Le requin bouledogue est un des rares requins à être euryhalin (pouvoir vivre dans des eaux douces ou très salées). Il a ainsi pu être observé à 3700 km dans les terres dans l'Amazone au Pérou, et est, entre autre, un habitué du Lac Nicaragua, du Gange et du Zambèze.
Commentaires préférés (3)
Chouette, un mot compliqué et bien peu utile pour la vie de tous les jours :)
Euryhalin qui nous vient des mots grecs eurus ("large") et halinos ("sel"). En opposition à Sténohalin de stenos ("étroit") et halinos qui comme son nom l'indique représente une espèce très sensible aux variations de salinité de l'eau.
On parle parfois d'halotolérance ou d'espèce halotolérante pour évoquer ces espèces supportant de larges variations de salinité. Pour les plantes, on parle plutôt d'espèces halophiles ou au contraire halophobes.
L'anguille et le saumon qui connaissent de grandes migrations sont comme le requin de l'anecdote des espèces euryhalines.
J'allais faire une recherche mais tu l'as fait pour nous. Merci... ;-)
Sinon plus vicieux que le requin bouledogue, y'a l'humain-chasseur, y voit un truc qui bouge, y tire... même s'il a pas faim!^^
Bon pour l'anecdote, des animaux qui supportent aussi bien les milieux très salés que doux, y'en a très peu, ceci est du à un problème osmotique, quelquechose de très salé étant placé dans un milieu alcalin, cela va avoir une grande tendance à s'équilibrer (du sel dans de l'eau douce, ça fait de l'eau salée, même si on touille pas), cet (ces) animaux ont du développer des particularités biologiques pour, soit forcer le sel à rester dans leur organisme, soit l’empêcher de s'y fixer, souvent les deux, c'est assez étonnant, et surtout très rare.
D'ailleurs, peu de plantes y parviennent aussi, les plantes que l'on trouve dans les mangroves (milieu changeant au gré des marées entre eau salée et eau douce) sont très rares biologiquement parlant.
Tous les commentaires (47)
Un requin qui a du chien !
On en trouve aussi dans des fleuves australiens. Dans un doc on voit des scientifiques qui en attrapent un énorme et qui le relâchent après l'avoir mesuré et pesé ce qui a passablement énervé les riverains.
On se demande bien pourquoi.
Chouette, un mot compliqué et bien peu utile pour la vie de tous les jours :)
Euryhalin qui nous vient des mots grecs eurus ("large") et halinos ("sel"). En opposition à Sténohalin de stenos ("étroit") et halinos qui comme son nom l'indique représente une espèce très sensible aux variations de salinité de l'eau.
On parle parfois d'halotolérance ou d'espèce halotolérante pour évoquer ces espèces supportant de larges variations de salinité. Pour les plantes, on parle plutôt d'espèces halophiles ou au contraire halophobes.
L'anguille et le saumon qui connaissent de grandes migrations sont comme le requin de l'anecdote des espèces euryhalines.
Le requin bouledogue est un requin très dangereux. Il attaque sans signe précurseur. www.lnc.nc/breve/maj-11-h-un-enfant-de-10-ans-mordu-par-un-requin-a-noumea
J'allais faire une recherche mais tu l'as fait pour nous. Merci... ;-)
Sinon plus vicieux que le requin bouledogue, y'a l'humain-chasseur, y voit un truc qui bouge, y tire... même s'il a pas faim!^^
Bon pour l'anecdote, des animaux qui supportent aussi bien les milieux très salés que doux, y'en a très peu, ceci est du à un problème osmotique, quelquechose de très salé étant placé dans un milieu alcalin, cela va avoir une grande tendance à s'équilibrer (du sel dans de l'eau douce, ça fait de l'eau salée, même si on touille pas), cet (ces) animaux ont du développer des particularités biologiques pour, soit forcer le sel à rester dans leur organisme, soit l’empêcher de s'y fixer, souvent les deux, c'est assez étonnant, et surtout très rare.
D'ailleurs, peu de plantes y parviennent aussi, les plantes que l'on trouve dans les mangroves (milieu changeant au gré des marées entre eau salée et eau douce) sont très rares biologiquement parlant.
On ne va pas refaire ici le débat de "l'animal le plus dangereux, etc..." (on n'en a déjà parlé mille fois :), mais le requin n'est pas un prédateur de l'homme. Depuis les "comptages" d'attaques et de décès (fin du XIXème siècle) on dénombre en moyenne une trentaine d'attaques par an sur l'homme dont 4 mortelles...
La particularité du "Bouledogue" c'est qu'il est en contact régulier avec l'homme, sur les côtes, dans les estuaires, et même (je l'apprends ici) carrément dans les terres en eaux douces totales ; je ne savais pas qu'il pouvait remonter les fleuves comme ça.
Il aime les eaux troubles, c'est là qu'il est en supériorité sensitive. Ses attaques sont cataloguées "volontaires" et agressives parce qu'en fait on ne le voit pas arriver dans ces eaux, mais peut-être donne t-il les mêmes signes précurseurs ; on ne sait pas encore vraiment.
Pourquoi remonte t-il si haut les fleuves ? Est-il aussi dangereux dans ces eaux douces ? Je n'ai pas souvenir de témoignages d'attaques dans les fleuves ou les lacs... On a beaucoup à apprendre encore sur lui, ce qui nous aiderait à limiter davantage les risques qu'il peut faire encourir à l'Homme.
JLSD! C’est un animal incroyable, je me trompe peut être si qlqn peut confirmer, mais je crois qu’ils sont capables de pourchasser des proies dans les fleuves sur une centaine de km.. légende ou pas IDK
Cela reste malheureux pour cet enfant, mais nous avons tendance à oublier que nous ne sommes pas seuls sur Terre. Ce n’est pas le requin qui vient chez nous, mais nous qui nous baignons chez lui.
Les bouledogues sont les requins dont les plongeurs photographes/caméramans se méfient le plus. Ils ont aussi la particularité de chasser en groupes. Et aussi un peu à la façon des Raptors dans Jurassic Park. Les plongeurs les observent souvent en groupe avec un des spécimens toujours dans un angle non visible pour le plongeur souvent dans le dos. Sur une année entre 10 et 30 attaques sont recensés, le bouledogue est très souvent impliqué puisque plus souvent aux contact de l’homme. Et il n’attaquent certainement pas pour manger mais simplement parce que l’homme dérange le groupe ou le spécimen.
Et visiblement tu n'as pas tout compris sur le phénomène de l'osmose...
Philippe, j'ai l'impression que les utilisateurs qui soumettent des anecdotes sont en manque d'inspi, car la c'est flagrant de plus en plus d'ancienne anecdotes refassent surface, je veux bien croire que tu ne t'en rends pas compte. Suis je le seul ?
J'ai cherché et n'ai absolument rien trouvé.
J'en ai souvent, mais bon, la recherche me les renvoie souvent à la figure, donc... on cherche, on cherche;)
le plus grand prédateur de l'homme c'est .... Non, je ne vais pas vous faire le coup.
Le plus grand prédateur actuel de l'homme, c'est : la société.