassin d’Arcachon nous avons un peuple caché : les ostréiculteurs.
Ils sont apparement gentils mais si vous vous égarez dans leur parc et que vous avez le malheur de piocher ne serait-ce qu’une seule des huîtres qui s’y trouvent et personne ne vous retrouve jamais. Excellent.

Alors là, c'est complètement faux !
Je suis actuellement en Islande depuis 3 mois afin de réaliser un documentaire sur le folklore islandais, et je peut vous dire que seulement 5 à 10 % grand max des gens y croient.

Le livre '' le peuple caché '' peut vous en dire plus.

Et il y'a 3 types d'elfes.

Ce sont des croyances instaurés à l'époque où il était dure d'y vivre.
Afin de se rassurer l'esprit et de se conter des histoires.